02 AOUT 2011 : le grand cirque américain et l’aveuglement coupable des eurocrates
Une source bancaire nous donne des détails qui éclaireront tout le monde au sujet de l’échéance du 02 août 2011, relatif au fameux plafond de la dette américaine. (cliquer pour lire la suite)
D’une manière générale, les médias disent que si les politiciens du Congrès US ne parviennent pas à trouver d’accord sur le plafond de la dette américaine, il y aurait un défaut officiel sur la dette des Etats-Unis. Cette source explique que « c’est une contre vérité totale ». Voici son explication en tant que banquier spécialisé sur le sujet: « Pour maintenir son train de vie pour août, les US ont besoin de 306.7 mlds de USD et l’Etat américain va recevoir 172.4 mlds de revenus ( taxes et autres) ce qui est tout de même largement assez pour payer les 29 mlds d’intérêts de la dette pour août. Aucun risque de défaut de paiement. En août, l’Etat va simplement devoir faire des économies de 134 mlds, couper dans certaines dépenses et continuer à puiser dans le fonds de pension public. Mais il semble que les marchés ne comprennent pas bien ce qui est pourtant bien simple et se laissent gagner par la peur. Sur l’année fiscale 2011 qui se termine le 30 sept, les US recevront 2200 mlds de revenus et ne devront payer que 214 mlds de USD comme intérêts de leur dette. Dans l’immédiat, il est absurde de croire que les US ne pourront pas payer les intérêts de leur dette, ils couperont dans d’autres dépenses pour éviter cela. Et il est encore plus absurde d’imaginer que les gros créanciers de l’Etat refuseront de continuer à prêter car ils sont majoritairement américains et n’ont pas d’autres alternatives crédibles ».
Alors, à quoi rime ce cirque que politiciens et médias, tant américains qu’européens entretiennent ? Que veulent-ils encore nous imposer à partir d’un « faux problème » ? Sommes-nous dans la même logique de ces attentats que l’on développe en vue de préparer le terrain aux mesures dictatoriales et, au préalable, à un énorme coup dur pour de futurs innocents ?
On doit donc traduire que démocrates, républicains et le prix Nobel de la Paix (!) de la Maison Blanche sont les acteurs d’une pièce de théâtre dramatique et que la fin de l’histoire est connue d’eux-mêmes, employés d’un réalisateur inconnu, ce fameux cartel bancaire qu’ont évoqué plusieurs personnalités de premier plan dans l’histoire des Etats-Unis.
Cette source bancaire conlut ainsi : « Bien entendu, toutes ces coupes dans les dépenses américaines vont avoir des conséquences : moins de stimulus signifie que les US ne pourront plus masquer la réalité économique désastreuse et à plus long terme c’est cela qui va provoquer une fuite hors du dollar mais pas tout de suite ».
Voici ce qu’écrit Strategic Alert, dans l’un de ses derniers numéros : « Si les deux premiers plans de sauvetage lancés par la Réserve fédérale américaine (assouplissements quantitatifs – QE 1 et QE 2) n’ont fait qu’aggraver la crise, cela n’empêche guère Ben Bernanke de menacer d’un troisième tour ! En effet, le 13 juillet, devant la Commission financière de la Chambre, le chef de la Fed a annoncé que sa banque préparait un QE3, au cas où le Congrès ne relèverait pas le plafond de la dette, répétant le message le lendemain ». Voilà une très belle information que les moulins à propagande du petit ou grand écran n’ont pas distillée !
Publication de Reuters : Le président Barack Obama et le Congrès sont parvenus hier soir à un accord de dernière minute (du grand spectacle hoollywodien Ndlr) pour relever le plafond de la dette, empêchant ainsi un défaut de paiement (voir le commentaire de notre banquier ci-dessus qui rétablit les choses Ndlr) aux conséquences potentiellement catastrophiques pour l’économie mondiale, à deux jours de la date butoir fixée par le Trésor. (C’est de la pure intox Ndlr)
« Je veux annoncer que les responsables des deux partis dans les deux chambres ont trouvé un accord qui va réduire le déficit et éviter le défaut (de paiement), un défaut qui aurait eu un effet dévastateur sur notre économie », a indiqué le président Obama depuis la Maison-Blanche. (C’est un énorme mensonge de la part de ce président, pur produit du marxisme Ndlr)
L’accord permet ainsi, s’il est adopté par le Congrès avant mardi minuit, d’empêcher l’administration américaine d’être confrontée dans les jours qui suivent à un défaut de paiement (faux Ndlr). Le soulagement était notable sur les marchés après l’annonce. La Bourse de Tokyo a grimpé de 1,84% à la mi-séance aujourd’hui après l’annonce de l’accord et le dollar reprenait également du terrain. Les marchés américains étaient en nette hausse hier soir, dans les échanges électroniques de la fin du week-end.