ANALYSE 11/9 (chapitre 2)
II. Une version qui ne tient pas la route
La première série de questions que l’on doit se poser concerne les attaques elles-mêmes et repose sur les images qui ont été filmées et les témoignages et interviews entendus directement après le drame. Elle démolit la cohérence de la thèse officielle soutenue par le gouvernement. C’est la série des « comment ? ».
1. Concernant le vol 77 du Pentagone :
- ð Comment un Boeing 757 s’encastrant dans un bâtiment peut-il n’y faire qu’un trou d’environ 20 mètres de diamètre, ridiculement petit au regard de ses dimensions (38 m d’envergure, 47,3 m de long, 14 m de hauteur ?
- ð Comment le toit du Pentagone a-t-il pu rester intact pendant quelques instants – avant que l’ensemble de la structure extérieure s’effondre - malgré l’impact du choc et la hauteur de l’avion ?
- ð Comment un Boeing 757 peut-il se volatiliser dans une explosion, ne laissant aucune trace derrière lui (ni fuselage, ni moteurs, ni boîtes noires, ni rien d’autre), quand les corps qu’il contenait, ont, selon les autorités « pu être identifiés grâce à leur ADN et à leurs empreintes digitales ».
- ð Comment cette explosion, forcément monstrueuse, a-t-elle pu ne pas endommager l’écran d’ordinateur, le bureau ou le tabouret en bois, ou encore les livres laissés à proximité de l’endroit de l’impact ?
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- ð Comment un pilote débutant a-t-il pu réaliser une prouesse technique, au regard de la trajectoire et de l’angle de percussion de l’avion ? Au mois d’août 2001, Hani Hanjour n’était pas jugé par son centre de formation capable de piloter correctement un petit appareil monomoteur de type Cessna 172.
- ð Comment se fait-il qu’aucun pilote n’ait pu réitérer cette même prouesse sur simulateurs, malgré des dizaines de tentative ?
- [ Pour plus d'information, voir une video, ici ]
2. Concernant le vol 93, écrasé à Pittsburgh :
- ð Même question sur l’explosion qui aurait « dissous » le Boeing, dont il ne restait qu’un tas de morceaux de ferraille non-identifiables, au fond d’un trou encore une fois ridiculement petit.
- ð Comment se fait-il que des passagers aient pu téléphoner à bord d’un Boeing, en altitude et en vitesse de croisière, à une époque où les avions d’United Airlines n’étaient équipés d’aucun relais adéquat ? Chance de succès d’un seul coup de fil à haute altitude : 0,6 %.
3. Concernant les tours 1 et 2 (Nord et Sud) du World Trade Center :
[Basé en partie sur les propos de 911Physics (IP:xxx.x10.72.223) postés le 27 mars 2006 à 05H11 sur Agora Vox , d’après « Why Indeed Did the WTC Buildings Collapse ? » que son auteur le professeur Steven E. Jones du département de physique et d’astronomie de l’université Brigham Young University Provo, UT 84602 (Université de l’Utah) a présenté sous le titre "Molten metal, flowing and in pools, on 9/11/2001" au Snow College de la Utah Academy of Sciences, Ephraim, Utah, le 7 avril 2006. On trouvera le texte intégral de cette communication ici. ]
A propos de l’effondrement :
- ð Les tours sont tombées à la vitesse d’une chute libre, ce que la théorie de l’empilement des étages (pancake theory) ne peut expliquer: la quantité de mouvement apparente est restée constante y compris dans la chute des étages inférieurs, alors même que le poids des étages supérieurs était grandement diminué du fait de leur pulvérisation;
- ð Le bloc de la tour surmontée d’une antenne, composé des étages situés au-dessus de l’impact (et donc au-dessus de la colonne centrale qui se serait affaissée avant les structures horizontales selon la thèse officielle ) part lui aussi en poussière et plus étrange encore, le mouvement de bascule qu’il amorce dans un premier moment se corrige et le bloc revient dans l’axe de la chute avant de rejoindre l’onde de pulvérisation, ce qui est contraire aux lois de la chute des corps. Ajoutons qu’il y a une loi d’entropie qui prévoit que dans une chute non pré-ordonnée, a structure ne tombera pas dans son empreinte au sol mais basculera (comme on le voit dans les séismes naturels)
- ð L’onde de pulvérisation qui "mange" la tour dans sa chute est plus rapide que la vitesse d’une chute libre, c’est à dire que des destructions en aval la précèdent. D’où l’hypothèse logique d’une vague d’explosions qui progresse à une vitesse supérieure à la chute libre des masses. (Sans explosions, les masses inférieures finiraient par bloquer la progression du front de destruction).
- ð C’est l’explosion du kérosène présent dans les réservoirs de l’avion qui est supposé avoir provoqué l’incendie. Or, le kérosène brûle relativement vite. Pour que le feu s’entretienne, il devait se nourrir d’oxygène et des matières inflammables présentes dans la tour : bureaux, ordinateurs, photocopieuses, papier, moquettes. Le noyau du bâtiment, qui soutenait l’ensemble de la structure, ne contenait aucune matière inflammable, à part un peu de moquette. Et l’architecte Aaron Swirsky avait conçu le bâtiment en compartimentant les étages du noyau de façon hermétique. de telle manière qu’un incendie ne puisse pas se répandre le long de sa « colonne vertébrale ».
- ð Pas plus que le kérosène ne peut fondre du métal, le béton ne peut être réduit en poussière impalpable par la seule force des chocs produits dans sa chute. Selon Jeff King, physicien diplômé du MIT et ancien ingénieur en électronique, un nuage de poussière du type de celui qui a envahi les rues de New York ne peut apparaître que dans deux cas en milieu naturel : dans les éruptions volcaniques, et dans les courants de turbidité, le long des failles continentales. Leur point commun est la large quantité de matière dense suspendue dans un fluide. Une chute ne peut en aucun cas pulvériser la matière dense qu’est le béton de cette manière.
A propos des hypothétiques explosions :
- ð D’innombrables témoignages Live font état d’"explosions", d’"explosions secondaires", "secondary devices", "bombs planted in the buildings"
- ð Dans le reportage "eyewitness" tourné en live depuis Hoboken, on entend distinctement plusieurs explosions majeures avant et pendant la chute des tours, sans compter que le résultat de celles-ci (fumées importantes) est visible tant à la base qu’aux étages supérieurs des tours. (A voir ici )
- ð Des personnes ont non seulement entendues les explosions alors qu’ils se trouvaient aux sous-sols des bâtiments ( niveau -1), mais ont été brûlées, quelques secondes avant l’impact de l’avion. (voir le témoignage, ici, d’un dénommé William Rodrigues, dont un collègue était en lambeaux suite à ladite explosion et dont le témoignage fut refusé par la commission d’enquête 9/11)
- ð Ce témoignage semble corroboré par les images du film des frêres Naudet, où l’on voit que le lobby du rez-de-chaussée a été soufflé par une explosion qui ne peut être due au crash d’un avion, 250 à 300 mètres plus haut.
- ð On a enregistré une onde sismique très importante quelques secondes avant la chute de la première tour. Retenons qu’une onde sismique de ce type n’a jamais été enregistrée lors de destructions au-dessus du sol (immeuble de Oklahoma city notamment)
- ð Les explosions entendues et ressenties par les témoins semblent correspondre effectivement à ces pics sismographiques ressentis dans une station d’observations située à 30 km des TT.
- ð Trois mois après l’effondrement des tours, on retrouvait des flaques d’acier fondu, toujours fumantes, dans les sous-sols de Ground Zéro.
4. Concernant la tour 7 du World Trade Center :
- ð Comment une tour dont les structures sont en acier, bâtie selon les techniques les plus modernes, peut-elle s’effondrer subitement suite à un incendie mineure ? C’est une première historique dans l’histoire des Etats-Unis, malgré de nombreux précédents d’incendie dans des gratte-ciels.
- ð Mêmes questions que pour les autres tours concernant la manière et la vitesse d’effondrement.
- ð La théorie de la propagation d’une onde de choc n’est pas valable. Aucune explication n’a jamais été donnée.
Jimmy Walter, un multimillionnaire américain, s’est engagé à verser un millions de dollars à l’expert qui serait capable de démontrer devant un jury de scientifiques, d’ingénieurs et de physiciens, que les deux tours et le bâtiment n°7 du World Trade Center ont pu s’effondrer sans le recours à des explosifs, en se basant sur les images vidéo des effondrements (Voir ici ).Cette offre a été faite en 2005. A ce jour aucun ne s’est proposé.