La Mafia Médicale (suite)

Publié le par sceptix


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"L'Unicef est encouragée, dans sa noble aventure, par la fondation Mérieux (qui possède 30 % du marché mondial de la fabrication des vaccins) et l'Institut Pasteur. Quelle générosité..."

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"En 1989, pour imposer aux enfants les programmes de vaccination et vaincre les résistances et les oppositions d'adultes récalcitrants, sainte OMS va chercher des outils contraignants. Toujours pour le bien des enfants évidemment, elle fait adopter par l'Onu, la Convention des Droits de l'Enfant :
1- Établit la notion de citoyenneté de l'enfant.
2- Remplace le droit d'autorité des parents par un devoir d'obéissance aux autorités administratives.
3- Autorise les autorités à séparer un enfant de parents négligents."

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"Cette convention permet aux autorités d'imposer par la force, contre le gré des parents :
1- Les vaccins aux opposants à la vaccination.
2- La médecine scientifique aux adeptes de la médecine douce.
3- Les traitements médicamenteux sévères à ceux qui les refusent (tel l'AZT pour le Sida, ou la chimiothérapie pour les cancers, par exemple)."

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"Ce ne sont ni les parents, ni les parents, ni les enfants, ni les patients, ni les médecins, ni les autorités de notre pays qui contrôlent notre santé, mais bien les financiers mondiaux, cachés derrière la toute vénérée et respectée sainte OMS".

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"Répétée, la vaccination épuise le système immunitaire. Elle confère une sécurité trompeuse, puisqu'elle ouvre toute grande la porte à toutes les maladies, notamment aux maladies du Sida qui ne peut se développer que sur un terrain immunitaire perturbé.

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"La vaccination encourage la dépendance médicale et renforce la croyance en l'inefficacité de notre système immunitaire. Elle crée des assistés permanents. Elle remplace la confiance en soi par la confiance aveugle en l'extérieur."

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"Robert McNamara, ancien président de la Banque Mondiale, ancien secrétaire d'État des États-Unis qui ordonna les bombardements massifs du Vietnam : «Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations. Réduire les taux de natalité s'est avéré impossible ou insuffisant. Il faut donc augmenter le taux mortalité. Comment ? Par des moyens naturels : la famine et la maladie.»"

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"Au cours du procès intenté à la CIA, le Dr Gotlieb, cancérologue, a reconnu avoir déversé, en octobre 1960, une grande quantité de virus dans le fleuve Congo au Zaïre pour le polluer et contaminer les populations qui utilisaient son eau. Le Dr Gotlieb a été nommé à la tête du National Cancer Institute."

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"Comme par hasard, l'Afrique, surtout les pays du centre et du sud, contient des ressources fabuleuses qui ont toujours suscité la convoitise des Occidentaux."

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"Le vaccin de l'hépatite B est fabriqué par manipulation génétique : il est donc beaucoup plus dangereux que le vaccin traditionnel parce qu'il inocule dans l'organisme des cellules étrangères à son code génétique. Ce vaccin, produit à partir de virus cultivé sur des ovaires de hamster chinois, est réputé pour occasionner de la fibromyalgie et la sclérose en plaque. Malgré cela, il jouit d'une grande popularité auprès des autorités qui l'imposent d'abord par la force à tous ceux qui travaillent dans le domaine de la santé, puis au reste de la population (ndlr : en Afrique)."

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"En 1988, au cours d'une interview à la radio, un ambassadeur du Sénégal rapportait les ravages du Sida dans son pays où des villages entiers sont décimés. Quelques années auparavant, des équipes scientifiques et médicales étaient venues vacciner leurs habitants contre l'hépatite B. La maladie touchait les personnes vaccinées..."

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"En 1978, on procéda aux essais d'un nouveau vaccin sur les homosexuels de New York et, en 1980 sur ceux de San Francisco, Los Angeles, Denver, Chicago et Saint-Louis. Ce «nouveau vaccin» officiellement contre l'hépatite B, causa la mort par le Sida de plusieurs d'entre eux, comme nous le savons maintenant. Le programme de vaccination des homosexuels contre l'hépatite B était commandé par l'OMS et le National Institut of Health."

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"Non contentes de nous avoir inculqué la croyance selon laquelle les vaccinations sont efficaces et inoffensives, les autorités entretiennent une autre légende tout aussi dépourvu de fondement : les vaccinations auraient enrayé les grandes épidémies. Or, les épidémies avaient presque entièrement disparu quand les vaccins sont apparus sur le marché. Les livres sur les vaccins (non écrits par l'establishment) démontrent que la régression des grandes maladies est due à l'amélioration des conditions de vie, et notamment l'hygiène."

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"En 1934, Royal Rife et un groupe de médecins, sous les auspices de l'Université de Southern California, ont exposé leurs succès cliniques : ils parvenaient à détruire les micro-organismes du cancer, au moyen d'une longueur d'onde électromagnétique précise. Pendant les années qui suivirent, la technique de traitement du cancer par ondes électromagnétiques se répandit. Plusieurs médecins l'utilisèrent avec succès, mais pas longtemps... Lorsque Morris Fishbein, directeur de l'American Medical Association entendit parler du traitement du cancer, il exigea qu'on lui cède les intérêts dans l'entreprise. Ce qui lui fut refusé. Les conséquences d'un tel refus ne se firent pas attendre. Les médecins furent forcés d'abandonner la nouvelle technique. Dans les revues médicales tous les articles consacrés à ce traitement furent interdits par l'AMA."

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"Il existe deux positions diamétralement opposées au sein du corps médical. L'une défendue par la médecine de maladie (ndrl : Pasteur) prétend que c'est un agent unique qui fait apparaître la maladie. L'agent est un ennemi extérieur à l'organisme. Il nous agresse et menace notre santé. C'est la théorie du microbe. En cas de maladie, cette théorie part à la recherche de l'agent extérieur ennemi et lui fait la guerre.
L'autre défendue par la médecine de santé (ndlr : Béchamp) prétend que c'est l'organisme lui-même qui fabrique à l'intérieur de la cellule, les agents variés qui font apparaître la maladie. L'agent est un ami intérieur à l'organisme. Il tend à rétablir l'équilibre de notre système écologique. Si son milieu naturel est perturbé, alors il devient morbide et la maladie apparaît. Si l'on rétablit son milieu naturel, il revient à son état normal et la maladie disparaît automatiquement."

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"La décision de maintenir la médecine pasteurienne est prise à l'échelle mondiale, par l'OMS. Pour dominer le monde, il faut maintenir la soumission. Appliquer la théorie de Pasteur maintient une pratique de médecine de maladie et entretient chez nous des sentiments :
- d'impuissance vis-à-vis des forces extérieures
- de dépendance vis-à-vis des autorités extérieures
- de victimisation par rapport à des gens et des événements extérieurs à nous"

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"Ils sont nombreux les partisans de Béchamp. L'histoire en a connu plusieurs qui ont tenté de faire valoir sa théorie. Ils ont tous été condamnés au silence, soit par la persuasion, soit par la force."

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"Naessens a inventé un microscope extrêmement astucieux qui permet non seulement de très bien voir les petites particules (microzymes) décrites par Béchamp, mais toutes les différentes formes qu'elles peuvent prendre. Il peut conclure aux maladies présentes suivant leurs formes présentes. Il peut évaluer l'état du terrain et corriger ses déficiences pour éviter que la maladie n'apparaisse. La vraie prévention."

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"Dès le moment où le patient exerce son pouvoir décisionnel, il reprend le contrôle de son argent et de sa santé et cesse de nourrir le système de maladie, la médecine «scientifique». Faute de nourriture, le système établi s'éteint. Sans argent, plus de système."

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"Qui sont-ils ceux qui se prétendent nos supérieurs ? Que quel droit s'imposent-ils pour décider pour nous ce qui est bon pour nous ? Personne, absolument personne, n'a le droit de décider pour nous, ni de nous juger. Ne laissons personne usurper notre droit fondamental d'autogestion et de libre choix."

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"À force de remettre notre autorité individuelle entre les mains des autres, nous avons donné naissance aux monstruosités gouvernementales qui nous régentent aujourd'hui. Des technocrates qui ne connaissent que des chiffres et des théories prennent des décisions au sujet de notre santé. Nous ne pouvions faire pire. Et ils le savent. Pour continuer de garder leur pouvoir, ils sèment la zizanie entre nous. Pendant que nous sommes occupés à nous disputer entre nous, ils continuent de faire la pluie et le beau temps avec notre santé et notre argent."

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"L'employeur est celui qui paie le salaire de quelqu'un, directement ou indirectement. Le patient fait vivre le système médical. Il est l'employeur. Le médecin ou le thérapeute est l'employé. Nous sommes l'employeur des autorités médicales et politiques. Notre employé :
- décide sans nous consulter
- dépense sans compter
- nous vole notre argent contre notre volonté
- fait des lois pour nous contrôler
- installe des systèmes électroniques pour nous surveiller
- paie des juges pour nous condamner
- paie des policiers pour nous cueillir
- paie des soldats pour nous mater
- vote son propre salaire, ses augmentations et sa pension
Et tout cela avec notre propre argent. Jamais nous ne tolérerions pareil désordre dans notre entreprise. C'est cependant ce que nous faisons pour une entreprise plus grande : la santé et la société."

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"Réalisons que la cuirasse de l'ennemi est faite de papier : les billets de banque que nous lui fournissons docilement et quotidiennement. Son pouvoir réside dans l'argent que nous lui donnons. Si nous cessons de nourrir la bête, elle mourra de faim, tout simplement et disparaîtra."

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"Jamais d'armes ni de sang. Les autorités sont passées maîtres dans l'art de nous faire battre entre nous. C'est leur tactique préférée. Ne tombons pas dans le panneau. Rappelons-nous toujours qui est notre ennemi. Ne tapons surtout pas sur la tête de nos sœurs et frères, fussent-ils de race, de religion ou d'allégeance différente."

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"Depuis des siècles, nous répétons que «l'homme est un loup pour l'homme», sans réaliser que l'homme est un être humain, capable de transcender ses instincts, tandis que le loup est un animal soumis. Abaissons la nature humaine et nous nous comporterons en animaux soumis. Élevons-la, et nous nous comporterons comme des souverains. À nous de choisir. Nous sommes les créateurs de notre futur."

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"Capitalisme, socialisme, communisme, islamisme, libéralisme sont tous des régimes identiques. Seule l'étiquette varie. Tous ces régimes ont un dénominateur commun : le contrôle de la majorité par une minorité. Le pouvoir entre les mains d'une bande de privilégiés qui font passer les lois nécessaires au maintien de leurs privilèges.

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"La sécurité est une illusion que l'on implante dans la tête des gens pour les contrôler, les exploiter et s'enrichir à leurs dépens. La sécurité n'existe pas. Regardons les fleurs : elles naissent, s'épanouissent, fanent, meurent... Puis elles renaissent. C'est cela vivre. Des fleurs en sécurité s'appellent des fleurs séchées. Elles sont belles toute l'année, elles ne risquent rien. Mais elles sont mortes. La sécurité c'est la mort des individus."

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