La Mafia Médicale (1ère partie)
La Mafia Médicale
http://www.noslibertes.org/dotclear/index.php?
Ghislaine Lanctôt, docteure canadienne, a écrit en 1994 un livre très intéressant sur les systèmes de santé européens et nord américains : "La Mafia Médicale". Voici quelques extraits éclairants sur le monde dans lequel nous vivons :
"700 000 Américains meurent chaque année des effets secondaires des médicaments. Le tiers des hospitalisations sont dues aux effets nocifs des médicaments aux USA."
[...]
"Ce n'est qu'au 13e siècle que l'Église accepta que la médecine fût pratiquée. Les écoles de médecine prirent naissance dans les universités. Les femmes en étaient exclues. Ainsi apparut la médecine officielle mâle. Elle était étroitement contrôlée par l'Église qui lui imposait ses dogmes."
[...]
"De 1257 à 1816, l'Inquisition tortura et brûla des millions de personnes innocentes. On les accusait d'hérésie envers les dogmes religieux et de sorcellerie. On les jugeait sans procès, en secret, sous la terreur de la torture. Si elles «avouaient», elles étaient reconnues coupables de sorcellerie. Si elles «n'avouaient pas», elles étaient quand même reconnues coupable d'hérésie. Puis on les brûlait. En trois siècles, on extermina neuf millions de «sorcières», 80 % d'entre elles étaient des femmes et des enfants"
[...]
"De 1910 à 1925, grâce aux règles établies dans le "Rapport Flexner", l'Association Médicale Américaine et l'Association des Collèges Américain de Médecine éliminèrent la grande majorité des soignants médicaux, notamment les femmes et les noirs. Au nom de la science et de la qualité de la pratique de la médecine, on exigea des écoles de médecine qu'elles adoptent les recommandations du "Rapport Flexner". C'est le régime de la terreur médicale. Elles devaient prendre le virage «scientifique», imposé par ce dernier et financé par la fondation Rockefeller, sous peine de disparition.»
[...]
"En 1977, la Déclaration d'Alma Ata donnait à l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) le moyen d'étendre le "Rapport Flexner", non plus seulement à l'Amérique du Nord, mais au monde entier. On déplaça ainsi le contrôle de la santé des mains des gouvernements nationaux vers le gouvernement mondial. On déposséda les pays de leur souveraineté, en matière médicale et on la transféra à un gouvernement mondial, non élu, dont le ministère de la santé est l'OMS. Mais qui est donc à la tête de l'OMS ? Nul autre que nos financiers mondiaux et les responsables du "Rapport Flexner" (Rockefeller et les industries pharmaceutiques). Et que signifie le droit à la santé ? Il signifie le droit à la médicalisation. C'est la porte grande ouverte à la médecine de maladie mondiale, qu'on le veuille ou non. Ainsi, on impose les vaccinations et les médicaments à toutes les populations du globe."
[...]
"Qui oserait douter des bonnes intentions de l'OMS ? Mais nous sommes-nous déjà demandés qui contrôlait l'OMS ? Là est la question et aussi la réponse : l'ONU, l'organisme des financiers mondiaux. De plus en plus subtilement, les autorités médicales et politiques nous dépossèdent de nos biens et de nos droits et nous mutilent. C'est un monopole mondial. Gare à qui s'y oppose. L'inquisition continue... et la chasse aux sorcières se poursuit au 21e siècle, mondialement."
[...]
"Chaque année, nous consacrons trois mois et demi de notre salaire uniquement pour payer notre assurance maladie. Trois mois et demi de travail pour avoir le privilège d'être malade."
[...]
"La médecine scientifique fait disparaître le symptôme et le signe, c'est-à-dire la manifestation dans le corps physique de la maladie. Elle ne guérit pas. Elle ne fait que couper la pointe de l'iceberg. Elle donne l'illusion de la guérison."
[...]
"Prenons, par exemple, le mal de tête. Le symptôme qui amène le patient à consulter est sa douleur. Si on lui donne un médicament pour le soulager, la douleur disparaîtra, mais le mal réapparaîtra dès que l'effet du médicament sera dissipé. Comme on n'a pas remédié à la cause du mal, ce dernier reviendra de plus en plus fort et de plus en plus fréquemment."
[...]
"Contrairement à la médecine allopathique qui soigne la maladie, les médecines douces soignent le malade. Elles connaissent l'importance du terrain (état de santé général) et pratiquent une médecine de renforcement des défenses. Leur but est de nettoyer et d'assainir le terrain du patient de façon à ce qu'il puisse se défendre contre tout agent nuisible."
[...]
"La soumission se traduit, en symptômes, par l'impuissance et la désespérance, deux causes reconnues comme capitales pour les cas de cancer et de suicide. La soumission nous réduit au robot, à la machine serviable, à la marchandise rentable. Elle nous enlève nos fonctions supérieures de conscience et de volonté. Soumission veut dire «mettre sous». La soumission est la grande cause de la maladie. Paradoxalement, tout notre système encourage la soumission : l'école récompense l'enfant sage et punit l'insoumis, l'université enseigne l'uniformisation et décourage la créativité, l'establishment punit sévèrement la désobéissance, on marginalise la différence. La pire forme de soumission que l'on puisse imposer à un peuple, c'est l'assistanat. Et nous sommes tous des assistés. Assurance maladie, assurance chômage, assurance vie, etc. Les autorités tiennent à nous faire croire que nous sommes incapables de nous assumer."
[...]
"La peur paralyse la conscience. Elle rend aveugle et impuissant. Or la peur augmente continuellement dans notre société avec la criminalité, les pertes d'emploi, les faillites, la récession, la maladie, les guerres, etc. La peur est le véhicule de la maladie."
[...]
"La pauvreté semble être la plus grande cause de la maladie. Malgré cela, nos gouvernements réduisent de façon drastique les subsides accordés aux services sociaux et passent des ententes économiques qui plongent nos entreprises dans le précipice de la compétition internationale, insoutenable pour la majorité."
[...]
"Si le patient paie, ce n'est pas lui qui décide, mais les assurances privées ou gouvernementales qui prennent notre argent et l'affectent à ce que bon leur semble. Dès que nous confions notre argent à un autre, nous en perdons le contrôle. Ils ont dès lors tout le loisir et tout le pouvoir de faire ce qu'ils veulent avec notre argent. Ce sont eux les acteurs du système et nous sommes devenus les spectateurs passifs et impuissants."
[...]
"Le praticien est lui aussi dépossédé de son pouvoir. Lui aussi est réduit au rôle de spectateur passif et impuissant. En effet, le médecin n'a pas accès à l'information médicale et encore moins à la pratique qui lui semble la meilleure pour son patient. Ce sont les autorités, les institutions médicales toutes-puissantes qui décident du type de médecine pratiquée."
[...]
"Le patient c'est le client. Il est l'employeur, le payeur, c'est lui qui a le pouvoir décisionnel. Les autres joueurs constituent le corps du système. On parle d'ailleurs de corps médical. [...] En fait nous réalisons qu'il en est tout autrement. Le système est renversé. C'est le patient qui est aux ordres du système de maladie. La bascule du système s'effectue par l'intermédiaire des autorités qui s'immiscent entre le client (le patient) et le corps médical. Les autorités sont un artifice destiné à répondre à des besoins créés artificiellement : sécurité et protection. Elles constituent l'outil de l'usurpation du pouvoir par l'industrie, le paravent derrière lequel l'industrie tire ses ficelles."
[...]
"Pourquoi a-t-on établit un ordre ? N'y en avait-il pas un déjà ? La nature a-t-elle besoin d'être gouvernée ? Les fleurs attendent qu'on les programme pour savoir quand éclore et quand faner ? L'ordre établi est venu supplanter l'ordre naturel. Il est acquis. Il s'impose par la force, la violence. Il établit, met en place ses hommes (les autorités) et leur donne du pouvoir sur les autres. Il fait ses propres lois et les impose par les tribunaux, la police, l'armée. Il va à l'encontre de la nature et de la loi naturelle et donc doit utiliser la force pour y parvenir. C'est la guerre et la maladie."
[...]
"L'establishment n'est pas que médical. Il existe dans tous les systèmes : politique, financier, religieux, universitaire, médiatique, agro-alimentaire, éducatif, artistique, sportif, etc. Tous ces establishments sont identiques et permettent à des privilégiés de se regrouper pour maintenir leurs privilèges. Ces privilégiés se tiennent les coudes pour nous exploiter, nous, la masse des non privilégiés. Toutes ces autorités, de quelques domaines que ce soit, sont amies, même si elles se querellent parfois. Elles s'entraident les unes les autres pour nous dominer et nous exploiter. C'est l'alliance des pouvoirs."
[...]
"La composition de la mafia médicale : le père c'est le parrain, c'est l'industrie. C'est le pourvoyeur et le décideur. Le gouvernement c'est la mère, elle est responsable de la maison. Elle établit les règlements et s'assure que les devoirs sont faits. Tout le monde la prend pour une sainte, alors qu'elle obéit au parrain et sert ses intérêts. Ils ont des enfants : le comptable qui perçoit l'argent et le dirige vers le parrain. Le juge : il maintient l'autorité et les privilèges du parrain. Le syndicat : il assure la soumission des employés au parrain. La mafia a aussi des personnes de confiance. L'informateur assure la soumission par la douceur. Il contrôle l'information, les congrès, les cours, les publications scientifiques, la publicité, etc. Le policier : assure la soumission par la force, pour mater les cerveaux rebelles, c'est le complément de l'informateur. Les complices : le médecin, le fonctionnaire, le scientifique."
[...]
"Pourquoi la mafia jouit-elle de la protection des puissants, des autorités financières, politiques, religieuses ? C'est parce que le gouvernement est aussi une mafia. Le tandem mafia-gouvernement est vieux comme le monde. Le premier veut l'argent, le deuxième veut le pouvoir."
[...]
"Le seul véritable pouvoir, le seul qui soit légitime, qui ait le droit d'existence, c'est le pouvoir de chaque personne, la souveraineté de l'individu. Toute autre souveraineté, y compris celle du gouvernement, est une usurpation de pouvoir."
[...]
"En démocratie, nous sommes persuadés que nous détenons le pouvoir décisionnel via le suffrage universel. Avons-nous réfléchi à ce que représente la démocratie dans laquelle nous vivons ? Elle consiste à mettre un X tous les cinq ans à côté d'un des noms déjà choisis par les autorités établies. C'est cela vivre en pays démocratique ! Il serait temps de constater le résultat de ce régime : guerres, famines, maladies et pauvreté en conséquence de l'exploitation et la domination de la majorité par la minorité."
[...]
"La tactique de la mafia médicale :
1- Surveiller les intérêts des multinationales industrielles et ne rien faire tant qu'ils ne sont pas menacés.
2- Interdire toute thérapie, personne ou produit qui, en améliorant la santé, puisse menacer les profits des multinationales industrielles, toujours au nom du charlatanisme et de la protection du public. Commencer la chasse aux sorcières. La mafia manipule les lois à volonté. Elle est très à l'aise avec les poursuites judiciaires.
3- Récupérer la thérapie sous son aile et la contrôler entièrement si ces mesures ne suffisent pas à stopper la concurrence qui pourrait menacer les multinationales industrielles. Le charlatanisme d'hier devient alors bienfait d'aujourd'hui sous la protection de la mafia.
4- Faire tranquillement basculer la thérapie vers la technologie scientifique par le biais du contrôle de la formation et des modalités de la pratique.
[...]
"Les armes de la mafia sont toujours les mêmes :
1- Diviser pour régner. La fin justifie les moyens.
2- Faire des lois à volonté. Les défaire, les refaire, les contrefaire selon leurs besoins.
3- Compliquer le système et le vocabulaire pour que le public n'y comprenne rien. Lui compliquer aussi l'accès à la thérapie pour qu'il se décourage.
4- Mater les insoumis par tous les moyens. Au début, les déclarer illégaux et les éliminer. Plus tard, leur offrir un statut légal, les intégrer et les contrôler."
[...]
"Les erreurs des médecins :
1- Se quereller entre eux. Compétitionner au lieu de collaborer. Juger les autres.
2- Se quereller avec la mafia. Attaquer ou défendre, c'est jouer à la guerre, c'est mener des batailles dans lesquelles la mafia est championne. Elle contrôle les lois, ainsi que l'appareil judiciaire, policier. C'est une perte de temps et d'énergie totale.
3- Se faire reconnaître par les autorités : diplômes, attestations, approbations, corporations professionnelles, associations, écoles. C'est donner son pouvoir à l'extérieur. C'est oublier sa souveraineté individuelle.
4- Conclure des ententes avec les membres de la mafia : syndicat, école, assurance, etc. C'est oublier qu'ils sont tous à la solde des multinationales industrielles."
[...]
"Le couple multinationale-gouvernement est la pierre angulaire de toute mafia."
[...]
"Ce même partenariat industrie-gouvernement se retrouve à l'échelle mondiale. Il est le produit du gouvernement mondial : l'Onu. Le parrain mondial c'est le financier mondial qui investit dans tous les domaines pour faire des profits. Son slogan est le suivant : «plus il y a de patients, plus ils sont malades souvent, plus ils sont malades longtemps, plus c'est payant» Pour le concrétiser plus rapidement, il empoisonne les aliments (agro-alimentaire) et pollue la terre, l'eau et l'air (industries chimiques)."
[...]
"L'OMS (l'Organisation Mondiale de la Santé) est le ministère mondial de la santé. Elle est mariée aux financiers mondiaux. Son allégeance lui est entière et exclusive. Comme toute bonne mère, elle passe pour une bonne personne, soucieuse du bien-être de tous. Elle donne l'impression d'être au-dessus des mesquineries et étroitesse des gouvernements nationaux. Elle soutien les médecines douces. Mais la «santé pour tous», version OMS implique médicalisation et vaccination pour tous. C'est-à-dire la maladie pour tous."
[...]
"«La concurrence est un péché» John Davison Rockefeller.»"
[...]
'Les personnes ne sont plus des êtres vivants avec des sentiments, mais plutôt une marchandise à exploiter :
1- Il faut vendre
2- Il faut que les médicaments ne guérissent pas. Pour cela ils ne traitent que les symptômes.
3- Il faut que les médicaments rendent plus malades.
4- Il faut que les médicaments soient imposés.
5- Il faut que la concurrence soit éliminée.
6- Il faut contrôler l'information.
7- Il faut que la recherche scientifique soit profitable.
8- Il faut vendre ses produits le plus cher possible."
[...]
" En 1905, le taux de mortalité due à la variole s'élevait aux Philippines, à 10 %. Après une vaccination massive, se déclara une épidémie qui frappa mortellement 25 % de la population dûment vaccinée. Malgré cet échec, les autorités intensifièrent les vaccinations. En 1918, la pire épidémie tua 54 % des personnes, alors que la population était vaccinée à 95 %. L'Île de Mindanao, où les indigènes avaient refusé la vaccination, fut la moins touchée : 11,4 %. Malgré ces évidences, la vaccination antivariolique continua et l'OMS lança, en 1966, une campagne mondiale qui dura 10 ans."
[...]
"Vacciner c'est remplacer une immunité naturelle par une immunité artificielle."
[...]
"Les autorités détiennent l'information, mais elles la verrouillent. Il leur faudra 45 ans avant de divulguer la contamination de 175 000 à 600 000 soldats américains par l'hépatite B, dont le virus était présent dans le vaccin contre la fièvre jaune."
[...]
"Au États-Unis, 20 % des enfants souffrent de «désordre du développement» consécutif aux encéphalites causées par les vaccins. D'où le bouleversement du système d'éducation, incapable de scolariser un tel nombre d'enfants qui ne peuvent ni lire, ni écrire. D'où, en partie, une vague de violence sociale et de crimes perpétrés par des personnalités sociopathes créées par les vaccins. D'où l'usage explosif du Ritalin sur les enfants. On les drogue, tout simplement."
[...]
"En 1973, des chercheurs démontrèrent que les taux de tumeurs cérébrales étaient treize fois plus élevés chez les enfants nés de mères vaccinées contre la poliomyélite durant leur grossesse."
[...]
"Sachons que 45 % des fonds de l'Unicef sont affectés à la vaccination des pays du tiers-monde, tandis que seulement 17 % sont consacrés à l'eau et à l'assainissement. Les enfants du tiers-monde ont besoin d'eau propre et de nourriture et non d'agents agressifs qui les font mourir comme des mouches."
[...]
"Les commanditaires de la conférence d'Alma Ata étaient les suivants : la Fondation Rockefeller, la Banque Mondiale et l'Unicef. Les financiers du monde sponsorisant la santé du monde, quelle générosité..."
[...]
"Pour atteindre son objectif louable de la «santé pour tous en l'an 2000» sainte OMS préconise la vaccination de tous les enfants du monde contre six maladies. Elle lance son Programme Élargi de Vaccination. Un comité pour vacciner les enfants du monde est alors constitué avec Robert McNamara, ancien président de la Banque Mondiale, Jonas Salk, directeur du Salk Institute (fabricant de vaccins) et Van den Hoven, président d'Unilever..."
[...]