LES SUPERMARCHÉS DE LA BONNE CONSCIENCE
Cela commence par la bonne conscience que l'on achète chaque matin en jetant une pièce de 1 euro à un "pauvre type" qui fait le maximum pour que sa malheureuse image valorise celle du donneur.
(L'image de la déchéance des uns, met en valeur l'image de la réussite des autres).
Cela passe par la bonne conscience que certains évaluent à un chèque de 5 000 euros (ou plus) qu’ils rédigent au profit de la lutte contre le SIDA.
Cela aboutit à la bonne conscience que l'on mesure au montant de sa fortune.
Fortune que, par obligation, on se doit de léguer à une œuvre à façade religieuse, humanitaire, ou scientifiqueCela commence par la bonne conscience que l'on achète chaque matin en jetant une pièce de 1 euro à un "pauvre type" qui fait le maximum pour que sa malheureuse image valorise celle du donneur.
(L'image de la déchéance des uns, met en valeur l'image de la réussite des autres).
Cela passe par la bonne conscience que certains évaluent à un chèque de 5 000 euros (ou plus) qu’ils rédigent au profit de la lutte contre le SIDA.
Cela aboutit à la bonne conscience que l'on mesure au montant de sa fortune.
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Cela aboutit à la bonne conscience que l'on mesure au montant de sa fortune.
Fortune que, par obligation, on se doit de léguer à une œuvre à façade religieuse, humanitaire, ou scientifique
Le faux débat de la destination des dons
Dans un marché de dupes, l'argent est forcément bien utilisé
la suite sur le blog de Bernard Monnier http://echofrance23.blogspace.fr/
(L'image de la déchéance des uns, met en valeur l'image de la réussite des autres).
Cela passe par la bonne conscience que certains évaluent à un chèque de 5 000 euros (ou plus) qu’ils rédigent au profit de la lutte contre le SIDA.
Cela aboutit à la bonne conscience que l'on mesure au montant de sa fortune.
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Le faux débat de la destination des dons
Dans un marché de dupes, l'argent est forcément bien utilisé
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