LA GUERRE DES MICROBES DU PENTAGONE-III (suite)

Publié le par sceptix

La guerre des microbes du pentagone-i

 

La guerre des microbes du Pentagone-II

LA GUERRE DES MICROBES DU PENTAGONE-III

LA GUERRE DES MICROBES DU PENTAGONE-III (suite)

LA GUERRE DES MICROBES DU PENTAGONE IV à venir

UN GRAND MERCI à TANTE YVONNE





Les laboratoires pharmaceutiques seraient-ils les premiers à tirer profit de cette catastrophe hypothétique ?

Le Tamiflu, antiviral contre la grippe saisonnière, a été développé et breveté en 1996 par la firme de biotechnologie californienne Gilead Sciences Inc. En janvier 1997, Donald H. Rumsfeld fut nommé président du conseil d’administration de Gilead Sciences, il y est resté jusque début 2001 quand il est devenu Secrétaire à la Défense. Alors que George W. Bush annonçait sa « stratégie nationale » à 7 milliards de dollars contre une éventuelle épidémie de grippe aviaire, Rumsfeld décidait de se mettre en retrait de toute décision gouvernementale sur la maladie. En effet, le magazine financier américain Fortune révélait, le même jour, que Rumsfeld était l’heureux détenteur d’au moins 5 millions de dollars d’actions de la société Gilead Sciences. Après la publication de l’article dans Fortune, le secrétaire à la Défense a préféré prendre les devants face à de possibles accusations de conflit d’intérêt.

Il a indiqué avoir déjà pensé vendre ses actions en début d’année, lorsque la question d’une pandémie possible commençait à se poser. Puis, après avoir consulté le Comité d’éthique du Sénat, les services juridiques de la Maison Blanche et le département de la justice, il avait décidé de ne pas vendre mais de s’abstenir de toute participation aux décisions concernant la grippe aviaire. La moindre des prudences quand on sait que le Pentagone a déjà commandé pour des millions de dollars de Tamiflu pour les soldats US dans le monde. Fortune révélait également que l’ancien secrétaire d’Etat Georges Schultz, moins scrupuleux ou moins exposé et qui siège actuellement au conseil d’administration de Gilead, a vendu pour 7 millions de dollars d’actions depuis le début 2005.

Le Tamiflu est un remède long et coûteux à fabriquer, dérivé de la badiane, l’anis étoilé. Le processus de transformation de cette plante chinoise en antiviral dure plus d’un an. Aussi l’entreprise s’est associée, pour sa fabrication et sa commercialisation, aux laboratoires suisses Roche auxquels Gilead cède, en 1996, tous les droits d’exploitation du Tamiflu contre 10 % des ventes qui flambent depuis les discours de prévention de l’OMS.

Curieux retournement de situation pour un médicament jusqu’à présent considéré par les hommes de l’art comme de la camelote. Les tests effectués avant la commercialisation indiquent que absorbé, dans les 48 heures suivant l’apparition des premiers symptômes de la grippe humaine, leTamiflu peut réduire la durée de la maladie d’un jour et demi. Gain modeste qui peine à rivaliser avec remèdes empiriques et aspirine. De fait, jusqu’à l’arrivée opportune de l’épizootie de grippe aviaire, le Tamiflu vendait tellement peu que Roche pensait à le retirer du marché. Si l’effet sur la grippe humaine est faible, rien ne peut garantir l’efficacité du Tamiflu sur le virus aviaire mutant car ce virus n’existe pas encore. De plus, le virus aviaire a touché tellement peu de personnes dans le monde qu’il y a peu de patients sur lesquels le tester. Il semblerait même que des chercheurs japonais aient constaté qu’en administrant ce médicament à certains malades de l’aviaire, ceux-ci développent immédiatement une résistance au principe actif, qui ne fonctionnerait donc pas du tout.

Cependant, en août 2005, un communiqué de l’OMS informe que la firme pharmaceutique Roche donne à la communauté internationale trois millions de traitements de Tamiflu qui seront destinés à la lutte contre la grippe aviaire dans les pays pauvres. « En cas de pandémie et s’il est associé à d’autres mesures, l’administration de Tamiflu pourrait aider à limiter les maladies et les morts et contenir l’explosion du virus. Ou à en ralentir la diffusion » affirme la suprême autorité pour la santé publique. Avec son obole aux pauvres et grâce à l’aval de l’OMS, le Tamiflu entre en piste dans le cirque médiatique de la grippe aviaire. Cette opération de communication réussie propage le Tamiflu comme unique antiviral qui pourrait s’opposer à la grippe aviaire humaine. En l’espace de quelques mois, et en dépit du conditionnel qui entoure l’événement pandémique, soixante nations s’assurent de réserves pour 25 % de leur population, tandis que les pharmacies sont prises d’assaut par ceux qui se méfient des promesses de gouvernements. Roche annonce que les usines travaillent 24 heures sur 24, de 2004 jusqu’à fin 2006, la production de la précieuse poudre blanche sera décuplée.

En 2005, le chiffre d’affaires du Tamiflu dépasse le milliard d’euros et la multinationale réalisée le meilleur résultat de son histoire. Alors que la moitié de la planète implore qu’on augmente la production ou qu’on délivre le brevet pour permettre la fabrication de génériques, Roche fait savoir qu’il est disposé à négocier. La pression des Nations Unies et des USA s’est manifestée, mais c’est le choix de la stratégie de communication qui une fois de plus l’emporte. Roche se déclare préoccupé de la santé publique et donc, prêt à discuter les conditions de cession de la licence à qui les contactera.

Par ailleurs, l’Organisation mondiale du commerce avait établi en 2001 et confirmé en 2003 qu’en cas d’urgence sanitaire les gouvernements ont le droit de copier les médicaments, en dépit de tout brevet. Anticipant une telle étape, Roche fait figure de philanthrope et se garantit une part des royalties. Etant donné le succès de la première donation, il renchérit avec deux autres millions de traitements, le communiqué de l’OMS récitant : « Nous sommes reconnaissants à Roche de sa généreuse donation ». La production du médicament est prévue pour 300 millions de doses en 2007. Les actionnaires de Gilead se portent bien.

Fortune écrit, en novembre 2005 : « Grâce à la peur d’une pandémie, les actions de Gilead sont passées en six mois de 35 à 47 dollars. Le chef du Pentagone nous a offert un million de dollars ».

En 2007, un conflit éclate entre l’OMS et l’Indonésie qui est un des pays le plus touché par la maladie en termes de mortalité humaine, mais aussi, et ce fait semble d’importance, la seule nation où la transmission inter-humaine se serait produite. Il s’agit du dossier brûlant du partage gratuit des échantillons de virus H5N1 nécessaires pour confectionner un vaccin. En février, la ministre indonésien de la Santé, Siti Fadilah Supari, annonçait avoir signé un accord avec un groupe pharmaceutique américain, la société BAXTER International. Le contrat prévoit l’envoi gracieux de souches virales de H5N1 en échange de vaccins contre l’épidémie, à tarif préférentiel, en cas d’urgence. La connaissance des séquences virales conditionne la mise au point de vaccins et l’OMS a immédiatement dénoncé ce contrat, au nom de la santé publique et de l’intérêt général. Elle appelle au principe de partage gratuit d’échantillons. L’Indonésie se sent doublement lésée : son bilan en victimes la place au premier rang des pays fournisseurs de souches virales de H5N1 alors que ses chercheurs ne sont pas associés à la recherche. Or, un dépôt de brevet de vaccin rapporte beaucoup d’argent et face à la menace d’une épidémie mondiale de grippe aviaire, le marché est prometteur et les laboratoires sont en rivalité dans la course à la découverte du vaccin.

En monnayant un contrat d’exclusivité, souches contre vaccins, avec Baxter, le gouvernement indonésien a donc tiré son épingle du jeu, au risque de faire perdre du terrain aux laboratoires qui travaillent sous le parrainage de l’OMS. Car si cette organisation souhaite la transparence des données au nom d’une noble cause, qui est de parer à une pandémie mondiale, elle protège aussi une quinzaine de laboratoires dans le monde qui, selon un arrangement conclu sous ses auspices, se partagent confidentiellement des informations cruciales sur le virus H5N1. Le système actuel est tel que l’OMS et ses affiliés partagent des échantillons de virus avec des sociétés privées, sans collaborer avec les états d’où proviennent ces échantillons de virus. « C’est inacceptable pour les pays en voie de développement.» s’insurge la ministre indonésienne. A moins d’accords du type de celui que l’Indonésie demande, rien n’empêche les laboratoires de l’OMS de passer un contrat d’exclusivité avec des compagnies pharmaceutiques, ce qui pourrait conduire à de graves problèmes d’accès aux médicaments pour les pays en développement en cas de survenue de la pandémie.

Certains scientifiques et certains gouvernements interpellent publiquement l’OMS afin qu’elle publie cette base de données dans l’intérêt de la santé mondiale. Mais l’OMS ne donne pas les noms des laboratoires collaborateurs réticents à la publication des informations sur le séquençage de la grippe aviaire, parce ceux-ci veulent garder des droits sur l’information. Il est clair pour tous les observateurs que les Etats-Unis représentent l’obstacle principal. Le Centre pour la prévention et le contrôle des maladies (CDC) et le Centre des opérations du programme mondial de surveillance de la grippe des Etats-Unis, refusent de rendre publiques la plupart de leurs informations sur le séquençage. Les données qu’ils détiennent proviennent bien entendu d’échantillons du virus de la grippe aviaire collectés dans les pays atteints. L’aspect financier de cette affaire est révélateur des enjeux de la réponse à la grippe aviaire. La plupart des fonds consacrés à la lutte contre la grippe aviaire ont été centralisés en janvier 2006 lors d’une conférence à Beijing où près 30 donateurs se sont engagés pour 1,86 milliards de dollars. Parmi les donateurs, les Etats-Unis sont ceux qui dépensent le plus pour la grippe aviaire, même si la souche H5N1 du virus n’a pas encore touché le pays. L’argent de Washington afflue partout et stimule également ses entreprises, en particulier celles du secteur de la santé. Les fonds affectés à la surveillance par exemple, une des priorités pour le gouvernement des Etats-Unis, bénéficieront à Applera Corporation, qui est sur le point de lancer un partenariat mondial pour la distribution des protocoles de séquençage et des kits de détection de la grippe aviaire de la compagnie.

Lors des manifestations de cas de grippe aviaire, des échantillons du virus sont donc envoyés soit à des laboratoires collaborateurs de l’OMS pour des tests, soit directement collectés par divers programmes de surveillance des Etats-Unis, comme celui géré par le Réseau mondial des unités de recherches médicales de la Marine du Ministère de la Défense (NAMRU). Il faut noter que l’homme qui est responsable du réseau NAMRU au Secrétariat à la Défense des Etats-Unis est D.Rumsfeld, notoirement impliqué dans l’industrie pharmaceutique. On devrait se souvenir que Rumsfeld, quand il fut nommé président de G.D. Searle, fit pression sur la Food and Drug Administration pour permettre la mise sur le marché de l’Aspartame refusé pendant les dix années précédentes.

Il y a une unité NAMRU en Indonésie, qui sert en même temps de centre collaborateur de l’OMS pour les maladies infectieuses en Asie du Sud-Est. En mai 2008, après 30 ans de collaboration, le gouvernement indonésien demande au NAMRU de quitter le pays à l’expiration de son contrat. Le laboratoire de l’US Navy, NAMRU-2, est suspecté par les autorités indonésiennes de se livrer à des activités secrètes. « L’idée que l’unité de recherche médicale de la Marine fasse de l’espionnage est tout simplement absurde » déclare le chef-adjoint de la mission diplomatique américaine. « Rien n’est couvert par le secret-défense, tout est totalement transparent. Le NAMRU-2 est un laboratoire de recherche biomédicale sur les pathologies infectieuses, au bénéfice mutuel des Etats-Unis, du ministère indonésien de la Santé et de la communauté internationale de santé publique. » assure-t’il. « Pourquoi donc un laboratoire de santé devrait-il être géré par l’armée ? » rétorque la ministre de la Santé indonésienne.

Dans son livre publié dernièrement « Il est temps pour le monde de changer : La main divine derrière la grippe aviaire » la ministre prétend que Washington utilise des échantillons de grippe aviaire partagés par des pays touchés pour créer des armes biologiques. Elle écrit notamment : « Il n’est pas impossible qu’il puisse exister dans les pays développés un groupe de personnes assez folles pour recombiner les virus afin de provoquer une pandémie mondiale. » Le ministre de la Défense indonésien, Juwono Sudarsono, se déclare, quant à lui hostile, à prolonger l’immunité diplomatique des chercheurs américains du NAMRU-2. « Il est clair qu’il faut mettre un terme aux activités du NAMRU-2 et fermer ses locaux ici. » a indiqué Mutamimul Ula, un parlementaire du Parti de la justice et de la prospérité. « Nous envisageons de proposer la création d’une commission parlementaire spéciale chargée de clarifier les raisons de la présence du NAMRU en Indonésie. » a de son côté annoncé Sidarto Danusubroto, un député du parti PDIP. Le chercheur indonésien en biodéfense, Isro Sanihardjo, a déclaré que les États-Unis pourraient utiliser les échantillons de virus de l’Indonésie pour développer des armes au laboratoire de Los Alamos. Isro était interrogé à propos du récent livre de la ministre Siti Fadilah. Washington et Jakarta négocient depuis 2005 une poursuite de la coopération entre le NAMRU-2 et le ministère de la Santé indonésien, mais les discussions sont dans l’impasse. L’Indonésie a en tout cas cessé d’envoyer ses échantillons de virus H5N1 au NAMRU-2.

Que penser de cette grave polémique ? De telles accusations lancées par des membres d’un gouvernement à l’encontre d’un autre sont sérieuses. Il est difficile d’imaginer qu’elles ne sont proférées que dans le but de faire pression au sujet du litige, entre les deux pays quant à la souveraineté nationale sur les virus et aux enjeux financiers qu’elle implique. Ces exigences sont qualifiées de « dérive hallucinante » par Richard Holbrooke, diplomate américain, dans un texte du 23 septembre dernier co-écrit avec la responsable Santé au Conseil des relations étrangères. Dans celui-ci, il s’élève contre le refus indonésien de collaborer sur le virus H5N1. Il regrette que depuis 2005, l’Indonésie ait partagé avec l’OMS des échantillons provenant de seulement deux des plus de 135 personnes recensées comme étant infectées par le H5N1. Il s’étonne que le gouvernement indonésien menace de fermer l’unité de recherche médicale 2 de la marine américaine « qui fournit aux organismes de santé publique à travers le monde des informations transparentes d’importance vitale. » Il n’hésite pas à accuser l’Indonésie de favoriser l’émergence de nouvelles souches de grippe par son refus de communiquer les échantillons de virus. Enfin, il affirme qu’« il faut faire front à l’accusation de l’Indonésie selon laquelle NAMRU-2 est un site de recherche d’armes biologiques. »

Ces allégations indonésiennes ne sont-elles pas à rapprocher des avertissements de Francis Boyle qui dit que suivant des directives de stratégie nationale adoptées par Bush en 2002, le Pentagone « est maintenant en train d’accélérer pour mener et gagner une guerre biologique sans information ou approbation préalable du public. » ? Boyle rajoute que le Programme de Défense Chimique et Biologique du Pentagone a été révisé en 2003 pour supporter une frappe « de premier usage » en cas de guerre et que ce programme inclut « Red Teaming », ce qu’il décrit comme « complot, planification et organisation de comment utiliser la guerre biologique ». En outre, le biologiste moléculaire, Jonathan King, de l’Institut Technologique du Massachussetts avertit que « l’administration Bush a lancé un programme majeur qui menace d’exposer la santé de notre peuple à beaucoup plus de risques que les aléas auxquels elle prétend être en train de répondre. » King ajoute que la politique du président Bush « n’améliore pas la sécurité du peuple américain » mais « crée un nouveau risque pour notre population de la plus effroyable espèce ».

Dans une étude réalisée en 2004, l’Association médicale britannique a lancé un avertissement à l’effet que le monde n’est peut-être qu’à seulement quelques années d’ « armes biologiques terrifiantes capables de tuer seulement les personnes de certains groupes ethniques » en citant les progrès réalisés dans la technologie des armes génétiques.

La grippe aviaire pourrait-elle devenir une de celles-ci, après manipulation génétique du virus ? Pourquoi le NAMRU-2 tient-il autant à recevoir les échantillons de l’Indonésie ? Se préparent-ils à une pandémie de grippe ou préparent-ils une pandémie de grippe ? A moins que cette hystérie entretenue par l’OMS ne le soit que dans des buts lucratifs.

Dans l’expectative, nous constatons que les autorités craignent la lassitude des populations face à l’annonce maintes fois réitérée et pas concrétisée de cette catastrophe prédite. « Pandémique fatigue » cette expression fait le tour des congrès de virologie du monde entier. Elle indique la crainte des spécialistes face à la démobilisation d’une opinion publique mondiale lassée de s’entendre menacer d’un risque de pandémie aviaire incertain. L’OMS, les gouvernements, les fabricants de vaccins et les spécialistes de virologie multiplient les déclarations alarmistes pour tenter de convaincre de la certitude de sa survenue, sinon de sa date. Les congressistes réunis à l’occasion de la troisième conférence sur la grippe organisée à Faro ce mois-ci par l’Association des médecins en lutte contre la grippe (ESWI), se disent convaincus que : la « La pandémie adviendra. Quand ? Mystère ! ». Tous les résultats d’études qui sont actuellement publiés semblent donc bien parvenir aux même conclusions : l’humanité est bien à l’aube d’une grande pandémie mondiale due à une prochaine mutation de la grippe aviaire qui favorisera sa propagation entre les humains. La principale question qui hante désormais les chercheurs n’est donc plus "si", mais "quand" cette mutation interviendra t’elle ?

Le 16 juin 2008, Sanofi Pasteur, la division vaccins du groupe Sanofi-Aventis, annonce dans un communiqué de presse son engagement à donner 60 millions de doses de vaccin H5N1 à l’OMS pour la constitution d’un stock de réserve international. Même méthode pour capter le marché mondial qu’entreprise par Gilead pour le Tamiflu. Sanofi Pasteur se déclare être au premier rang pour la préparation à la menace de pandémie de grippe grâce à son expertise dans le développement et la fabrication de vaccins contre la grippe saisonnière. Sanofi est engagé dans un solide programme de recherche et développement et dans un plan ambitieux de production de vaccins contre la grippe saisonnière et pandémique. En avril 2007, la FDA a déjà enregistré un vaccin contre le virus H5N1 de Sanofi Pasteur, premier vaccin humain contre la grippe aviaire autorisé aux Etats-Unis. Sanofi Pasteur a également annoncé l’achèvement de la construction aux Etats-Unis d’une nouvelle usine de production de vaccin contre la grippe saisonnière. Cette usine, à la pointe de la technologie, est prévue pour être opérationnelle dès 2009. Enfin, une nouvelle unité de remplissage doit entrer en fonction en France qui permettra d’augmenter les capacités de production totales. Ce « prétendu » vaccin rentre en concurrence directe avec le Tamiflu, l’antiviral de Gilead.

Guerre biologique et terrorisme - Francis A.Boyle- Editions Demi Lune

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Moussaoui, un terroriste bien étrange et bien dérangeant

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Pharmacokinetics and Safety of an Anti-Vascular Endothelial Growth Factor Aptamer (NX1838) Following Injection into the Vitreous Humor of Rhesus Monkeys

Daniel W. Drolet (1) , Joyce Nelson (2), Christopher E. Tucker (3), Philip M. Zack (3), Kerry Nixon (2), Richard Bolin (3), Mark B. Judkins (2), James A. Farmer(2), Julie L. Wolf(3), Stanley C. Gill (3) and Raymond A. Bendele (3)
(1) Gilead Sciences Inc., 2860 Wilderness Place, Boulder, CO, 80301
(2) Sierra Biomedical, 587 Dunn Circle, Sparks, NV, 89431
(3) Gilead Sciences Inc., 2860 Wilderness Place, Boulder, CO, 80301

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http://geopolintel.kazeo.com/



De : Tante Yvonne
vendredi 5 décembre 2008


http://bellaciao.org/fr/spip.php?article75629

LA GUERRE DES MICROBES DU PENTAGONE-III
5 décembre 2008 - 23h27 - Posté par 82.***.222.***

Sur le site http://geopolintel.kazeo.com/ l’article comprend un dernier paragraphe, non reproduit ici, et qui finit par la phrase :

"En raison de tout ce qui précède, l’émergence de toute épidémie ou même de toute nouvelle maladie, en quelque endroit du globe, doit être attentivement et lucidement considérée."


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TRUH BOODDHA MEISONNIER LYCEE ST FRANCOIS ASSIE ST QUNETIN YVEZLNIUES SUITE FEATURING BOODDHA INSTANT DE GIVENCHY :BOUDE P 2006 CAISESE DE DEPOTS ET DE COONSIGNATIONS TITRE MICHELIN NASA  2002 PART 5 P 57TOKOY EXCHANGE BIBLIOPLURIDISCIPLINAIRE DE VAUBAN BIBLIO ENSA 5  TITLE AMERICAN  HISTORICAL REVEIW 2005 2 P 1217 YANKEES WINNIG ET LIOSING IN BUSINESS  :LI KAHN MECAI LRESEARCH MLT MOORE LYNDON THE SEA RANCH MOORE L THE SEA RANCH CONDOMININIUM ATHLEYIC CLUB P 30 INDSUTRIES ET TECHNOLOGIE  2001 828 832 PLUS N HS OCT 110 BUREATIK TELEMATIKGALANONOGANO  778 2008 OP 34 762 2006 P 36 761 2006 P 39 760 2006 P 16 ET 17 759 P  16 758 P 18 757 2006 P 27 756 2006 P27 755 2006 P 28 752  2005 P 18 753 2005  P 23754 2006 P22777 2008 P 25 776 2008 P 48 775 P 34774 P 19770 2007 P 19772 2008 P 60 767 2007  P 32 771 2007 P 44769 2007 P 6 AUTMOBLIE CONFIRME SON RECUL 768 2007 P 19 766 2007 P 51 765 2007 P 24764 2007 P 34763 P 29718 2008 P 47719 2002 P 147720 2002  214 721 2002 P 323 722 2002 P 411 723 P 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P 82 159  JUNE 2008 P 82 159 JUNE 2008 P 41 158 MAY P 108 162 MAY  P 108 162 AUGSQT P 222 160 JULY 1 200P 80 157 ARPIL  II P 73 161 JULY II P 80 144 2007 P 133 142 143 2007 P 159 ET  P 135  149 152 2007 P 171  146 148 2007 P 219 145 2007 P 182PHYSICS TODAY  52 1999 1/4 P 5 N 3 53 2000 1/4 N 2 52 1999 9/12 P 58 52 5/8 P 50 JUNE  54 2001 6/9 P 92 54  1/5 P 21 53 2000 5/8   N 8 PART 2 53 9/12 P 121 58 2005  1 /6 P 28 MARCH  57 2004 9/12  P 80 55 2002 5/8 P 64 1/4 P 45 FEB 54 2001 10/12 P 60 NOV 55 2002 9/12 P 58 1/7 P 6 MARCH 58 2005 7/12 SUPP P 26 NOV  60 2007 7/12 AUGUST 57 2004 5/6 P 60 JULY 57 2004 1/4 P 42 FEB 56 2003 10/12 SUPP JULY  2003 1/4  MARCH  TITLE  SEMAINE JURIDIKK ED EISE 1996 ETUDE JURIS P 399 JUMELLAGE STAPLING DE BEERS BIJOUX CONSOLIDATED RECORVERS  MINES JEWELLERY  REVUE DE COMOTABLILITE  2003 357  365   MASTER CARDIDEM 2007 N 405 P 30 399 2007 P 13 ET P 30 390 2006 P 18 395 2007 P 9  INDEMNISTE DE FIN DE CARRIERE FABIEL VOLSON LESLIE BULETIN OF SCIENCE TECHNOLOGY ET STYE  14 1994 P 132 POCKEET   VERSION  THE BRITISCH JOURNAL FOR  PHILISOPHY OF SCIENCE  41 1990   136044 8E P 351HISTORY ET PHILOSOPHY OF LIFE   13 1991 P 94 2007 29 N 3 P 311 2007 29 N 42 P 465 1999 21 N 3 P 292 1 P 42 20 1998  P 307 19 199P 106 23 2001 P 146 22 2000 P 102 28 2006 P 362 200 25 2003 P 118JOURNAL OF COMPTATIONNAL PHYSICS 227 ISS 1 2007 P 586 224 1 P 159 223 2 P 626 227 3 200P 1711 2 2007 P 1261 224 2 2007 P 1002 223 1 2007 PO 72 222 2 2007 O 546 222 1 P 140 221 2 P 512  JOURNAL OF MATHEMMATICS ANALYSSIS ET APPLICATION 336 2 2007 P 932 325 1 2007  P 250 2 P 1145 326 1 2007 P 86 2 P 1265 330 2  2007 P 881 330 1 P 235 329 2 2007 P 930 329 1 P 518 328  2 2007 P 885 328 1 P 262 327 2007 P 921 327 1 PP 170 334 2 2007 P 986 334 2 2007 P 986 334 1 2007 P 175 333 1 2007 P 134 333 2 2007 P 703 332 2 2007 P 1250332 1 P 492 331  2 P 866 331 1 P 444TITLE REVUE TRIMESTRILLE DE DROIT EUROPE GRUNDIG CONCESSION   ANNALE GEOPHISIC  24 2006 11 12 P 2984 SUPER DARN RADAR ACTUAL MAGNETOE IN THESE SECTOR ALASAKA GREENLANDSOLID STATE SCIENCE 2 2000 1/4 P 190 7 2005 1/6 P 50 6 2004 9 /1P 1045 6 5/8 P 404 1/4 P 89 5 2003 6/12 P 1168 8 2006 1/6 P 163 7/1P 885 7 2005 7/12 P 962 5 2003 115 P 212 ET   712 3 2001  5/8 P 642 3 2001 1/4 P 129  2 2000 5/8 P  594 4 2002 5/12 P 738 4 2002 1/4 P 121ECHEC ET MAT KEANU REEVES ET BENHAMARA DEPECHE TOI  KATE MOSS  BURBERRYS  SUITE DETTES 400 MILLIONS EURO SIDERUGIE TITLE  HARVARD BUSINESS REVIEW MAUY JUNE  P 109 LETS CHANGE THE WAY THE PENTAGON DOES BUSINESS ET IDEM JULY AUGUST  1971 P 75 ET IDEM  US BK ABORAD ONE STOPE SHOPPING ET IDEM 1973 VOL 3 1 P 40 HBR SEP OCT  1953 JAPANESE :MONUMENTS ILE DE FRANCE HERVAS P 704 INSTITUT  AERONAUTIK AST CYRE ENGINREVIEW OF SCIENTIFIK INSTRUMENTS  1998 69 N 1 P 776 78 2007 1/3 013702 2 77 2006 11 12 1149 01 /3 78 2007 4/6 P 43901 ET 053712 7/10  P 073103 10 12 103906 76 2005 10/12 1049 01 3 1233 70276 2005 7/9 073704  09115 09390777 2006 3 0349021/2 01510577 1010F 326 477 2006 7/9 073 70177 2006 4/6 043 707SOLID STATE SCIENCE 10 11 NPV 200 P 158511 P 13069P 1161µ 8 P 1021 7 P 859 6 P 718 5 P  564 2 P 183 3 P 272 1 P 18EUROPEAN JOURNAL CHEMPHYCHEM 9 N 5 2008 P 73 17 P 2491 10 P 23411P 61 2 P 27614 P 206115  P 216613 P 18673 P 403 14 P 1457 2 P 1129 6 P 841 9 P 1259 7 P 973 11 P 1548 4 P 527ANNALES GEOPHYSICAL   15 1997 1/5 A 10 TECHNICAL INSTRUCTIONS FOR DIGITAL IMAGE ATMOSPHERRE HYDRISPHERE ET SPACE SCIENCES   ECHEC ET MAT JACQUES CHIRAC RODOLPHE COURAGE
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TRUTH BOODDHA MEISSONNIER LYCEE ST FRANCOIS ASSIE ST QUERNTIN YVELNIES SUITE FEATURING BOODDHA INSTATN DE GIVENCHY /BOUDE P 2006 CAISSE DE DEPOTS ET  DE CONSIGNATIONS TITRE MICHELIN NASA   2002 PART 5 P 57 CH CIVL TOKYO EXCHANGE BIBLIOPLURIDISCIPLINAIRE DE VAUBANTITLE SEMAINE JUIRDIK ED EIE 1996 ETUDES JURIS P 399 JUMELLAGE STAPLING DE BEERS CONSOLIDATED MINES GUARDIAN  9 MARS 1994: QUINTITLIEN LIVRES 4 ET 5 INSTITUTION ORATOIRE P 96 GILA LUSTIGER INVENTAIRE   P 210 A 211 REPOUSSE AMOURFABLIER N 1 REVUE DES MAIS DE JEAN DE LA FONTAINE 1989 P 50 17 2006 P 3715 2004 P 3316 2005 P 326 1994  P 565 1993 P 26 3 1991 P 28 2 1990  P 44 10 1998 P 68 11 1999 P 49 9 1997 P 49 9 1991 P 638 1996 P 656 7 1995 P 63N 4 1992 P 33 13 2001 P 50 14 P 44 12 2000 P 40 QINTILIER LIVRE II III ORATOIIRE P 65 LMIVRE 1 LXXXIII ET P 99 XII P 133 X XI P 222 VIII IX P 105AISNE AU PAYS DE LA FONTAINE CASTERAMN P 71IDEM 4E SIECLE DE ILLUSTRATION PROMODIS P 78 ET 79TITLE AMERICAN HISTORICAL REVIEW 2005 2 ¨1217 TAKING ON YANKEES WINNIG LOSING IN BUSINESS  :IKAHN  R MEDICAL RESEARCH BUILDING PEN P 40 MLT W MOORE LYNDON THE SEA RANCH  CONDOMINIUM ET ATHLETIC CLUB P  30JOURNAL OF OPTICS A 10 N 4 2008  P 6 044005 10 3 2008 P 35004   2 P 6 1 P 5 0150055 P 14 0550066 P 4 064 0085 P 6 0150091 P 5 015 0054 P 5 0044 005 3 2001 1/3 P 81 2 2000 4.6 R11 2      1/3 P 77 6  2004 1/3 P 132 5 2003  1/3 P 100 4 2002 4.6 S 19 1/3 P111 3 2001 4/6 S 40 6 2004 4/6 P 4486 P  7/9 P 7746    10 12 P 994 29 1998 P 83 7 2005 2/6 S 153 ET S321 5 2003 4/6 S 16 EUROPEAN JOURNAL OF MECHANICAL  2 7 5 2008 P 766 27 4 2008 P 583 5 P 805 ET P 867 18 1999 1/3 P 130 ET P 105  18     4/6 P 69320 2001 1/3 P 13317 1998 4/6 P 55922 2003 1/3 P 13220 2001 4/6 P 61821 2002 5/6 P 862 17 1998  4/6 P 70720 2001 1/3 P 190 ET 513 17 1998 1/3 P 13021 2002 1/3 P 17419 2000 4/6 P 6951/3  P 1791999 4/5 P 634 ET 691 26 2007 1/3 P 104 26 4/6 P 672 ET 844 25 2006 1/6 P 33224 2005 4/6 P 70024 2005  1/3 P 67223 1/3 P 180 22 2003 4/6 P 641TITLE EUROPE 1995 1996 TABLE P 4 NOV N 404 RESEAUX TRANSEUROPE ORIENTATION  TGVDIALOGUE SUE VEILLESSE CICERON 1850  :DIALOGUE COCHINCHINOISD DES MICHELS ABEL 1871 TISSUE REPAIE CONTRACTION ET MYOFIBROABLASH GABBIANI G 2006 AGUILERA DIVINATION PAR ECAILLE DE TORTUE CHVANNE  I BEAUMONT P 1992  SCORBUT ET CHIRURGIE DENTAIRE DS LA MARINE AUSSET E 1902 BARLOW SCORBUT JEANSELME E 18 SCORBUT DE MER OU VESTIGE DE CULTE PHALLIKKADDOURA NAWAF  1982 DIFFUSEUR CONIKANNALES POINCARE 4 2003  N 4/6 P771 ET 938 5 2004 1/3 P 131 5 2004 4 6 P 737 ET 934 6 2005 1/3 P 349 6 4/6 P 776 2001 1/3 P 2272 2001 4/6 P 751 ET 1015 3 2002 1/3 P 182 1 2000 1/3 P 127 3 2002 4/6 P 7154 2003 1/3 P 167 IDEM SUPP 1/2 S 187 8 2007 1/4 P 105 39 2003 1/6 P 219 37 2001 P 117 36 2000 /16 P 111 35 1999 P 253T 135 FASC 2 2007 BULLETIN DE STES MATHEMATIK DE FR  P 237 135 FASC 4 P 503  1 P 37 3 P 369 134 2006 P 93133 2005 P 1761999 78 79 P 134 1999 72 75 P 139 126 1998 P 199 ET 602 132 2004 P 492003 92 95 P 15 131 200P 150130 2002 P 237 129  2001 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18E1991 VOL A GRANDE VITEES APPROCHE DE MUR DU SON SHELL INTERNATIONAL PETROLEUM COMPAGNYPREPARATION SONIK CANAUX SHPAERS LAURICHESEE 1986JAMIN E 1941 SOUFFLERIE AERODYNAMIL A SUCCION SONIKDUCRUET F 1986 PREPA ULTRASONORE ET SONORE DE 80 DENT 2004  AVION DE TRANSPORT SUPERSONIK BANG SONIKORGANISATION DE AERONAUTK MARITIME CONSTANTONE THOSAND ROADS TO MECCA WOLFE M 1997 KATE MOSS WINTOUR EM 2006 ERALY TECHONLOGY IN NORTH BRITAN KENWORTHLY ARCELOR ORMITAALA 1981 MORETTI MARIO  DETTES DE 400 MILLIONS EUROACTUALITE CHIMIK N 317 2008 P 52 319 P 24 316 P 22 318 P 20 322 2008 VII N 322 315 P 18323 324 P 42 320 321 P 37325 P 122004 P 29 N 279 2003 P 29 N 2792003 P 42 JUILET  2002 P 42 JUILLET 1 2002 P 1 MARS  1998 1/12 P 16  N 65  2001 P 64 MARS ECIS 2000 1/12 P 46 MARS 1999 N 4ANNALES DE CHIMIE VOL 33 5 2008 ET SCIENCE DE MATE P 392 33 3 2008 P 196 4 P 318 2 P 105 1 P 33 25 2000 P 120 24 1999 P 11228 2003 P 84 VOL 28 2 2003 27 2002 P 73 26 2001  P 21423 1998 118 P 278EUROPEAN JOURNAL OF MECHANICS FLUIDES  17 1998 4/6 P 55227 ISS 6 2008 P 10375 P 5544 P 4033 P 273 1 P 33 20 2001 1/3 P 118 18 1999 4/6 P 729         1/ 3 P 425 SKY  ET TELESCOPE  111 2006 1/6 P 46 FEB    109 2005 1/6 P 64 APR 110 2005 1/6 P 100 112 2006 1/6 P 80 DEC SUPERPOSITION QUANTIK ANNALE DE PHYSIK EDP 4/5 2007 P 456 2007 32 P 5532 N 1 P 412 3 P 70ANNALES DE PHYSIK  24  1999 3/6 P 17426 2001 4/6 P 11926 2001  1/3 P 13325 2000 1/3 P 5 N 2 C1  1998  C167 ETR C 1 10523 1998 5 6 P 69 23 1998  P 115 27 2002  4/6 P 6 N 5 1/6 2006 P 133  1/6 2005 P 17 N 2EPJAP 44 N 2 2008 P 134 N 1  P 18 43 3 P 29143 2 P 22348 2 P 21542 N 3 P 20942 N 2 P 8941 N 3 P 19942 N 1 P 1541 N  1 P 5141 2  P 10525 26 2004  N 327 28 2004 P 252 29 30 P 121 ET 19 N 1 37 38 2007 P 238 31 32 2005 P 178 33 34 2006 P 171 35 36  2006 P 19523 24  2003 P 14521 22 P 14219 20 2002 P 170 ET P 198 17 18 P 112RGN REVUE GNERAL NUCLEAIRE  1998  P 42 N 2  2004 P 802003 P112  COMPETITIVITE FRAMTONE ANP 2000 P 49 N 2 1999 P  51 N 2 2002 P 22 N 22000 P 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II P 10E902 110E 504APRT  1 103 704 13 79 N 1 P 702 8      2  PART 1 02305 501 6 P 025 105 PART 2 P 027524 2 79 N 4 P 044301 2 3 P 033710 4ATTENTION FEMMES A MAL A LA TETES JOURNAL O OF RECREATIF MATHEMATICCS 33 2004 2005 P 111  32 0003 2004 P 21331 2003 P 105REVUE DE MATHE SPEC 109 1999 5/8 P CRYPTOGRAPHIE 109 1998 6 10 P 7941/5 P 203110 2000 /5/8 P 693 110  1999 P 133109  9 10 P 1210110 1999 2000 9 /10 P 1043115 2005 2/4 P 112          3/4 P 66 112 2002 3/4 P 208 113 2002 2003 3/4 P 163 111 2000 2001  1/6 P 205 114 2004 1/2 P 72  113 2002 2003 1/2 P 77112 2001  2002 1/2 P 129 N 2 TANGENTE  1999 67 71 P 66 20003 90 95 SUPP P 18 N 91 2002 84 89 P 42 N 85 2001  79 83 P 4 N 81 2000 73 78 P 88
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