Le génocide des juifs Sépharades par.....ISRAEL

Publié le par sceptix

En voici le synopsis : En 1951, le directeur général du ministère israélien de la Santé, le Dr. Chaim Sheba, prenait l'avion pour l'Amérique, d'où il a ramené sept appareils de radiographie (à rayons X), que l'armée américaine lui avait cédés. Ces appareils de radiographie furent utilisés pour une expérience nucléaire massive, une génération complète de jeunes Séfarades furent utilisés en guise de cobayes. Chaque enfant séfarade allait recevoir 35 000 fois la dose maximale de rayons X, dans la tête. A cette fin, le gouvernement américain versa annuellement au gouvernement israélien 300 millions de livres israéliennes. A l'époque, le budget global du ministère israélien de la Santé ne s'élevait, quant à lui, qu'à 60 millions de livres, soit 5 fois moins !

Les fonds versés par les Américains correspondraient, de nos jours, à deux milliards de dollars.

Afin de circonvenir les parents des victimes, les enfants furent emmenés en « voyage scolaire », et on dira plus tard aux parents que les rayons X étaient un traitement contre une épidémie de teigne. 6 000 des enfants cobayes décédèrent peu après leur irradiation, beaucoup des survivants développant des cancers qui emportèrent des milliers d'entre eux, au fil des années, et qui continuent à tuer certains d'entre eux, encore actuellement.





Genocides sepharade israel 2
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Israël : Les Enfants Irradiés du Sionisme
Mondialisation.ca, Le 23 novembre 2006


Des enfants mizrahis (juifs d'origine moyen orientale venant de pays arabes) ont reçu régulièrement de hautes doses de rayons X en prévention d'une épidémie de teigne. Ils ont souffert enfants et, adultes, continuent de souffrir des conséquences de ces traitements particulièrement nocifs pour leur santé, une véritable expérimentation menée sous la responsabilité du ministère israélien de la santé de l'époque. Ces cobayes, victimes de stéréotypes racistes, sont peu nombreux à avoir réussi à obtenir des compensations pour les souffrances endurées et les pathologies provoquées, notamment des cancers.

Israël – Les Enfants Irradiés du Sionisme De la fin des années 40 jusqu'aux années 60, entre 150 000 et 200 000 enfants juifs israéliens mizrahis ont été irradiés. Cependant, moins de 17 000 victimes ont été reconnues par un comité nommé à cet effet. Des 34 000 demandes déposées pour obtenir compensation, 47% ont été rejetées. Actuellement le gouvernement a l'intention de réduire les aides pour ces victimes de radiation. Cette histoire de la teigne est un exemple type des préjugés racistes paternalistes institutionnalisés dans l'état sioniste, reflet du colonialisme euro centrique.

Les garçons et fillettes mizrahis qui ont subi ce traitement, de même que leurs parents, ont été stéréotypés par les institutions de santé de l'état comme étant primitifs, sales, ayant besoin d'être lavés, éduqués, civilisés et développés. Dans ce processus qui a totalement ignoré leurs droits humains les plus élémentaires, les autorités médicales les ont transformés en cobayes d'une vaste expérimentation. De plus, à travers le processus de compensation, on constate que ce racisme structurel de la société sioniste n'est pas un fait du passé, mais se perpétue dans le présent.

Malgré les 51 années qui se sont écoulées, Albert Asayag un habitant de Dimona âgé de 55 ans se souvient clairement du moment traumatisant quand il a été attaché à une chaise et que sa tête a été irradiée pour le traitement de la teigne, une maladie touchant le cuir chevelu.

A l'âge de 4 ans il a émigré avec ses parents et leurs 4 autres enfants du Maroc en Israël. C'était en 1955, pendant l'une de ces grandes vagues d'immigration en provenance d'Afrique du Nord. Quelques mois plus tard, après que sa famille se soit installée à Kfar Shamai (village de Shamai) dans le nord d'Israël, des autorités sont venues et ont emmené Asayag et le reste de la fratrie au camp de transit pour immigrant de Sha'ar Ha'aliya près de Haïfa.

« Je me souviens que j'ai beaucoup pleuré. Je ne voulais pas m'asseoir sur la chaise et ils m'ont forcé. Je me souviens qu'il ont répandu un produit chaud, comme du goudron, sur ma tête, et m'ont retiré tous mes cheveux, » se souvient-il.

Asayag a fait partie de dizaines de milliers d'enfants d'immigrés juifs d'origine moyen orientale et de pays d'Afrique du Nord, qui ont été exposés à des radiations de haute intensité dans le cadre d'un projet de l'institution médicale israélienne d'éradication de la teigne. Cette initiative a eu lieu de la fin des années 40 jusqu'aux années 60. Les fungus qui provoquent la teigne du cuir chevelu – Microsporum canis et Tricophyton verrucosum - - sont particulièrement contagieux parmi les enfants, et peuvent provoquer des rougeurs avec démangeaison et plaies squameuses pouvant causer une perte de cheveux permanente.

Actuellement Tinea capitis est traité à l'aide de crèmes fongicides et occasionnellement des antibiotiques. Mais, à cette époque, par crainte d'une épidémie le personnel médical « traitaient » les enfants d'immigrés en les exposant à des radiations d'un taux équivalent à 500 rayons X standard. Asayag se souvient avoir passé deux mois au camp de transit de Sha'ar Ha'aliya pour recevoir ces radiations.

Il y a douze ans, Israël a reconnu sa responsabilité dans les résultats destructeurs de ces radiations injustifiées dont cicatrices permanentes sur le cuir chevelu, perte totale de cheveu, chute de dents prématurées, et tumeurs bénignes et malignes. La loi israélienne de compensation du Tinea Capitis stipule que celui qui peut prouver à un comité d'experts du ministère de la santé qu'il a été irradié enfant peut bénéficier d'une compensation en fonction du dommage causé à sa santé.

Interrogation/torture

Mais, les victimes doivent suivre un parcours du combattant pour recevoir cette compensation qui leur revient de droit selon cette loi.

Zvi Regev, un avocat qui a représenté environ 1000 cas individuels devant ce comité d'experts, témoigne que « quelqu'un qui dépose un dossier de demande de compensation pour la terrible souffrance qui lui a été infligée, subit un interrogatoire du type torture. Les membres du comité essaient de le coincer avec des questions pièges, ignorant le fait que des douzaines d'années se sont écoulées depuis les évènements. Par exemple, si la personne dit qu'elle a expérimenté une douleur pendant la radiation, sa demande sera probablement rejetée. Parce que, pour être précis, ce n'est pas la radiation – qui est indolore - - mais le fait d'extirper ce qui restait de cheveux sur son cuir chevelu qui était douloureux» dit-il.

Asayag dit qu'il a décrit au comité la couleur des fleurs qui poussaient près de la pièce de radiation à Sha'ar Ha ‘alyia. « Ils m'ont demandé comment je m'en souvenais. Je leur ai répondu que je ne pouvais pas l'oublier parce que depuis ce moment là j'ai des maux de tête ».

L'attitude rigide du comité s'est avérée être un moyen efficace et économique de préserver les dépenses publiques. Selon des statistiques du ministère de la santé, jusqu'au milieu du mois dernier, 34 000 personnes ont déposé plainte contre l'état demandant des compensations en lien avec la loi de 1994 dite Tinea Capitis. 47% de ces plaintes ont été rejetées. Seuls 16 908 personnes ont pu apporter des preuves que le comité n'a pas rejeté et ont réussi à obtenir compensation.

Malgré cela, le trésor public essaie toujours de réduire les coûts relatifs à la loi du Tinéa Capitis. Une clause d'un amendement à la loi stipule qu'un individu peut demander des compensations »jusqu'à 4 ans après l'évènement lui permettant de demander compensation. »

Une deuxième clause de l'amendement stipule que « les protocoles de délibérations du comité des experts et les décisions concernant l'éligibilité à compensation sous la loi Tinea Capitis peuvent ne pas être fournis aux partis ».

Selon Avri Rav-Hon un avocat d'une ONG qui aide les victimes et qui a représenté des milliers de victimes de Tinea Capitis : « malgré son obligation morale, l'état a reconnu à un nombre infinitésimal de victimes le droit à compensation. Selon des témoignages et les archives, entre 150 000 et 200 000 enfants de moins de 15 ans ont été exposés à ces radiations sur une période de 14 ans, en Israël et dans des camps de transit en Europe. »

Parce que les compensations sont accordées selon la loi Tinea Capitis en fonction de la gravité de la maladie de l'individu, quelqu'un comme Asayag qui n'a pas pour l'instant développé de tumeurs maligne et souffre « seulement « d'être partiellement chauve et de maux de tête permanents, ne peut recevoir que 5 pourcentage de points sur les 39 accordés pour handicap. Cela lui permet de toucher un seul paiement de 1,218 shekels par point.(1 shekel = 0,18 euro)

« Le comité m'a compensé il y a un an. Malgré le fait que cela représente un petit changement compte tenu de ce que j'ai souffert, je ne veux pas passer des examens approfondis. J'ai vraiment peur qu'ils trouvent d'autres problèmes. La famille me dit que c'est dangereux, mais je ne veux pas les écouter. J'ai dit au comité, « si je découvre que l'ai la maladie (le cancer), je ne le supporterais pas. »

Quiconque tombe malade de la « maladie » - - incluant la leucémie, le cancer de la peau, de la thyroïde et de la gorge - - a légalement droit à une compensation maximum. Des individus avec 75-100 points de handicap ont le droit à une seule compensation de 150 000 shekels et à des versements mensuels de 1400 à 1800 shekels. Une fois que le comité a accepté la revendication de l'individu comme quoi il a été exposé aux radiations pendant son enfance, un comité de l'Institut National de l'Assurance détermine le niveau de compensation, et des paiements rétroactifs sont versés à partir du jour ou la loi a été mise en application en 1994.

Selon les données de l'Institut National de l'Assurance, Israël paie aux victimes des radiothérapies contre le Tinea Capitis des allocations pour handicap à celles ayant 40 points et plus. A la fin de l'année dernière, il avait versé 790 millions de shekels ; 3150 personnes reçoivent des allocations mensuelles pour handicap.

Les victimes de cette expérimentation vivent majoritairement dans des villes dites de développement (villes ou dans certains quartiers s'est surtout développé la pauvreté, la misère) comme Dimona, Sderot, Ofakim, Be'er Sheva. Ce sont des gens pauvres, peu éduqués, que l'état et son personnel de santé ont traité comme des pestiférés, exprimant par là un racisme institutionnel propre au régime sioniste lié à l'Europe coloniale dont étaient originaires ses têtes pensantes et idéologues, des ashkénazes, qui ont et continuent de dominer la sphère des élites de l'état sioniste.

Apres leur avoir irradié le cuir chevelu à outrance, le gouvernement sioniste coupe les cheveux en quatre pour éviter de les dédommager alors qu'ils ont été utilisés comme cobayes. Des enfants juifs dont le seul tort étaient d'être aux yeux de ces sionistes colonisateurs européens, des « juifs arabes » comme certains s'appellent eux-mêmes.

Sources des témoignages et de certaines informations: 
un article du quotidien israélien Haaretz daily (
http://www.haaretz.com/hasen/spages/787468.html ) transmis par l'association féministe antimilitariste israélienne New Profile (www.newprofile.org)

Planète non violence


 Articles de Myriam Abraham publiés par Mondialisation.ca



On devrait adresser ces infos au SIONISTE Enrico MACIAS ( y doit pas les connaître !!!)
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N
Je ne comprends pas comment les Juifs sépharades continuent de cotoyer ces monstres, comment ils ont pu quitter les peuples arabes et musulmans avec qui ils avaient cohabité si longtemps pour prendre le" parti de ces Ashkhénazes dont tout les séparait puisqu'ils étaient pour la plupart athées ! Pourquoi est-ce qu'ils ne se débarrassent pas de ses monstres en les renvoyant vers leur continent d'origine ? Je suis sûr que dès le départ de ces étrangers de Palestine, Juifs et Arabes, Musulmans ou non, arriveraient à s'entendre comme par le passé. Il faut décoloniser la Palestine en renvoyant les pseudo-Juifs européens chez eux .
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M
J'ignorais cela ! ça m'étonne à demi ! un état raciste ne peut nous étonner quant à ces pratiques.Les ashkénazes au sommet, les falachas en bas, les sépharades entre les deux.Ils auraient du rester au Maroc ceux-la.Quel crime ! six ans après la libération des camps ! j'aime la conclusion cf Macias (on pourrait rajouter Boujenah et consorts tant les sépharades sont hypersionistes.).Une chose m'étonne cependant : qu'ils n'aient pas demandé de réparations aux états-unis ! et là je suis sérieux, c'est tellement dans la mentalité de cet état quémandeur et racketteur.Merci pour ce document très fort et révoltant.Malheureuses victimes ! cela fait mal au coeur.Bisous Charlotte.
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