Lettre ouverte au président de la République (à relayer d'urgence)
Voici un mail que je reçois de Patrice, je vous demande de relayer cette lettre sur vos blogs et sites, merci.
Lettre ouverte au président de la République
Paris et Internet, le 27 mai 2009
Patrice Hénin
75012 Paris
http://patricehenin.blogspot.com
Monsieur le président de la République,
Vous avez affirmé, aux côtés de M. le président Barak Obama, "... la France a une politique droite, honnête et conforme au droit international !".
C'est faux, la France n'est plus un état de droit.
J'ai découvert, au bout de 3 ans de procédures policière et judiciaire, que vous êtes, non pas le président d'une "démocratie irréprochable", mais d'une véritable république "bananière".
J'aie ouïe dire que vous vouliez moraliser le capitalisme.
Alors, vous devriez vous intéresser à ce qui m'arrive.
Tous ceux qui connaissent déjà mon affaire sont révoltés par cette machination judiciaire destinée à m'éliminer, moi et ma mère. Pour du fric. Et au profit de mon frère et de ma soeur, qui vivent en Floride.
Je suis convoqué le jeudi 28 mai 2009 par le juge d'application des peines qui va m'expliquer comment exécuter les obligations auxquelles j'ai été condamné. Je suis condamné à 6 mois de prison ferme si je n'exécute pas ces 3 obligations.
Monsieur le président, je n'irais pas à cette convocation. Vous pouvez envoyer vos gendarmes, je n'aurais pas d'armes, comme dans la chanson. Je ne suis pas un déserteur, je respecte la loi et ses obligations.
Mais nul ne peut remplir des obligations absolument impossibles à exécuter.
J'ai été condamné le 2 juin 2008 par la cour d'appel à trois obligations :
- trouver un logement et être assigné à résidence fixe.
Je suis locataire de mon appartement depuis 28 ans, Monsieur le président.
Je n'ai pas l'intention de déménager.
Je ne vois pas pourquoi je devrais trouver un logement et y fixer résidence. Votre justice est folle.
- trouver un travail.
J'ai travaillé toute ma vie, Monsieur le président.
Aujourd'hui, je suis un handicapé déclaré inapte au travail depuis 2001, à cause d'un grave emphysème et d'une BPCO.
Je suis mis en retraite d'office le 1er août 09 et j'ai déposé mon dossier de pension de retraite le 26 mai 09.
Je ne vois pas pourquoi je devrais trouver un travail sous peine d'aller en prison. Votre justice est folle.
- me soumettre à des soins médicaux obligatoires, avec hospitalisation si nécessaire.
Pour faire soigner une "dangerosité" inventée par une experte-psychiatre, sans procès ni avocat.
Je ne suis pas dangereux, Monsieur le président. Cela m'est physiquement impossible.
Je ne peux plus faire le moindre effort sans être essoufflé, avec 53% de poumons utiles.
Tout ceci se rapporte à un courriel que mon frère m'avait envoyé en juin 2004, dans lequel il écrivait : "je te ferai interner le moment venu".
Une lettre de cachet.
Mon frère s'est présenté en avril 2006 dans un commissariat de mon quartier après m'avoir frappé comme un fou avec un vélo trouvé dans la cour de ma mère.
Il a déclaré que j'étais dangereux pour ma mère, que je l'avais menacée de mort, parce que je voulais hériter plus vite de tout (!), que j'étais un vagabond type SDF, parasite de la société qui n'avait jamais travaillé de sa vie (à 57 ans !) et que donc il fallait me faire interner pour le bien de tous.
C'est une captation d'héritage fondée sur une série de diffamations ahurissantes.
Le fait qu'il parle d'héritage dans une déposition pour coups et blessures aurait dû mettre la puce à l'oreille des policiers de ce commissariat.
Au lieu de cela, les policiers ont créé les faux témoignages nécessaires. Le fait que je sois la victime avec plaies et hématomes constatés par un médecin a été ignoré. Ils ont écrit que j'étais l'agresseur. Puis les juges ont entérinés, sans que je puisse me défendre ou être présent.
Les avocats ne se sont jamais présenté, m'ont fuit. Une avocate m'a quand même reçu pour me prendre 600€ en espèces avant de disparaître. J'attends depuis 3 ans que ma députée veuille bien alerter la Commission Nationale de Déontologie de la Sécurité. J'ai écrit à la police des polices. Au bâtonnier des avocats.
Le fait que mon frère a déjà été condamné aux Etats-Unis pour violences physiques envers sa femme pendant leur divorce a été ignoré.
Les 4 dépositions du rapport de police qui décrivent la scène de l'altercation sont différentes !
Une experte-psychiatre déclare un handicapé respiratoire "dangereux, en particulier envers son frère..."
Il me semble que l'on a surtout tenu compte du fait qu'il était millionnaire, franco-américain, promoteur immobilier en Floride ayant travaillé dans le groupe Bouygues comme Directeur Général.
J'ai raconté l'affaire dans mon blog politique, je vous ai envoyé un courriel à la présidence en juillet 2007. Pour toute réponse, mon blog a été suspendu, ma ligne TV Internet et téléphone coupée plus de trois mois sans explications.
Même un forum où j'avais lancé un débat sur les machines à voter a été interdit.
Je vous signale que mon frère a touché son chômage de 1993 à 1996 alors qu'il était promoteur immobilier en Floride.
Je l'ai hébergé quelques jours en 1995. Il avait pris l'avion pour répondre à une convocation de l'ANPE.
Expliquez aux français comment vous allez moraliser cela.
Puisque ce frère qui vit en Floride se faisait adresser son courrier chez moi, j'ai reçu son relevé de carrière. Ses 4 années de chômage comptent dans le calcul de ses annuités.
Expliquez aux français comment vous allez moraliser cela.
Il ne m'est plus possible d'aller à la police, qui n'est pas policée, de faire intervenir des élus, qui sont tous soit corrompus ou se disent impuissants.
Parce que mon frère est intouchable. S'il est arrêté, il se vengerait en parlant des transports de fonds nationaux et internationaux qu'il a effectué pour corrompre des hauts fonctionnaires, pendant qu'il travaillait chez Bouygues Immobilier. Et de bien d'autres choses qu'il me racontait à l'époque, pour m'épater !
Alors, au soulagement général, il a été décidé que je devais disparaître avec camisole chimique pour ne plus parler, écrire et publier.
J'ai donc cherché l'aide ailleurs que dans le pays des Droits de l'Homme. Le 07 juin 2008, j'ai été reçu par le premier secrétaire d'ambassade de Chine pour lui expliquer que les droits de l'homme étaient bafoués en France et de publier mon affaire. Il m'a demandé les copies des pièces du dossier qui prouve que le président de la République française couvre des atteintes aux droits de l'homme dans son pays.
Je lui ai donné les codes d'accès du blog, pour qu'il puisse accéder aux nouveaux articles malgré la suspension.
Depuis ma visite "en Chine", Monsieur le président, vous avez renoncé à exiger du gouvernement chinois qu'il reçoive le Dalaï-Lama. Vous avez renoncé à le rencontrer. Aujourd'hui, vous faites dire à votre ministre des affaires étrangères que le Secrétariat des Droits de l'Homme "est un erreur".
Monsieur le président de la République, je vous soupçonne de haute trahison.
Monsieur le président de la République, donnez une prime aux acteurs de mon drame, policiers, magistrats, avocats, notaires, élus...
Vous remettrez une Légion d'Honneur à mon frère, parce que je continue à recevoir des témoignages de ses escroqueries aux Etats-Unis, il se lève tôt le matin pour cela.
Quand je travaillais en Floride, on me disait que mon frère faisait du trafic d'armes.
Si vous trouvez que mon histoire est normale, alors vous êtes aussi fou que votre justice est folle.
Et vous perdez toute légitimité, en laissant la police et la justice aider des escrocs à "prospérer".
J'attends vos gendarmes, Monsieur le président.
Si vous êtes incapable de me rendre justice, sur ordre de mon frère, alors vous n'êtes plus légitime.
Monsieur le président, démissionnez, ou abdiquez, comme vous voulez, mais partez !
http://www.lepost.fr/sondage/2009/03/25/1470133_sarkozy-doit-il-demissionner.html
Je demande aux lecteurs de ce courriel de ne pas le considérer comme un "spam", mais comme une bouteille à l'Internet. Demandez l'explication à Sarkozy, ou au juge d'instruction Catherine BARES 01 44 32 70 97, 12-14 rue Charles Fourier 75013 Paris. Elle me convoque le 28 mai 2009 à 10h30.
Ecrivez à la Cour Européenne des Droits de l'Homme pour qu'elle passe en urgence ma requête numéro 32405/08 du 13 janvier 09.
Et vous, les médias, publiez.
A qui donc puis-je m'adresser, si ce n'est à l'opinion publique ?
Monsieur le président, la République, c'est pas à vous, c'est à nous.
Je vous prie d'agréer, Monsieur le président, l'expression de mes sentiments respectueux.
Patrice Hénin
http://patricehenin.blogspot.com
http://patricehenin.over-blog.com/
http://patricehenin.blogspirit.com/
http://www.xooit.com/app/forum-inexistant.php?lang=fr&forum=patricehenin.xooit.com&uri=%2Findex.php