Senari économiques catastrophiques: Le démantelement du service public (6)
A l'inverse des nationalisations (cf article du 8 août 2009) et des confiscations (cf article du 12 août 2009), les états qui possèdent encore quelques actifs peuvent décider de "vendre les bijoux de familles".
Les pays occidentaux, dont la France, ne sont que trop familiers de cette façon de faire. Les prétextes utilisés sont multiples et les raisons réelles le sont tout autant.
Généralement, les gouvernements aiment évoquer le retour à la libre concurrence; ce qui en soi est louable.
Une fois de plus le discours officiel cache bien souvent une réalité tout autre. Vendre un actif, c'est simplement vendre "un bijou de famille" afin de tenter d'équilibrer un budget public en déficit de façon endémique. Ces ventes sont fréquemment des pertes nettes, le prix obtenu étant fortement sous le prix payé au départ additionné des subventions, renflouements fournis. Pire encore, la vente se fait souvent par morceau; les parties rentables trouvent preneur et les parties non rentables restent dans le giron de l'état.
L'état fait peu de cas des biens durement acquis en les revendant avec plus ou moins de succès après avoir été un piètre gérant. En une phrase; c'est du coulage! Mais c'est surtout le signe que l'état vis au dessus de ses moyens et avance à grands pas vers le gouffre de la faillite.
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Une fois de plus le discours officiel cache bien souvent une réalité tout autre. Vendre un actif, c'est simplement vendre "un bijou de famille" afin de tenter d'équilibrer un budget public en déficit de façon endémique. Ces ventes sont fréquemment des pertes nettes, le prix obtenu étant fortement sous le prix payé au départ additionné des subventions, renflouements fournis. Pire encore, la vente se fait souvent par morceau; les parties rentables trouvent preneur et les parties non rentables restent dans le giron de l'état.
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