Le contrôle du radar de Kurecik (Turquie) est entre les mains de l’OTAN
Le contrôle du radar de Kurecik est entre les mains de l’OTAN
Le système du bouclier antimissile européen a été à l’ordre du jour du Sommet de l’OTAN aux Etats-Unis.
Le Sommet de Chicago de l’OTAN a pris fin avec l’approbation de la stratégie de retrait progressif en Afghanistan. Le bouclier antimissile européen a également été à l’ordre du jour du Sommet.
Le président Abdullah Gul a représenté la Turquie au Sommet de Chicago.
Lors de son discours de clôture du Sommet, le président américain Barack Obama, a expliqué que dans le cadre du système de bouclier antimissile en quatre étapes, dont l’une vient d’être opérationnelle, le contrôle du radar installé en Turquie sera sous le commandement de l’OTAN.
Obama a insisté sur le fait que le bouclier antimissile n’était pas prévu à l’encontre de la Russie, mais qu’au contraire, il était possible de coopérer avec Moscou à ce sujet.
Plus de 50 pays ont participé à ce Sommet, dont 28 pays alliés, et c’est la stratégie de retrait en Afghanistan qui a été le sujet central de la réunion.
Selon le plan approuvé lors du Sommet, les forces combattantes de l’OTAN, soit quelques 130 000 soldats toujours déployés en Afghanistan, vont se retirer progressivement au profit des forces afghanes.
Lors du Sommet, le chef d’Etat pakistanais Asif Ali Zardari n’a pas été convaincu pour ouvrir les voies de ravitaillement de l’OTAN qui passent par le Pakistan.