Vaccinations : où est le problème ?
On a remarqué que l’organisme, lorsqu’il est confronté à un germe pathogène,
a la faculté de fabriquer un anticorps
spécifique à ce germe, pour lutter contre lui.
A partir de là, confronté ultérieurement à ce même germe, l’organisme sera immédiatement et « sans délai », en
état de se défendre, ayant déjà l’anticorps spécifique dans le sang.
D’où l’idée de faire fabriquer systématiquement et préventivement des anticorps spécifiques aux principaux germes
des maladies les plus fréquentes et les plus graves.
Comme vous le voyez, l’idée des vaccinations n’est pas seulement séduisante, elle est BELLE.
« BELLE, c’est un mot qu’on dirait inventé pour elles… ». Mais là, ce serait plutôt « notre drame de pari… ».
Les vaccinations ne seraient-elles pas en fait le type même de vraie fausse bonne idée pseudo scientifique ?
Ne ferait-on pas un certain nombre d’erreurs fondamentales ?
On a déjà connu la cortisone de synthèse artificielle, qui devait à jamais résoudre le douloureux problème des
rhumatismes… On sait ce qu’il en est advenu… C’est normal, l’erreur était à la base, sur l’origine de la maladie !
Avec les vaccinations, ne ferait-on pas des paris hasardeux et audacieux ?
- Pari sur l’atténuation des virus dans les vaccins ?
- Pari sur la stabilité de virus aux pouvoirs mutagènes sous-évalués ?
- Pari sur les capacités à réagir du système immunitaire qui, comme tous les systèmes de l’organisme, peut créer
des « surprises » ?
- Pari sur les capacités du système immunitaire immature des bébés, à supporter les assauts de dizaines de
vaccins et rappels ?
- Pari sur l’efficacité des vaccinations artificielles dont le taux d’anticorps tombe rapidement, et qu’il faut « rappeler »
régulièrement de façon INCESSANTE, contrairement aux anticorps créés naturellement, qui le sont pour la vie ?
- Pari sur la faculté de l’organisme à assimiler ces poisons (très) violents, qui, s’ils étaient dans un aliment le
rendrait totalement impropre à la consommation ?
- Pari sur l’origine des maladies dont une erreur fondamentale est de croire que les germes en sont à l’origine, alors
qu’ils ne sont qu’un « effet », comme la fièvre ?
- Pari sur le fait que sera sans conséquences de ne pas laisser les maladies infantiles se dérouler naturellement,
alors qu’elles forgent le système de défense de l’enfant ?
C’est ainsi que LES PETITS RHUMES FONT L’IMMUNITE.
« Les enfants qui fréquentent une crèche ont deux fois plus de rhumes à l’âge de 2 ans que ceux qui restent à la
maison. ». C’est le résultat d’une étude menée sur 1000 enfants par le Dr Thomas Ball, professeur à l’University of
Arizona College of Medecine (USA). Si exprimé ainsi, ce résultat est inquiétant, en contrepartie, l’étude montre
« que ces enfants se trouvent immunisés très tôt, et tombent moins souvent malades que ceux qui sont restés à
la maison ou sont gardés en plus petit groupe ».
En fait, cela corrobore ce que nous disons sur le rôle essentiel des maladies infantiles pour forger les défenses
immunitaires des enfants. Et contrairement à la propagande officielle, c’est une grave erreur de vacciner avec le
« R.O.R. ». Il vaudrait bien mieux tout faire pour que les enfants « fassent » ces maladies dès que possible, dans
de bonnes conditions. Ils seraient en plus, immunisés pour le reste de leur vie, contrairement aux vaccins (lesquels,
non seulement ne les empêcheront pas de les avoir à un âge (trop) avancé, plus délicat, mais au contraire, les
favoriseront à cet âge tardif, pour les y avoir repoussées… C’est pourtant l’argument utilisé scandaleusement à
contresens par la propagande).
Extraits de Floraison n° 31, 39, Spécial juillet 02, 49 et 51
Campagne contre le syndrome du bébé secoué et ROR
Nous assistons à une nouvelle campagne contre le syndrome du bébé secoué. C'est certainement justifié devant la
multiplication des cas actuellement. Les parents (ou les nourrices) excédés par les pleurs du bébé, finiraient par le
secouer et provoquer ainsi des lésions vasculaires cérébrales.
Campagne pour le R.O.R.*
Or le groupe de vaccins R.O.R. (Rougeole, Oreillons, Rubéole) peut créer des symptômes s'apparentant à ceux du
"bébé secoué". C'est le vaccin contre la rougeole qui en est responsable, en provoquant une thrombocytopénie
(chute des plaquettes sanguines)**. C'est à ce titre que le Danemark a classé le R.O.R. dans la catégorie des
drogues à haut risque. Deux mécanismes sont invoqués pour expliquer ces accidents : - soit une diminution de la
production des plaquettes par la moelle osseuse, - soit une destruction des plaquettes en circulation, par un
mécanisme auto-immun, suggéré par la présence de complexes immuns antigène-anticorps chez certaines
victimes.
Il est évident que de tels accidents, consécutifs au groupe de vaccins R.O.R., peuvent être imputés à tort aux
pauvres parents.
*C'est de vacciner qui rend ces maladies "méchantes". Elles sont repoussées à un âge plus avancé, car seule la
maladie immunise pour la vie, et c'est fou que la publicité reprenne cela comme "argument" pour la vaccination...
**Et celui contre les oreillons : des complications articulaires, et pour le vaccin contre la rubéole : des méningites.
Quel cocktail !
Mais avec le groupe de vaccins R.O.R., des accidents nerveux sont aussi observés, comme la panencéphalite
subaiguë sclérosante, la paralysie ascendante bilatérale, les convulsions, l'hémiplégie, la myélite transverse,
l'ataxie cérébelleuse, l'hémiparésie et la radiculonévrite, la surdité, sans oublier l'autisme, qui survient 24 h à 1 ou 2
semaines après la vaccination.
ALUMINIUM, LE RAPPORT ACCABLANT
La MFM (MyoFasciite à Macrophages) est une nouvelle affection concernant l'enveloppe des muscles
(inflammation, voire nécrose). Cela se traduit par une grande fatigue chronique, due au fait que l'organisme
s'épuise à lutter en permanence contre lui-même. Mais cela va jusqu'aux maladies auto-immunes gravissimes
comme la sclérose en plaques. La MFM semble liée à l'injection intramusculaire des vaccins, dont la réponse
immunitaire est obtenue par un adjuvant à base d'hydroxyde d'aluminium. Sont concernés par cette affection les
vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, les hépatites A et B et la méningite. Une étude
épidémiologique lancée il y a 2 ans par l'AFSSPS (Agence Française de Sécurité Sanitaire), par l'INVSC (Institut
National de Veille Sanitaire) et par le GERMMAD (Groupe d'Etude et de Recherche sur les Maladies Musculaires),
et rendue publique dernièrement, conclut sans ambiguïté que (extrait de la page 12) : « Les données actuelles
permettent de conclure à l'existence d'une lésion histologique particulière, qui n'avait pas été identifiée
antérieurement, caractérisée notamment par l'existence d'un infiltrat inflammatoire de l'épi-, péri- et de
l'endomysium périfasciculaire, avec présence de macrophages contenant des inclusions, dans lesquelles on a
identifié la présence d'aluminium. La découverte de cette lésion particulière dans la région deltoïdale, précisément
celle qui constitue le site d'injection usuel des vaccins, suggère l'origine vaccinale de l'aluminium retrouvé dans les
macrophages. La fréquence élevée des antécédents de vaccination chez les patients présentant la lésion, plaide en
faveur de l'origine vaccinale de cet aluminium ».
Mais l'histoire ne s’arrête pas là. Malgré ces premiers résultats plus qu'alarmants, une commission d'experts de
l'AFSSPS, publie alors un communiqué pour le moins "étonnant", dans lequel elle dit : « Au regard de ces
éléments, nous ne demandons pas, à ce jour, la réalisation de nouvelles études épidémiologiques ».
Colère du Pr Patrick Chérin, du service de la Pitié-Salpêtrière (Paris), président du GERMMAD, co-signataire de
l'étude : « C'est une aberration. D'autres études sont nécessaires afin de comprendre comment les vaccins
déclenchent cette pathologie. Cette réaction pose la question de l'indépendance des experts qui composent cette
commission, et qui vraisemblablement ne veulent pas remettre en cause ce type de vaccins activés à l'aluminium,
pour des raisons économiques ».
Au dernier épisode, l'AFSSPS, visiblement mal à l'aise sur cette affaire, faisait un communiqué rectificatif, disant en
substance, qu'elle restait favorable à l'approfondissement des recherches et entendait maintenir une veille active
sur les risques liés à l'usage d'aluminium dans les produits de santé. Dont acte... même si le Pr Chérin fait part de
son scepticisme et juge ces dispositions notoirement insuffisantes.
Nous avons vu en effet dans le dernier Floraison que les vaccins n'étaient pas les seuls concernés par l'aluminium,
les déodorants/antitranspirants du commerce (non bio) le sont spécialement aussi.
Or, si nous savons que l'aluminium est utilisé dans les déodorants/antitranspirants pour son action contre la
transpiration (alors que l'on peut fort bien le remplacer), est-il vraiment indispensable dans les vaccins ?
Avant tout, il faut savoir que les toxines de bacilles (tétanos, diphtérie), les virus cultivés sur des cellules
cancérisées de reins de singes, d'ovaires d'hamsters, d'embryons de poulets (poliomyélite), ou les anticorps issus
du génie génétique (hépatites A et B), ne sont pas suffisamment protecteurs seuls. Au point que l'on est même en
droit de se demander s'ils offrent ne serait-ce que le minimum de protection attendu. Voilà pourquoi un adjuvant de
l'immunité est absolument indispensable : pour obtenir un tant soit peu de réaction immunitaire "durable", de
l'organisme vacciné. Rappelons que malgré tout, les rappels doivent être multipliés, et que la réaction immunitaire,
lorsqu'elle se fait, est très limitée dans le temps, contrairement à une immunisation naturelle qui dure toute la vie.
Avant l'hydroxyde d'aluminium, on utilisait notamment des métaux lourds*, mais ils ont été jugés trop dangereux et
pas assez efficaces. Or l'hydroxyde d'aluminium, qui se comporte comme un métal lourd, a le "mérite" (!) de se
combiner avec la ferrite du plasma et de se déposer ainsi de manière quasi définitive dans les tissus.
Malheureusement, l'injection massive de ces vaccins en intramusculaire depuis 1992/93, au lieu d'une injection
sous-cutané, n'a fait qu'exacerber la nocivité de l'adjuvant et semble avoir aggravé les réactions auto-immunes.
Il faut encore savoir que la concentration d'aluminium dans le sang, admise comme "normale", est de 15 µg/litre.
Qu'à partir de 60 µg on est face à un grave empoisonnement et qu'à 100 µg d'aluminium dans les tissus nerveux,
les lésions sont irréversibles (cas de l'ESB, de la maladie de Creutzfeldt-Jacob, de l'Alzheimer et de la sclérose en
plaques). Or, à l'âge d'un an on en a déjà injecté à un bébé, 1250 µg sous forme de vaccins... La politique vaccinale
ne ressemblerait-elle pas un peu à celle de gribouille, qui consiste à se jeter à l'eau pour ne pas être mouillé... de
peur qu'il pleuve ?
Mais pourquoi s'obstiner avec l'hydroxyde d'aluminium ?
Tout simplement parce que sans lui, ces vaccins, obligatoires pour la plupart, ne provoqueraient pas assez de
réponse immunitaire et de ce fait, n'auraient vraiment aucune justification. Par ailleurs, changer (encore) d'adjuvant
entraînerait un investissement colossal pour les industries du médicament, et ce, pour un résultat comparable, par
définition. Puisqu'il faut comprendre que, de même qu'il y a un "truc" en magie, il y a un "truc" pour ces vaccins :
c'est la toxicité à long terme de l'aluminium. Stocké dans l'organisme, l'aluminium l’agresse durablement et induit
(ou renforce) de ce fait, la réponse immunitaire espérée. Et malheureusement, parfois cela dérape. Mais avec un
adjuvant non toxique (ou s'éliminant vite), pas d’agression, pas de réponse, pas de vaccination. CQFD. L'aspect
toxique et durable est indispensable, c'est aussi pour cela que l'on est passé d'une injection sous-cutanée à une
injection en intramusculaire, induisant une réponse plus vite, plus forte et plus longue, mais beaucoup plus
risquée...
*Le BCG utilise encore un sel de mercure !
Mme Jacqueline P.-B. d'Argentat, à propos de l'aluminium dans les vaccins :
« Se pourrait-il qu'il y ait une erreur page 2 du Floraison n° 49, où il est indiqué -la concentration d'aluminium dans
le sang, admise comme "normale", est de 15 µg/litre. A partir de 60 µg on est face à un grave empoisonnement et à
100 µg d'aluminium dans les tissus nerveux, les lésions sont irréversibles (cas de l'ESB, de la maladie de
Creutzfeldt-Jacob, de l'Alzheimer et de la sclérose en plaques). Or, à l'âge d'un an on en a déjà injecté à un bébé
1250 µg sous forme de vaccins...- Ne serait-ce pas 125 µg ? ».
Hélas, s'il y a erreur, il faut craindre que ce ne soit pas dans ce sens. Suite à votre remarque, nous avons interrogé
un grand biologiste, très "pointu" dans le domaine des vaccins, pour vérifier les chiffres que nous avancions. Voici
la retranscription mot pour mot de sa réponse : « Difficile de répondre dans la mesure où le contenu en aluminium
des vaccins est rarement indiqué. Cette valeur est de 65 microgrammes par dose de tétracoq et de 1250
microgrammes pour chaque dose de GenHevac B. Pour Engerix B il y a aussi de l'aluminium, mais la quantité
n'est pas précisée (peut-être du même ordre que GenHevac ??). Donc un nourrisson ayant reçu 3 doses de
Genhevac (non obligatoire) et 3 doses de tétracoq (obligatoire seulement pour la partie DTPolio) se retrouve avec
(1250x3) + (65x3) soit 3945 microgrammes d'aluminium. Je ne peux vous en dire plus. Bien sincèrement, M.
Georget ».
En effet, aussi inadmissible que cela puisse être, les fabricants de vaccins n'indiquent pas toute la composition (la
coutume n'est-elle pas pour un médicament d'indiquer le principe actif, par exemple xxxxxx 2 % et excipient 98 %,
sans indiquer sa nature !). Par ailleurs, précisons que le DTPolio, obligatoire, n'est plus fabriqué (problème de
qualité et d'efficacité ?), et qu'un complexe contenant en + un vaccin non obligatoire, 2 à 3 fois + cher, est proposé
en remplacement, posant ainsi un réel problème éthique et légal (mais on n'est plus à cela près...).
Rappelons que M. Georget a écrit "Vaccinations, les vérités indésirables" que vous pouvez commander
pour 23 € à LNPLV - BP 816 - 74016 ANNECY CEDEX. A lire absolument !!
Une première au Parlement européen, l'ouverture d'un débat contradictoire sur le bien-
fondé des vaccinations dans les pays riches : sont-elles plus nocives que bénéfiques ?
On dit qu'il n'est jamais trop tard pour bien faire, mais dans ce cas, il est déjà trop tard pour beaucoup de victimes.
Car cette question, voici 30 ans que nous nous la sommes posée... et avant nous, beaucoup d'autres... Espérons
qu'ils n’attendront pas 30 ans pour y répondre.
Mais ils sont sur la bonne voie, jugez-en : « L'obligation vaccinale est considérée comme une mesure politique
dépassée ». « La vaccination est un acte médical, et à ce titre, il doit être personnalisé ». « Il est nécessaire de
créer un centre européen de vaccino-vigilance ». « Il est obligatoire de mener des études d'impacts, préalables aux
campagnes vaccinales massives ». « Nous ne pouvons plus accepter que l'on mette en danger la santé des
individus pour maintenir la cote boursière de certaines compagnies ». « C'est l'échec du BCG, même en Inde du
Sud, où une étude épidémiologique publiée par l'OMS en 1997, a montré que dans les régions où s'est déroulée
une campagne de vaccination, on trouvait, 11 ans après, plus de tuberculose qu'ailleurs ». « Ne jamais vacciner un
enfant malade ». « Les effets secondaires du BCG sont tellement négatifs, que la responsabilité de la vaccination,
en cas de séquelles, incombe au médecin prescripteur (en Allemagne). Le meilleur des remèdes reste l'hygiène, y
compris alimentaire, l'amélioration de l'habitat et la suppression de la promiscuité ».
NOUS VOUS CERTIFIONS QUE CES PROPOS NE SONT PAS LES NOTRES. NON QUE NOUS LES
REFUTIONS, MAIS PARCE QUE VOUS POURRIEZ AVOIR DU MAL A CROIRE QU'ILS VIENNENT DE
PARLEMENTAIRES EUROPEENS, ET MEME DE CERTAINS LABORATOIRES ET DE L'OMS...
Mais comme pour le nuage de Tchernobyl, "bloqué" aux frontières françaises, les bonnes questions sur les vaccins
semblent ne pas concerner le pays de Pasteur...
Pourtant, ce n'est pas fini : « Il faut lutter contre l'acharnement de certains médecins à faire les rappels, malgré des
signes cliniques alarmants. Mon frère était en excellente santé, dit un professeur de biologie moléculaire et
cellulaire. Lors de la première vaccination contre l’hépatite B, il y a eu immédiatement une réaction avec fièvre.
Malgré cette alerte, le rappel a été fait, et mon frère est depuis grabataire... ». « Certaines vaccinations ne sont pas
nécessaires, et les dégâts peuvent être importants. Et il faut se poser la question : des vaccins ne seraient-ils pas à
l'origine de certaines maladies ? Aujourd'hui, 800.000 enfants et jeunes sont touchés par l'asthme. Les dermites et
neurodermites sont en augmentation, et ces terribles maladies auto-immunes... ».
Depuis longtemps pour nous, la réponse est claire : c'est OUI. On sait que la vaccination contre la coqueluche est
souvent mise en cause (et doit toujours être suspectée), en cas de mort subite du nourrisson. De même, ROR
(rougeole-oreillons-rubéole) est retrouvée dans des cas d'autisme (penser aux vaccinations lors de la survenue de
tels cas), de maladie de Crohn, d'épilepsie, en tout, une quinzaine de maladies identifiées (plus les décès).
Diphtérie : l'obligation vaccinale en 1938 a fait passer les cas de moins 20.000/an, à 45.000 en 1943 et 1945, et il a
fallut attendre 1948 pour que la courbe reprenne la décroissance d'avant l'obligation... La vaccination contre la
diphtérie est sérieusement mise en cause pour être à l'origine d'épidémies de poliomyélite...
Intrigant ?
Les élevages biologiques n'ont jamais été touchés lors des épidémies de fièvre aphteuse.
Pourtant, ces élevages bio, non vaccinés, étaient ENTOURES D' ELEVAGES ATTEINTS, BIEN QUE VACCINES * (eux), et
que l'on abattait… !
*Cette vaccination est depuis I N T E R D I T E (arrêté du 29 mars 1991, rappelé par l'arrêté du 13 mars 1995).
13 MORTS DE LA GRIPPE DANS UNE MAISON DE RETRAITE Toutes les victimes étaient vaccinées !
Alors que ce vaccin est spécialement indiqué p
our les personnes âgées, afin nous dit-on de leur épargner une grippe
dangereuse à leur âge, 2 questions se posent :
1) A quoi peut bien servir un vaccin qui ne prévient pas la maladie qu'il est censé prévenir (c'est sa seule raison d'être en
principe), et qui, non seulement ne la prévient pas, mais fait que cette maladie est même mortelle dans des proportions tout à
fait alarmantes ?
2) On est même en droit de se poser la question : n'est-ce pas le vaccin qui serait à l'origine des grippes gravissimes
conduisant à ces 13 décès ? N'a-t-on pas identifié des cas de grippes survenues après vaccination, et alors même que les
personnes vaccinées n'avaient jamais eu la grippe de leur vie ? Troublant non ?
Rappel : une bonne hygiène de vie, un bon état des défenses naturelles, stimulées par exemple par la prise régulière d'Acérola
bio, avec, en cas d'état grippal, la prise d'huile essentielle de ravintsara (ex-ravensare aromatique), est le plus sûr moyen de
ne pas jouer avec sa santé.
Aberrent ?
La vaccination de 25 millions de français contre l’hépatite B, leur a fait courir un risque 300 fois plus grand d'avoir
un accident post-vaccinal grave**, que celui qu'ils avaient de contracter l'hépatite B.
**Dont la sclérose en plaques.
Que dire encore de l'utilisation massive de ce vaccin sur des bambins, alors qu'il ne procure une immunité
théorique que de 2 à 3 a n s, et que la transmission de la maladie se fait uniquement par relations sexuelles et
par intraveineuses (toxicomanie) ??!!
Par ailleurs, en 1995, en pleine campagne de vaccination hystérique, les gendarmes avaient interdiction de se
vacciner… étonnant non ?
http://docs.google.com/gview?a=v&pid=gmail&attid=0.3&thid=121a07f35f76b990&mt=application%2Fpdf