LE DALAÏ LAMA CITOYEN D'HONNEUR DE PARIS
La ville de Paris a nommé Malthus « citoyen d'honneur »
Avant d'accorder le titre honorifique de « citoyen d'honneur » au Dalaï Lama, la ville de Paris aurait du écouter son discours de dimanche à l'University of Michigan School of Natural Resources and Environment d'Ann Arbor au Michigan.
Adepte du modèle féodal, ce dernier a confirmé une fois de plus son amour stoïque pour un monde qu'il croit incapable de dépasser ses propres limites.
Conjuguant féodalité et s'inspirant de l'agent de la Compagnie des Indes Orientales Thomas Malthus, le Dalaï Lama croit fermement que la terre est déjà surpeuplée et qu'il ne faut pas de développement économique pour accroître la capacité d'accueil de la planète. A ceux qui ont faim, il dirait que c'est bien dommage, mais que la terre est surpeuplée et que par conséquent il faut se détacher de la quête des choses matérielles.
Pour entériner cette idéologie, il faut tout d'abord endoctriner les enfants afin qu'il prennent conscience des limites. Car, dit-il, « ce soin pour l'environnement devrait faire parti de notre vie quotidienne, même s'il s'agit de tout petits gestes ».
Donnant l'exemple, comme tout bobo adepte de la décroissance, lui-même économise de l'eau en ne prenant que des douches au lieu de gâcher l'eau de toute une baignoire, tout en prenant soin d'éteindre rigoureusement la lumière chaque fois qu'il quitte une pièce de son logement.
« Même s'il ne s'agit que d'un petit geste, faite une contribution, » disait-il. « Si nous prenons soin des choses, elles peuvent changer » Essayant de faire rire son public, il lança que s'il existait un parti vert aux Etats-Unis, « je veux adhérer ».
« Les exigences imposées à la terre par sa population – 6 milliards et en hausse – posent la question du contrôle des naissances » « Ainsi, limiter la population est une question importante » disait-il. Car s'il y a des limites aux ressources naturelles « extérieures », il n'y en a point aux ressources « intérieures ». Il faut donc mieux chercher le contentement et la paix « plutôt que les choses matérielles ».
En tout cas, en attribuant le titre de « citoyen d'honneur » à un tel partisan de l'obscurantisme, Paris ne sera bientôt plus une cité-lumière mais une cité-ténèbre.
Conjuguant féodalité et s'inspirant de l'agent de la Compagnie des Indes Orientales Thomas Malthus, le Dalaï Lama croit fermement que la terre est déjà surpeuplée et qu'il ne faut pas de développement économique pour accroître la capacité d'accueil de la planète. A ceux qui ont faim, il dirait que c'est bien dommage, mais que la terre est surpeuplée et que par conséquent il faut se détacher de la quête des choses matérielles.
Pour entériner cette idéologie, il faut tout d'abord endoctriner les enfants afin qu'il prennent conscience des limites. Car, dit-il, « ce soin pour l'environnement devrait faire parti de notre vie quotidienne, même s'il s'agit de tout petits gestes ».
Donnant l'exemple, comme tout bobo adepte de la décroissance, lui-même économise de l'eau en ne prenant que des douches au lieu de gâcher l'eau de toute une baignoire, tout en prenant soin d'éteindre rigoureusement la lumière chaque fois qu'il quitte une pièce de son logement.
« Même s'il ne s'agit que d'un petit geste, faite une contribution, » disait-il. « Si nous prenons soin des choses, elles peuvent changer » Essayant de faire rire son public, il lança que s'il existait un parti vert aux Etats-Unis, « je veux adhérer ».
« Les exigences imposées à la terre par sa population – 6 milliards et en hausse – posent la question du contrôle des naissances » « Ainsi, limiter la population est une question importante » disait-il. Car s'il y a des limites aux ressources naturelles « extérieures », il n'y en a point aux ressources « intérieures ». Il faut donc mieux chercher le contentement et la paix « plutôt que les choses matérielles ».
En tout cas, en attribuant le titre de « citoyen d'honneur » à un tel partisan de l'obscurantisme, Paris ne sera bientôt plus une cité-lumière mais une cité-ténèbre.
Mercredi 23 Avril 2008