MENSONGES - CARNAGES ET DROITS DE L'HOMME
Droits de l’homme, business et trafic d’organes au Kosovo : UCK, USA, Kouchner and co

A constater les corrélations permanentes entre mensonges, carnages et droits de l’homme on finira bien par se dire que leur promulgation dans la déclaration universelle de 1948 fut une manipulation intrinsèquement perverse.
En effet, depuis cette époque, les scénarios les plus criminogènes ne peuvent se dérouler autrement que pour la bonne cause en prenant la manipulation comme règle, la peur comme levier et les glandes lacrymales comme preuve.
Honneur, charité et pardon, sous les vocables officiels de justice, citoyenneté, solidarité ont été remplacés par la corruption, la division et la vengeance : le nouveau désordre mondial, n’en doutons pas, malgré l’effondrement du système soviétique, reste idéologique, et ne nous laissera aucun répit tant qu’il ne sera pas achevé ou … démasqué.
Or ce système menteur, où il n’y a plus d’ennemis, mais que des criminels, agit obligatoirement sous la contrainte relativiste dont il est issu.
En d’autres termes, c’est l’apprenti qui échappe au sorcier et ce dernier, bon gré mal gré, doit se lancer à la poursuite du premier dans une fuite en avant que certains de nos excellents camarades qualifient d’espérances planétariennes.
D’autres nomment cet aspect du droit globalisé, un « deux poids, deux mesures», qui, c’est moi qui le dit, à force de répétition semblerait kaléidoscopique. Sa métempsychose ne devrait cependant pas nous égarer. Elle est notre chance pour dénoncer le crime polymorphe dont elle s’empêtre.
Sans avoir fait appel ici - à défaut de cette kyrielle d’intellectuels aussi aseptisant que glorifiés sur les autels en carton-pâte de l’occident d’après-guerre - à Sorel, à Schmitt, à Maurras, Evola ou même dernièrement à Soral, dans leurs domaines et intensités respectifs ; sans les opposer à ces mêmes thuriféraires de l’hybridation mondialisante, permettez-moi d’invoquer la simple réalité avec un exemple concret.
Au cours de la guerre en Bosnie en 1992, Bernard Kouchner et ses « Médecins du monde » diffusent dans la presse et sur les murs de Paris une pub relayée par tous les médias occidentaux. La photo truquée présente des « prisonniers » d’un camp serbe en Bosnie derrière des barbelés.
Pour faire bonne mesure, Kouchner y accole l’image d’un mirador d’Auschwitz et le texte en légende accuse les Serbes d’« exécutions en masse ». .......
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