France24 : Organiser un débat sur le 11 Septembre est une faute
Grégoire Deniau et Bertrand Coq, respectivement directeur de la rédaction et
rédacteur en chef de la chaine d’information en continue France 24, ont tous
deux été victimes d’une mise à pied immédiate pour "fautes
professionnelles". Pour Grégoire Deniau, c’est l’organisation d’un débat sur
le 11 Septembre évoquant les "théories du complot" qui n’a pas plu à la
direction (Christine Ockrent / Alain de Pouzilhac).
Ces mises à pied font suite au licenciement de Richard Labévière de RFI
<http://www.reopen911.info/News/2008/08/25/richard-labeviere-denonce-l...
%99orwellisation-de-la-presse-francaise/> , radio également sous la
direction de France Monde.
Il semble donc établi qu’il soit interdit d’évoquer les faits du 11
Septembre (comme récemment JM Bigard
<http://www.reopen911.info/11-septembre/bigard-sacrifie-sur-lautel-med...
e/> ) ou d’en débattre (France 24) sous peine de se faire insulter, mépriser
ou virer comme un malpropre. La liberté de la presse semble bien mal en
point …
http://www.dailymotion.com/video/k6mLI8tKDU5R9HLRpr
FRANCE24
<http://www.dailymotion.com/video/x6shhh_france24-le-mythe-du-complot-...
_news> LE MYTHE DU COMPLOT, LE DÉBAT QUI FAIT DU BRUIT
envoyé par Francebuzz <http://www.dailymotion.com/Francebuzz>
_____
Reprise en main musclée à France 24
Par Emmanuel Berretta pour Le point.fr
Reprise en main brutale au sommet de France 24 : Christine Ockrent,
directrice générale de l’audioviosuel extérieur de la France, est-elle
derrière le limogeage coup sur coup de Grégoire Deniau (directeur de
l’information de France 24) et Bertrand Coq (rédacteur en chef) ? La
direction de France 24 réfute son influence tandis que les journalistes y
voient, au contraire, le signe de sa prise de pouvoir… En tout cas, les deux
patrons de la rédaction ont été licenciés avec mise à pied immédiate.
Tout a commencé, hier, mardi : Bertrand Coq entame normalement sa journée de
travail. Gérard Saint-Paul, l’un des pontes de France 24, le convoque et lui
signifie son licenciement avec mise à pied immédiate. Motif : son
"comportement". Très vague. Saint-Paul lui explique que le motif de son
licenciement lui sera précisé ultérieurement lors de son entretien
préalable. La rédaction est bousculée, mais n’est pas au bout de ses
surprises. Dès le lendemain matin, c’est au tour de Grégoire Deniau de
passer à la guillotine. Cette fois, il est convoqué par Alain de Pouzilhac,
Gérard Saint-Paul et Jean-Yves Bonsergent (directeur général en charge des
technologies) et se voit annoncer son licenciement avec mise à pied
immédiate.
Un débat contesté
Le motif est cette fois plus précis : on lui reproche l’organisation sur
l’antenne de France 24 d’un débat sur les théories du complot autour du 11
Septembre. Une façon de rebondir sur l’affaire Bigard. Deniau s’était opposé
à ce débat (animé par Sylvain Attal), mais son ordre se serait dilué dans la
chaîne hiérarchique si bien que ce débat a finalement eu lieu. Deniau plaide
l’innocence. Pouzilhac réfute cet argument et estime que son directeur de la
rédaction est de mauvaise foi. On remarquera la judicieuse absence de
Christine Ockrent à chacune des convocations… Une façon de ne pas apparaître
dans cette histoire.
Deux licenciements en deux jours, cette fois, la rédaction de France 24 se
soulève. Pouzilhac reçoit le comité d’entreprise, puis les rédacteurs en
chef et, cet après-midi, il vient s’expliquer devant les journalistes. Il
réfute avec aplomb tout lien entre les deux licenciements. La séance des
questions-réponses est tendue. Des pétitions circulent en faveur des deux
limogés. Et la plupart des journalistes comprennent la signification de
cette reprise en main
Deniau résiste aux consignes du Quai d’Orsay
Grégoire Deniau est une forte personnalité, un ancien baroudeur
intransigeant. Il n’est peut-être pas le manager le plus coulant qui soit,
mais il n’a jamais cédé aux pressions du Quai d’Orsay (où officie l’époux de
Christine Ockrent)*. Par exemple : quand le Quai recommandait de n’envoyer
aucun journaliste en Irak en raison des risques d’enlèvement, Grégoire
Deniau n’en tenait aucun compte. Pour lui, le danger fait partie de la vie
d’un grand reporter. Idem concernant Bertrand Coq, qui est fait du même
bois. Son passé de grand reporter à France 2 fait l’admiration de ses pairs.
L’un et l’autre sont des têtes brûlées, le contraire des journalistes
malléables.
Depuis son départ de France 3, Christine Ockrent coiffe l’audiovisuel
extérieur de la France en tant que directrice générale. Des synergies sont à
trouver entre les différentes entités (RFI, une partie de TV5…). France 24
aspire à rejoindre cette entité. Alain de Pouzilhac n’était pas joignable à
17 h 45.
---------------------------------------
Hala Kodmani, rédactrice en chef du canal arabe, a quitté aujourd’hui 18
septembre la chaîne France 24. Après Bertrand Coq, mis à pied mardi, et
<http://www.bakchich.info/breve1178.html> Grégoire Deniau, licencié hier 17
septembre, c’est une troisième figure importante de la « CNN à la française
» qui disparaît de la rédaction. En même temps les ménages sont une
spécialité de Christine <http://www.bakchich.info/article2369.html>
Ockrent, la nouvelle directrice générale de la holding France Monde, qui
chapeaute tout l’audiovisuel extérieur français…
http://www.bakchich.info/breve1185.html
Voilà où nous en sommes ! Okrent ou si vous préférez Mme Kouchner était présente à la réunion des "BILDERBERGERS" 2008. Je rappelle aussi que Barak OBAMA a été invité à cette même réunion pendant les primaires américaines, ce qui n'a aucun rapport avec OKRENT mais vous comprendrez lorsque vous aurez visionné la vidéo sur le post suivant.
Charlotte