"LIBERTE........... LIBERTE CHERIE"
Chers amis,
Ce n'est plus un secret pour personne : George W. << Adolf >> Bush est
en train de traîner son pays dans la boue putride de la dictature.
Après avoir fait de chaque contestataire, militant, gréviste ou
opposant un << ennemi combattant illégal >> ou un << terroriste >>, après
avoir autorisé la torture, après avoir mis en place un système qui
pourra détenir tous les dissidents et autres << indésirables >> sans
mandat et sur une durée indéterminée, après avoir mis en place des
Commissions militaires qui pourront juger des CIVILS, après avoir
financé avec $385 millions via Kellog, Brown & Root (une filiale de
l'immonde compagnie Halliburton du vice-président **** Cheney) la
poursuite de la construction ou de la transformation des CAMPS
D'INTERNEMENT POUR CIVILS, après avoir autorisé à nouveau un budget
militaire colossal (plus de $500 milliards) aux dépends des programmes
sociaux, après avoir légalisé la TORTURE, VOICI QUE BUSH << TUE >> LE
POSSE COMITATUS, UNE VIEILLE LOI DEMOCRATIQUE QUI LIMITE
L'UTILISATION, PAR LE PRESIDENT ET LE FEDERAL, DES MILITAIRES AU
NIVEAU CIVIL ET AU NIVEAU DE L'APPLICATION DE LA LOI !!!
Bush pourra donc réquisitionner n'importe quelle troupe militaire (y
compris les unités de la garde nationale qui, jusqu'ici, étaient sous
le contrôle exclusif des gouverneurs des états) !
Il a également modifié la loi sur l'Insurrection !
Afin de faire quoi ? AFIN DE POUVOIR DECLARER LA LOI MARTIALE (mais
sous un autre nom, bien entendu, afin de ne pas effrayer la population
et afin qu'elle ne se révolte surtout pas), ET AFIN D'ECRASER TOUTE
RESISTANCE OU DISSIDENCE, ET AFIN DE FAIRE METTRE DANS LES CAMPS
D'INTERNEMENT TOUTE PERSONNE UN PEU TROP << REBELLE >> A SON GOUT !!!
Et pour être << rebelle >>, il ne faut pas grand-chose : refuser d'être
mis en quarantaine ou de recevoir un vaccin obligatoire en période
d'épidémie est suffisant (et nous savons quelles saloperies ils ont
déjà placé et peuvent encore mettre dans les vaccins - bonjour les
cristaux liquides qui modifient votre structure génétique, les
nanoparticules nocives pour la santé, les implants nanométriques
etc.) !
Aux USA, les élections de mi-mandat approchent (c'est la semaine
prochaine, le 7 novembre pour être précis)... Beaucoup de gens sont
remontés contre Bush, paraît-il (on verra à l'autopsie, à condition
que les élections n'aient pas encore été traficotées par des votes
électroniques hautement piratables ), et l'on pressent que les
Démocrates pourraient reprendre les choses en main ce qui, bien
entendu, pourrait mettre des bâtons dans les roues du dictateur Bush.
Aussi pourrait-on penser que des choses graves pourraient se produire
aux USA d'ici la semaine prochaine ou juste après les élections de mi-
mandat (<< attentat >> terroriste monté de toute pièce par les enfoirés
de la CIA-AlQaïda-MI6, guerre en Iran, prise de pouvoir militaire par
Bush... beaucoup de choses sont possibles).
En réalité, pour que les choses s'améliorent aux USA, il leur faudrait
une REVOLUTION en bonne et due forme, et ce TRES rapidement ! Car
chaque jour qui passe les rapproche un peu plus de la dictature NAZIE
de Hitler (mais version Bush, évidemment) !
La situation est pourrie, aux USA... Espérons que le peuple réagisse
enfin !
Cet article finit (momentanément) le chapitre sur la situation
actuelle de la dictature aux USA.
Nous avons passé un long moment à décrire l'atrocité de la situation
de dictature aux USA, mais NE VOUS CROYEZ SURTOUT PAS A L'ABRI DE CE
GENRE DE CHOSE ICI, EN EUROPE !
Pour vous donner une petite idée de ce qui est en train de se passer,
la Grande-Bretagne vient de décider, il y a peu, de REVOIR LA
COMPOSITION DE LA CHAMBRE DES LORDS (alors que cette chambre existe
depuis 500 ans et représente une garantie de démocratie de base) !
Quel << hasard >>, lorsque l'on sait que cette chambre des Lords s'était
JUSTEMENT opposée aux immondes cartes d'identité électroniques
liberticides ! Suite au prochain épisode, donc, en ce qui concerne la
Grande-Bretagne...
Vous allez voir, nous risquons NOUS AUSSI de tomber dans une DICTATURE
honteuse si nous ne réagissons pas ! Et ceci est valable pour la
France, l'Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas... TOUTE L'EUROPE ! Le
processus a DEJA été amorcé après le 11 septembtre 2001, lorsque les
pays européens ont commencé à prendre des mesures soi-disant <<
antiterroristes >>, mais qui en réalité permettent aux gouvernement de
PASSER AU-DESSUS DES DROITS CONSTITUTIONNELS ET DEMOCRATIQUES DES
CITOYENS ! Le développement de technologies et de mesures liberticides
ne laisse d'ailleurs planer aucun doute quant aux risques de
falsifisation et de dictature ambiants. Il suffit d'être un peu lucide
et au courant pour le constater...
Je vous laisse à présent lire le terrible article, ci-dessous...
Bonne lecture, ET SURTOUT, BONNE INSURRECTION !
Vic.
Source : www.uruknet.info?p=27769
BUSH SE DIRIGE VERS LA LOI MARTIALE
CONFIRMÉ PAR LA MAISON BLANCHE http://www.whitehouse.gov/news/releases/2006/10/20061017-9.html
DOCUMENT OFFICIEL : http://www.govtrack.us/congress/bill.xpd?bill=h109-5122
Frank Morales | Le 26 octobre 2006
Dans une manoeuvre furtive, le Président Bush a transformé en loi, par
sa signature, une disposition qui, selon le sénateur Patrick Leahy (un
Démocrate du Vermont), encouragera en fait le président à déclarer la
loi martiale fédérale (1). Elle (cette mesure) le fait en remettant à
jour la Loi sur l'Insurrection, un ensemble de lois qui limite la
capacité du président de déployer des troupes dans les Etats-Unis. La
loi sur l'insurrection (10 U.S.C.331 -335) a historiquement, avec la
Loi du Posse Comitatus (18 U.S.C.1385), aidé à imposer des
interdictions strictes sur la participation de l'armée dans
l'application de la loi domestique. D'un coup de stylo, Bush cherche à
défaire ces interdictions.
La loi publique 109-364, ou "John Warner Defense Authorization Act of
2007" (Loi 2007 d'autorisation de défense de John Warner) (H.R.5122)
(2), qui a été signée par le commandant en chef (Bush) le 17 octobre
2006, durant une cérémonie privée du bureau ovale, permet au président
de déclarer << l'urgence publique >> et de placer des troupes n'importe
où en Amérique ainsi que de prendre le contrôle des unités de la garde
nationale (unités qui sont normalement commandées par les états) sans
le consentement du gouverneur ou des autorités locales, afin de <<
supprimer le désordre public. >>
Le Président Bush a pris ce pouvoir sans précédent le même jour où il
a signé la toute aussi odieuse Loi sur les Commissions Militaires de
2006. Dans un sens, les deux lois se complètent l'une l'autre. L'une
autorise la torture et de la détention à l'étranger, alors que l'autre
cherche à imposer un consentement sans discussion au niveau interne,
préparant à ordonner aux militaires de s'emparer des rues en Amérique.
Souvenez-vous : le terme consistant à mettre un secteur sous le
contrôle des militaires au niveau de l'application de la loi est
précis ; ce terme est << loi martiale. >>
La section 1076 du massif Authorization Act (loi d'autorisation), qui
accorde au Pentagone un autre budget de plus de $500 milliards pour
ses aventures peu judicieuses, est intitulée << Utilisation des forces
armées dans les grandes urgences publiques. >> La section 333, <<
Grandes urgences publiques ; interférence avec l'état et la loi
fédérale >> déclare que << le président peut utiliser les forces armées,
y compris la garde nationale en service fédéral, afin de rétablir
l'ordre public et pour faire appliquer les lois des Etats-Unis quand,
en raison d'une catastrophe naturelle, une épidémie, ou toute autre
urgence sérieuse de santé publique, une attaque ou un incident
terroriste, ou une autre condition dans n'importe quel état ou
possession des Etats-Unis, c'est le président qui détermine que de la
violence domestique s'est produite avec une telle ampleur que les
autorités constitutionnelles de l'état ou de la possession sont
incapables ( << refusent >> ou << échouent >>) de maintenir l'ordre, <<
afin de supprimer, dans n'importe quel état, toute insurrection,
violence domestique, combinaison illégale, ou conspiration. >>
Pour le président actuel, << l'application des lois afin de restaurer
l'ordre public >> signifie réquisitionner des gardes de n'importe quel
état, par dessus les objections des entités locales du gouvernement,
de l'armée et de la police ; les envoyer dans un autre état ; les
appeler sous les drapeaux en mode d'application de la loi ; et les
lâcher contre l'ensemble des citoyens << turbulents >> - les
protestataires, probablement, ou ceux qui s'opposent aux vaccinations
obligatoires et aux mises en quarantaine en cas d'un événement de bio-
terrorisme.
La loi facilite également les rassemblements militarisés de la police
ainsi que la détention des protestataires, des prétendus << étrangers
illégaux >>, << des terroristes potentiels >> et des autres <<
indésirables >> pour l'enfermement dans des infrastructures qui ont
déjà été commandées sur contrat et qui sont en construction via la
compagnie Halliburton. C'est exact. Sous couverture d'une << urgence
imaginaire face à l'immigration >> et de la militarisation frénétique
de la frontière sud, des camps de détention sont construits juste sous
nos nez, des camps conçus pour n'importe quelle personne qui résiste à
l'agenda de l'administration de Bush, à l'étranger comme à l'intérieur
du pays.
Un article sur << les récentes récompenses concernant les contrats >>
dans un des derniers numéros du journal bien conçu et réservé aux
initiés, le "Journal of Counterterrorism & Homeland Security
International" (<< Journal international du contre-terrorisme et de la
sécurité de la patrie >>), a signalé que << l'ingéniorat global et les
services techniques de la vigoureuse KBR [Kellog, Brown & Root] ont
annoncé en janvier 2006 que sa division << Gouvernement et
Infrastructure >> a été récompensée par un contrat << livraison
indéfinie/quantité indéfinie >> (IDIQ) afin de soutenir les
infrastructures américaines de l'immigration et d'application des
douanes (Immigration and Customs Enforcement ou ICE) en cas d'une
urgence. >> << Avec une valeur totale maximum de $385 millions une
limite de cinq ans, >> fait remarquer le reportage, << le contrat doit
être exécuté par le corps des ingénieurs de l'armée américaine >> <<
pour établir des capacités de détention provisoire et de traitement
afin d'augmenter les opérations existantes de détention et
d'enlèvement (DRO) de l'immigration et de l'application des douanes -
en cas d'un afflux d'urgence des immigrés aux Etats-Unis, ou pour
soutenir le développement rapide de nouveaux programmes. >>
Le rapport précise que << Kellog, Brown & Root est la filiale de
technologie et de construction de Halliburton. >> (3) Donc, en plus
d'autoriser encore $532.8 milliards pour le Pentagone, y compris une <<
disposition supplémentaire >> de $70 milliards qui couvre le coût des
folles et continues manoeuvres militaires en Irak, en l'Afghanistan et
à d'autres endroits, la nouvelle loi, signée par le président lors
d'une cérémonie privée de la Maison Blanche, fait s'effondrer que la
division historique entre la police et l'armée : un signe indicateur
d'un état-policier qui se consolide rapidement en Amérique, tout cela
est accompli parmi les prétentions impérialistes continues de
domination mondiale des Etats-Unis, et vendu à un public << contrôlé
par les urgences >> et apparemment obstinément crédule comme étant une
<< guerre mondiale contre le terrorisme. >>
Ne faites aucune erreur à ce sujet : l'abrogation de fait de la Loi du
Posse Comitatus (PCA) est un assaut sinistre contre la tradition et la
jurisprudence démocratiques américaines. Cette loi de 1878, qui dit <<
toute personne qui, excepté dans des cas et dans des circonstances
expressément autorisées par la Constitution ou l'acte du Congrès,
utilise obstinément toute partie de l'armée ou de l'Armée de l'Air en
tant que posse comitatus ou de toute autre façon afin de faire
exécuter les lois, recevra une amende sous ce titre ou sera emprisonné
pendnat une durée ne dépassant pas plus de deux ans, ou les deux à la
fois (amende et emprisonnement), >> est le seul statut criminel des
États-Unis qui interdit les opérations militaires dirigées contre les
Américains sous couverture de << l'application de loi. >> En tant que
telle, elle a été la meilleure protection que nous ayons eue contre
les intentions affamées de pouvoir de dirigeants sans scrupules et
insouciants, des dirigeants ayant l'intention d'employer la force pour
imposer leur volonté.
Malheureusement, la semaine passée, le président a porté au posse
comitatus, ainsi qu'à la démocratie américaine, un coup presque
mortel. En conséquence, il faudra un ensemble de citoyens en colère
pour défaire les dommages provoqués par cette horrible nouvelle loi,
qui constitue en partie et en tout, comme nous l'avons vu, une longue
liste d'abus et d'outrages commis par cette administration
autoritaire.
En dépit de la nature sans précédent et choquante de cette loi, il n'y
a eu aucun tollé dans les médias américains, et peu de réaction de nos
responsables élus du Congrès. Le 19 septembre, un seul sénateur,
Patrick Leahy (un Démocrate du Vermont) a fait remarquer que la Loi
2007 sur l'autorisation de la défense contenait << une disposition
recueillant une large opposition et permettant au président davantage
de contrôle sur la garde nationale [et l'adoption] de changements
apportés à la Loi sur l'Insurrection, ce qui facilitera pour ce
président-ci ou n'importe quel futur président l'utilisation de
l'armée afin de restaurer l'ordre dans le pays SANS le consentement
des gouverneurs de la nation. >>
Le sénateur Leahy poursuivit en soulignant que << nous n'avons
certainement pas besoin de faciliter le fait de déclarer la loi
martiale pour les présidents. Invoquer la Loi sur l'Insurrection et
utiliser les militaires pour des activités d'application de la loi va
à l'encontre de certains des principes centraux de notre démocratie.
On peut facilement envisager des gouverneurs et des maires
responsables d'une urgence et qui doivent constamment regarder par-
dessus leurs épaules alors que quelqu'un qui n'a jamais rendu visite à
leurs communautés donne les ordres. >>
Quelques semaines plus tard, le 29 septembre, Leahy a signalé sous
registre du Congrès qu'il émettait << de graves réserves au sujet de
certaines dispositions du rapport de la conférence sur le projet de
loi d'autorisation de la défense de l'année fiscale 2007 >> et dont le
langage, a-t-il dit, << renverse les statuts solides et anciens du
posse comitatus qui limitent la participation des militaires dans
l'application de la loi, et rendant donc plus facile le fait que le
président déclare la loi martiale. >> Ceci << avait été glissé dans
(cette loi), >> a dit Leahy, << en tant que clause additionnelle et qui
est donc peu étudiée, >> alors que << d'autres comités du Congrès ayant
juridiction sur ces sujets n'avaient aucune chance de commenter et
encore moins de tenir des auditions sur ces propositions. >>
Dans ce que l'on peut appeler pour le moins une sous-estimation, le
sénateur du Vermont a fait remarquer que << les implications de changer
la Loi (du Posse Comitatus) sont énormes >>. << Il y a une bonne raison,
loi existante lorsque l'on en vient à parler des déclarations de la
loi martiale. Utiliser les militaires pour l'application de la loi va
à l'encontre d'un des principes fondamentaux de notre démocratie. Nous
faisons faux bond à notre Constitution, négligeant les droits des
états, lorsque nous facilitons le fait que le président puisse
déclarer la loi martiale et foule aux pieds la souveraineté locale et
de l'état. >>
Les ruminations finales du sénateur Leahy : << Depuis que j'ai entendu
il y a deux semaines que ce résultat était probable, je me suis
demandé comment le Congrès pouvait en être arrivé à ce point. Il
semble que les changements à la Loi sur l'Insurrection ont survécu à
la conférence parce que le Pentagone et la Maison Blanche le veulent.
La réécriture historique et sinistre de la Loi sur l'Insurrection,
effectuée au milieu de la nuit, et qui donne à Bush l'autorité légale
de déclarer la loi martiale, est à présent un fait accompli.
Le Pentagone, comme on pouvait le prévoir, joue un rôle bien plus
direct dans les opérations de loi martiale. Le titre XIV de la
nouvelle loi, intitulé << Dispositions législatives concernant le
transfert de technologie à la défense de la patrie, >> autorise << le
secrétaire de la défense à créer un consortium de transfert de
technologie de la défense de la patrie afin d'améliorer l'efficacité
des processus du ministère de la défense (DOD) afin d'identifier et de
déployer la technologie appropriée du ministère de la défense vers le
fédéral, les états, et les premières personnes qui répondent
favorablement au niveau local. >>
En d'autres termes, la loi facilite le << transfert >> de ce qu'il y a
de plus récent en matière de prétendue technologie << de contrôle des
foules >> et autres armements conçus pour supprimer la dissidence,
depuis le Pentagone vers les unités locales de police militarisée. La
nouvelle loi poursuit la construction et la codification des
précédents accords << de transfert de technologie >>, spécifiquement le
mémorandum d'accord de 1995 entre le ministère de la Défense et le
ministère de la Justice réalisé par le passé sous le régime Clinton-
Reno. (4)
Il est devenu clair ces derniers mois qu'une masse critique
d'Américains ont vu clair à travers les mensonges de l'administration
Bush ; étant donné que les sondages concernant le président se
trouvent à un minimum historique, qu'il y a une résistance croissante
contre la guerre en Irak, et que les Démocrates sont susceptibles de
reprendre le Congrès après les élections de mi-mandat,
l'administration Bush est dans les cordes. Et donc, il est
particulièrement inquiétant que le Président Bush ait pu percevoir
l'opportunité, dans les circonstances actuelles, de se déclarer en
réalité dictateur.