Parachutes dorées et renflouement des banques par l'état
for the exploitation of the economically weak, with its unfair salaries,
with its unseemly evaluation of a human being according to wealth and property
instead of responsibility and performance,
and we are all determined to destroy this system under all conditions."
Adolf Hitler
(Speech of May 1, 1927. Quoted by Toland, 1976, p. 306)
Dénonciation des parachutes dorés à la télé publique,
renforcement du role de l'état face à la finance,
Sarkozy retournerait-il sa veste forcé par les évènements ?
J'aimerais présenter l'affaire sous un autre jour.
Beaucoup d'entre nous sont persuadés que le renforcement de l'état ne peut apporter que du bon, actuellement c'est loin d'être prouvé.
(lire sur la situation actuelle en France : Légitimité des impots)
Unlike those uneducated folks who unwisely make the mistake of sharing their ignorant opinion with everyone, I have actually read Mein Kampf. It is quite clear throughout that while Hitler agrees with Marx's fundamental notion that the State must reign supreme over the individual, he does not believe in Marx's concept of class consciousness and he is aware of the problem of getting individuals to work when there is nothing in it for them. It is clear, in fact, that Hitler thinks that Marx is a fool in believing that his form of socialism will ever function.
Hitler proposes a different form of socialism which will harness the power of individual in service to the state. His notion is to inspire the individual, through indoctrination, with the glory of his national consciousness. In other words, National Socialism can be boiled down to the substitution of NATIONAL consciousness for CLASS consciousness, albeit within the same socialist framework. Hence the similarities between Marx's Communist Manifesto and the National Socialist Munich Manifesto, which Hitler co-authored.
Ce qui me semble évident, c'est que la presse, qui est une presse aux ordres -
est-il besoin de le rappeler ?
par exemple - nous livre en pature les dirigeants d'entreprises.
Pour faire passer quoi ?
Rappelons que N. Sarkozy, tout comme son pote W, est au service de la finance
( « Pal et Nicolas Sarkozy : nous a-t-on vraiment tout dit et pourquoi ? » .
Est-ce à prouver ? Pourquoi diriger alors les foudres de l'état contre les patrons ?
Parce que ce ne sont pas les patrons qui sont nos ennemis, mais ceux qui les payent
( Banques - Attention au remède ).
Qui sont-ils, capable de payer 6 millions d'euros de prime de licenciement ?
Ce sont eux qui tiennent les ficelles, pas les dirigeants, qui ne sont finalement que de fortunés salariés.
Fortunés mais aux ordres, ils ne tirent pas les ficelles.
What made it difficult for many people to grasp the very nature of the Nazi economic system was the fact that the Nazis did not expropriate the entrepreneurs and capitalists openly and that they did not adopt the principle of income equality which the Bolshevists espoused in the first years of Soviet rule and discarded only later. Yet the Nazis removed the bourgeois completely from control. Those entrepreneurs who were neither Jewish nor suspect of liberal and pacifist leanings retained their positions in the economic structure. But they were virtually merely salaried civil servants bound to comply unconditionally with the orders of their superiors, the bureaucrats of the Reich and the Nazi party.
Pendant que les PDG sont pointés du doigt, les contribuables occidentaux sont en train de payer la faillite du système financier.
Vos impôts servent à renflouer les banques en faillite ! Quelle redistribution !
Parce que si les libéraux sont contre l'interventionisme, pas les financiers, qui veulent un état fort capable de faire les lois qui les arrange et de mettre le peuple au pas.
Comment comprendre autrement que les banques américaines aient financé le programme national-socialiste ?
(voir Le nazisme et le capital - Wottan et Mammon)
Ce qui interesse ces financiers, c'est nous priver de toute propriété, et c'est ce qui se passe en ce moment avec les histoires de subprimes, d'hypothèques, etc.
Ce que veulent les financiers, c'est une population qui soit salariée, locataire, assurée, c'est à dire complètement dépendante et soumise.
La propriété ne doit plus appartenir qu'à la fincance internationale (qui appartient forcement à quelques personnes privées).
Nous allons y revenir.
Mes citations sont extraites de quelques pages internet qu'il vous faudrait lire.
Je vais apporter une critique dessus un peu plus loin, mais ce sont des perspectives dont vous devez absolument prendre conscience avant de continuer.
Ces trois sites, aux titres semblables sont similaires et mettent en valeur un côté oublié du national-socialisme :
- Hitler was a Leftist : programme du NSDAP (national socialist deutsh arbeiter partei - parti national socialiste des travailleurs allemands)
- HITLER WAS A SOCIALIST
- Hitler was a Leftist Socialist
Ce côté est-il exagéré ? Maintenant que vous avez lu ces liens, nous pouvons les temperer quelque peu.
D'abord Hitler était financé par des banques américaines comme nous l'avons lu plus haut. Ensuite il rejetait la lutte des classes, et même si moi même je ne la considère pas du tout comme un moteur de l'histoire, je dois bien reconnaître qu'il y a une relation forte exploiteurs / exploités, et que c'est l'un des drames majeurs de notre époque.
Enfin, et c'est l'un des rares points fort de la page
( Myth: Hitler was a leftist. Fact: Nearly all of Hitler's beliefs placed him on the far right. )
ce qui est le plus important dans l'oeuvre socialiste, c'est la propriété des moyens de production.
Et j'y rajouterai personellement face à l'exploitation d'aujourd'hui, la propriété des moyens d'existence.
Que les travailleurs soient propriétaires de leur travail est la condition sine qua none de leur indépendance et donc de l'impossibilité de l'exploitation.
Or que ce soit l'état dans les totalitarismes, ou la finance dans le soit disant ultra libéralisme, le but des exploiteurs, c'est de nous priver de toute propriété.
C'est ce qui arrive quand les banques récupèrent des biens immobiliers pour rembourser des intérêts impayables et criminels, quand on privatise l'eau en amérique latine, donnant lieu à des emmeutes et des morts, ou quand l'état prétendant représenter la collectivité confisque tout, comme cela arrive dans les systèmes totalitaires.
Bien que dans ce dernier cas il ne se sépare jamais totalement d'une économie bourgeoise, que ce soit en URSS ou sous le IIIe Reich.
Je ne dit absolument pas que Sarkozy = nazisme ou communisme,
même si l'islamophobie actuelle a des liens avec l'antisémitisme d'autrefois,
ralliant à la fois à gauche et à droite.
Ce rapporchement historique me permet surtout de dire :
méfiez-vous quand sur fond de crise on vous promet un renforcement du role de l'état.
source : http://deconstruire.babylone.over-blog.org/article-23139615.html