La guerre des microbes du Pentagone-I

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La guerre des microbes du pentagone-i

 

La guerre des microbes du Pentagone-II

LA GUERRE DES MICROBES DU PENTAGONE-III

LA GUERRE DES MICROBES DU PENTAGONE-III (suite)

LA GUERRE DES MICROBES DU PENTAGONE IV à venir

UN GRAND MERCI à TANTE YVONNE



UN PROJET AU SERVICE D’UNE IDEOLOGIE

Etablie officiellement en 1997, l’influente ligue « Projet pour le Nouveau Siècle Américain » (PNAC) regroupe un nombre imposant de membres issus du gouvernement de Ronald Reagan. En 2000, ce groupe théorise dans son rapport intitulé : « Reconstruire les défenses de l’Amérique » la nécessité pour celle-ci de préserver et d’accroître sa position hégémonique afin d’instaurer la « Pax Americana ». En préambule de ce rapport, il déclare : « De nos jours, les États-Unis n’ont à l’échelle mondiale aucun rival. La grande stratégie de l’Amérique se doit de préserver et accroître cette position favorable pour une durée à venir aussi longue que possible. »

 

Afin de parvenir à ce but, le PNAC préconise de créer une unité militaire spatiale pour dominer l’espace, de contrôler le cyberespace considéré comme une arme ennemie potentielle, enfin de développer des armes biologiques capables de cibler des génotypes humains. Ainsi, les idéologues néo-conservateurs annoncent que : « Bien qu’il puisse falloir plusieurs décennies au processus d’adaptation pour se déployer, à terme l’art de la guerre, dans les airs, sur terre et sur mer, sera très différent de ce qu’il est aujourd’hui et le combat se déroulera vraisemblablement dans de nouvelles dimensions : dans l’espace ou le cyberespace et peut-être dans le monde des microbes. » Et ils écrivent encore : « Les munitions elles-mêmes deviendront de plus en plus précises, tandis que de nouvelles méthodes d’attaques - électronique, non létale, biologique - deviendront plus facilement disponibles. » Enfin, ils précisent leur pensée : « Et des formes évoluées de guerres biologiques capables de cibler des génotypes déterminés pourront faire passer la guerre biologique du règne de la terreur à celui d’un outil politique utile. ».

Beaucoup des membres du PNAC forment, en 2001, le noyau dur de l’administration Bush junior, laquelle exprime, dès le début de ce mandat, une volonté de privilégier l’action unilatérale et le refus de voir la souveraineté des Etats-Unis circonscrite par les traités multilatéraux et le droit international. Cette stratégie de primauté a été articulée, dès 1992, dans un rapport confidentiel intitulé « Defense Policy Guidance » écrit par Paul Wolfowitz, secrétaire adjoint à la défense, et Lewis Libby, conseiller aux questions de sécurité, sous la vice- présidence de Dick Cheney. Ce texte recommandait d’« empêcher toute puissance hostile de dominer des régions dont les ressources lui permettraient d’accéder au statut de grande puissance », de « décourager les pays industrialisés avancés de toute tentative visant à défier notre leadership ou à renverser l’ordre politique et économique établi », et de « prévenir l’émergence future de tout concurrent global. » Une doctrine un cran au dessus encore du « containment » de l’époque de la guerre froide.

Après les attentats du 11 septembre 2001, « Pearl Harbour spatial » prophétisé par Donald Rumsfeld, la révolution militaire voulue par le PNAC, est votée et budgétisée par le Congrès. La nouvelle armée spatiale est créée, et, autorisé par cet événement extraordinaire, le retrait unilatéral du traité ABM qui limite la militarisation de l’espace, permet de relancer le programme de « Guerre des étoiles » entrepris sous Reagan ainsi que de déployer son bouclier anti-missile. De même qu’est mis en œuvre le contrôle du cyberespace à travers le Cyber-Command créé en 2006 et annoncé, dès 2003, dans le document « Information Operations Roadmap ».

En 2002, sous l’impulsion de Paul Wolfowitz, cette administration adopte «The National Security Strategy of the United States of America » qui présente la conception de guerre préemptive selon laquelle les Etats-Unis ne se limiterait pas à des actes de guerre défensive mais exécuterait en premier des actes de guerre contre tout pays prétendument sur le point de les attaquer. C’est une accélération marquée dans l’échelle des intentions belliqueuses des Etats-Unis. La « Doctrine Bush », unilatérale et souvent brutale dans le discours, prône la guerre préventive, le maintien de la suprématie militaire américaine ainsi que le développement de la coopération internationale, des droits de l’homme et de la liberté. Elle vise, en particulier, la refondation du monde arabo-mulsuman.

A sa suite, est émise la « Stratégie Nationale pour combattre les Armes de Destruction Massive ». Ce plan appelle à l’utilisation en premier des ADM par le recours à toutes les options, nucléaires, chimiques et biologiques et il usurpe le droit du Congrès à déclarer la guerre en violation de la constitution des Etats-Unis
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PROGRAMMES MILITAIRES BACTERIOLOGIQUES

Tout comme le traité ABM (anti-missiles balistiques), la Convention sur les Armes Biologiques (CAB) est ratifiée en 1972 par plus de cent nations dont les Etats-Unis. Ce traité interdit la mise au point, la fabrication et le stockage des armes bactériologiques et exige également leur destruction ou leur conversion à des fins pacifiques. Depuis la seconde guerre mondiale, les Etats-Unis développent un programme de guerre biologique offensif mais, sous Nixon, on estime que les armes biologiques sont militairement contre-productives en ce sens qu’elles peuvent engendrer un effet « retour de bâton » sur les forces armées et les populations. De plus, les USA disposent d’un arsenal nucléaire massif estimé plus efficient que les armes biologiques perçues comme la « bombe atomique du pauvre ». Ainsi la CAB empêche le développement peu coûteux de ces armes de destruction massive (ADM) par les pays du Tiers-Monde et garantit aux USA la supériorité militaire de leur force de frappe nucléaire grâce au Traité de 1968 sur la non-prolifération des armes nucléaires. Nixon respecte apparemment la CAB mais dans les entrailles du Pentagone, l’ancienne unité du programme bio-chimique n’est pas dissoute. Et après leur arrivée au pouvoir en 1981, les reaganiens du Pentagone engagent des financements massifs dans des programmes biologiques militaires sous des prétextes de défense, exploitant une faille de la CAB qui n’interdit pas les recherches « à des fins prophylactiques, de protection ou autres fins pacifiques ». En effet, la Convention autorise le développement, la production et peut-être même le stockage d’agents biologiques pathogènes en quantités limitées si ces derniers sont liés à la production de moyens de défense tels que les vaccins, les thérapies ou des vêtements de protection spéciaux. De même, la recherche est admise de facto, puisque la Convention n’y fait pas référence. De plus, la CAB a été rédigée avant que l’ingénierie génétique ne soit parvenue au rang de science de la vie, elle n’a donc pas pris en compte cette connaissance qui permet de mettre au point un outil à double tranchant car pouvant déboucher sur une utilisation défensive ou offensive.

Avec leur « Programme de Recherche en Défense Biologique », les néo-conservateurs signent des contrats avec des universités réputées sur tout le territoire des Etats-Unis, en totale infraction de l’article I de la CAB. En 1985, en réponse à une inquiétude légitime concernant le dévoiement des sciences de la vie par le Pentagone, le Congrès demande au « Conseil pour une Génétique Responsable » (CGR) de faire une proposition législative. Le CGR ignore alors que les reaganiens ont déjà autorisé, par l’intermédiaire de Donald Rumsfeld, à l’époque représentant des USA au Moyen-Orient, des expéditions d’agents biologiques (virus du Nil et Anthrax) à Sadam Hussein, cela en infraction avec l’article III de la CAB, espérant que celui-ci les militarise et les emploie contre l’Iran. Cette administration s’oppose au projet de loi du CGR. Arrivé au pouvoir, Bush senior remplace les reaganiens par des experts plus proches de la politique de Nixon et la nouvelle équipe permet le vote de la loi préconisée par le CGR en lui demandant, cependant, de la présenter au Congrès comme une mesure permettant de faire face au bio-terrorisme venu du Tiers-Monde susceptible de menacer les Etat-Unis. C’est la loi « Anti-Terrorisme sur les Armes Biologiques de 1989 » et elle remédie à toute lacune du texte de la CAB qui est respecté jusqu’à l’arrivée de l’équipe de Clinton. Celle-ci réactive à son tour le financement des recherches illégales du Pentagone malgré leur extensive activité de la décennie précédente.

A leur retour aux affaires, les reaganiens recyclés avec Bush junior, refusant de voir leurs propres sites inspectés, rejettent le protocole de vérification et de contrôle la CAB, alors en négociation au niveau international. Le New York Times révèle une semaine avant les attentats du 11 septembre 2001, une des raisons essentielles de cette décision : l’administration souhaite dissimuler certains programmes de guerre biologique. Selon l’enquête du journal new-yorkais, trois projets semblaient particulièrement troublants : le test d’une installation expérimentale utilisant des organismes généralement inoffensifs, mais dotés de caractéristiques proches des agents pathogènes servant d’armes biologiques ; le test d’une bombe bactériologique, dont certaines composantes n’étaient pas au point ; un plan d’ingénierie génétique sur une souche résistante d’anthrax. Ils écrivent « Les États-Unis ont lancé un programme secret de recherches sur les armes biologiques qui selon les dires de certains fonctionnaires expérimente les limites du traité mondial interdisant ces armes. […] Au début de cette année, l’administration a dit que le Pentagone avait des plans pour créer génétiquement une variante potentiellement plus puissante de la bactérie qui cause la maladie du charbon.»

Le Centre pour la Loi et la Santé Publique (CLSP) qui a été formé un mois avant les élections de 2000, se réunit, en octobre 2001, dans le but d’établir une législation pour réagir à la menace bio-terroriste du moment. Le 23 novembre, il émet un document appelé « Actes des Pouvoirs des Modèles d’Urgence Santé » (APMUS), une loi que le Département de la Santé et des Services Humanitaires suggère voir décrétée par les 50 états afin de contrôler les futures urgences en santé publique, telle que le bio-terrorisme. Une version révisée est émise le 21 décembre, contenant une définition plus précise de l’urgence en santé publique qui caractérise le bio-terrorisme et les agents biologiques et comprend des clauses pour les états qui veulent utiliser cet acte dans les cas de désastres chimiques, nucléaires ou naturels.

L’APMUS exige que chaque individu soit vacciné, un refus constituant un crime entraînant la quarantaine, et que chaque individu subisse un traitement médical spécifique, un refus constituant un crime entraînant la quarantaine. Il peut saisir toute propriété, incluant un immeuble, de la nourriture, des médicaments, de la gazoline ou des vêtements qu’un officier juge nécessaires pour contrôler l’urgence ainsi que saisir et détruire toute propriété susceptible d’être dangereuse, il n’y aura ni compensation ni recours. Il peut affecter un citoyen ou une entreprise au service de l’état, peut imposer le rationnement, le contrôle des prix, le contrôle des quotas et du transport. Enfin, cette loi peut suspendre n’importe quelle loi d’état, règle ou réglementation que l’on croira interférer à la maintenance de l’état d’urgence.

L’APMUS est actuellement évaluée par sept états. Cette loi n’espère-t-elle qu’un prétexte pour se voir décrétée et par la suite appliquée ? Que prévoient donc les autorités en proposant une telle loi ? A quel événement majeur se préparent-elles ?

Le nouveau « Programme de Défense Biologique et Chimique » (PDBC)) publié en mai 2004, qui succède au « Programme de Recherche en Défense Biologique » de Reagan, donne à plus de 300 instituts et 12000 personnes l’accès aux agents pathogènes appropriés à la guerre biologique. Le nombre des bourses du National Institut Health affectées à la recherche sur les maladies infectieuses est quant à lui multiplié par 15. Le PDBC sera par la suite appuyé par la « Déclaration Programmatique Finale d’Impact Environnemental » (DPFIE) du Pentagone. A la lecture du DPFIE /PDBC, il est évident que le Pentagone se prépare à mener une guerre biologique conformément aux directives de stratégie nationale de Bush Jr de 2002. Ainsi un paragraphe de cette déclaration stipule que la mission du PDBC est étendue à la défense des capacités militaires à réagir face à la menace lors de missions de sécurité nationale et de missions de combat.

 

 

Selon un rapport du Washington Post d’août 2005, le Pentagone a développé ses premiers plans pour des opérations visant à imposer la loi martiale dans le pays tout entier, en violation d’une décision du Congrès interdisant l’utilisation des militaires pour le maintien de l’ordre sur le territoire national (loi Commitus Posse). Les plans sont de grande envergure : les scénarios envisagés vont « de la basse intensité » avec des missions modestes de contrôle des foules, à « intensité élevée » avec la gestion totale de désastres à grande échelle après des attentats tels que l’émission d’un agent biologique.

En 2007, le rapport annuel du Pentagone atteste qu’il prépare des essais d’armes chimiques et biologiques à ciel ouvert en violation des Conventions internationales, révèle le professeur Francis A. Boyle expert au Conseil pour une Génétique Responsable et rédacteur de la loi de mise en application de la CAB, qui fut signée par le président George H. Bush Sr. Le Pentagone nie que le président George W. Bush ait émis une directive lui permettant de reprendre les essais de guerre chimique et biologique (GCB) en plein air, essais qui avaient été interrompus par le président Richard Nixon en 1969. Pourtant, les préparatifs annoncés par le Pentagone semblent indiquer qu’il est prêt à le faire. Le rapport annuel du Pentagone appelle apparemment à « des essais complets [de GCB] sur le terrain » pour ce qui touche à la mise au point et à l’exploitation de ces agents, et pas seulement de simulations. Le passage suivant est explicite : « Plus de 30 ans ont passé depuis l’interdiction aux États-Unis des tests en plein air d’agents chimiques vivants, et depuis que le dernier test de ce type a été réalisé, une grande partie de l’infrastructure nécessaire pour les essais sur le terrain, comme les détecteurs chimiques, n’existe plus ou est sérieusement périmée. Les augmentations actuellement prévues du budget de l’infrastructure "Essai et Évaluation" vont grandement améliorer aussi bien la mise au point que l’exploitation des essais sur le terrain, avec une meilleure représentation des menaces simulées et la définition de la réaction du système ».

Les essais en plein air déplacent la recherche sur les agents létaux hors des laboratoires afin d’étudier leur efficacité, y compris leurs modes de dispersion aérienne, et pour juger de leur capacité à infecter et à tuer lors des essais sur le terrain. Bien qu’une loi fédérale permette au président d’autoriser les essais en plein air d’agents de GCB, Boyle déclare que cela ne résout pas le problème du respect du droit international car une telle autorisation violerait la Convention Internationale sur les Armes Chimiques et la Convention sur les Armes Biologiques ainsi que les textes législatifs sur la mise en application de ces conventions au niveau national, et ces violations seraient légalement des crimes. Boyle affirme que la mise au point de l’anthrax en vue d’une éventuelle offensive de buts est mise en évidence par les efforts du gouvernement pour essayer de stocker massivement des vaccins contre la maladie du charbon et des antibiotiques, pour 25 millions d’États-uniens au moins, afin de protéger la population civile dans le cas où il y aurait un "retour de manivelle" à l’utilisation de l’anthrax dans le cadre d’une guerre biologique menée à l’étranger par le Pentagone. Il prévient que celui-ci est tout à fait prêt à lancer la guerre biologique par le biais de l’anthrax. Tous les équipements ont été acquis et toute la formation menée et la plupart des membres de forces armées US prêtes à combattre ont reçu des équipements de protection et des vaccins qui les protégeraient prétendument de cet agent.

Associated Press indique de son côté que l’armée états-unienne est en train de remplacer son Institut militaire des maladies infectieuses situé à Fort Dettrick par un nouveau laboratoire qui serait composé d’un campus de bio-défense exploité par plusieurs agences. L’armée a déclaré à AP que le laboratoire est destiné à poursuivre des recherches uniquement à des fins défensives contre les menaces biologiques. Le fait que des scientifiques du gouvernement ont créé de nouvelles souches d’agents pathogènes pour lesquels il n’existe pas de remède connu contredit fortement l’argument selon lequel la recherche états-unienne est menée à des fins défensives. Richard Novick, professeur de microbiologie à l’université de New York, déclare : « Je ne peux imaginer une justification plausible pour expliquer la modification génétique de l’anthrax comme une mesure défensive. » En effet, l’altération d’un agent pathogène consiste à modifier sa structure de base afin que les vaccins existants s’avèrent inefficaces contre elle. L’argument selon lequel il faut poursuivre l’ingénierie génétique sur des agents pathogènes afin de créer un vaccin n’est pas fondé. En effet, la nature produit en trop grand nombre des agents pathogènes modifiables, avec trop de gènes altérables, pour qu’un seul vaccin soit efficace. Tous les experts en défense biologique le savent. Alors, pourquoi les Etats-Unis poursuivent-ils ce projet ?

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http://geopolintel.kazeo.com/



De : Tante Yvonne
http://bellaciao.org/fr/spip.php?article75586

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T
http://bellaciao.org/fr/spip.php?article75608http://bellaciao.org/fr/spip.php?article75629http://bellaciao.org/fr/spip.php?article75682http://geopolintel.kazeo.com/
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S
<br /> Merci beaucoup Tante Yvonne, je ne pensais pas qu'ils arriveraient aussi rapidement, j'attend le n°4.<br /> Bien à toi<br /> <br /> <br />