De la mort-aux-rats dans le vaccin HPV
Allez-vous vous laisser séduire vous aussi par le Gardasil, ce nouveau vaccin qui fait l’objet d’un matraquage publicitaire à l’usage des filles dès l’âge de 9 ans ? Ce vaccin censé prémunir contre le cancer du col de l’utérus de la cinquantaine n’est en fait qu’un vaccin contre le papillomavirus HPV générateur possible des «crêtes de coq» et pouvant lui-même évoluer vers un peu probable cancer (3%)… quarante ans plus tard !
On connaît actuellement l’existence de plus de cent souches de HPV (transmissibles par voie sexuelle), mais qui sont naturellement éliminées dans un délai de 8 à 13 mois sans le moindre désagrément dans 90% des cas. Alors où est le problème? Vous êtes-vous intéressé à la composition du Gardasil ? Chaque dose de ce vaccin transgénique (donc OGM !) contient en plus de la quinzaine de souches dites à haut risque de HPV, 225µg d’aluminium, du polysorbate 80, et du borate de sodium, substances connues pour leur neurotoxicité et leur cancérogénicité.
Or savez-vous que le borate de sodium est le produit de base de la mort-aux-rats ? Il n’est utilisé dans aucune préparation médicale. Depuis sa sortie, le Gardasil est déjà associé à 25 décès et plus de 8000 effets graves officiels.
Or, quand on sait que les effets néfastes de vaccins rapportés représentent seulement 1% de la réalité, ceci de l’aveu même des organismes officiels, il y a vraiment de quoi s’alarmer !
Voici quelques-uns des effets graves possibles:
paralysies de type Guillain-Barré pouvant être irréversibles,
broncho-spasmes,
syncopes,
faiblesse généralisée,
troubles cutanés,
arthrite,
migraines invalidantes,
inflammation du pelvis avec violentes douleurs abdominales,
disparition ou amoindrissement du flux menstruel,
troubles de la vue,
épilepsies parfois irréversibles,
décès par thrombose ou par arrêt cardiaque,
fausses couches,
risque de maladies autoimmunes pouvant survenir jusqu’à quatre ans après le vaccin.
Alors, pour jouer à la roulette russe avec vos filles…
optez pour Gardasil !
Michel Dogna, Pratiques de Santé n°85, Décembre 2008http://pouvoiretpsychopathie.hautetfort.com/
http://bridge.over-blog.org/article-25473434.html
Voir aussi :
DEMANDONS L'ARRET DE LA PUB POUR LE "GARDASIL"
Une campagne de pub télévisuelle très persuasive, des médecins à l’enthousiasme fréquent mais dont les arguments ne sont pas partagés par l’ensemble corps médical, des parents qui, bien sûr, veulent le bien de leurs gamines à l’heure où l’on enfile des préservatifs sur les obélisques des villes… Qui donc va résister lorsqu’on va lui dire qu’il faut aller de l’avant, qu’à quinze ans sa petite jeune fille ne va pas tarder à… Si ce n’est déjà fait, et que, de toute façon, c’est gratuit ? Pourtant, si l’on résiste un peu et qu’on laisse passer la première vague de culpabilité, on cherche et on trouve plein de choses…
Gardasil : c’est le nom du vaccin qui garantirait contre certains des virus susceptibles de causer le cancer de l’utérus. Et ce, à condition d’être appliqué avant le début des rapports sexuels ou dans l’année qui suit le premier. Il n’exclut donc aucunement les contrôles réguliers par frottis (remboursés eux aussi) qui, normalement, permettent de dépister le cancer de l’utérus à un stade où on peut facilement l’endiguer (car il s’agit d’un cancer à l’évolution lente).
Trois doses : cent trente cinq euros l’une. Remboursement à 65% par la Sécurité Sociale depuis juillet 2007 sur conseil du Conseil Supérieur de l’Hygiène Publique de France (CSHPF). Et cela sept mois après la mise sur le marché du produit. Mais qui donc est allé chercher que « remboursé par la Sécurité Sociale » signifiait gratuit ? Ceux qui ne cotisent pas ? A l’heure ou de plus en plus de produits sont « déremboursés » et où le « trou de la sécu. » est une légende qui enfle autant que la pécore de la fable…
Alors, vaccination ou pas ? Ceux que le sujet intéresse et/ou concerne et qui ont besoin de renseignements objectifs, documentés, argumentés, fondés, peuvent visiter le site de Martin Winckler. Mais il n’est sans doute pas inutile de garder à l’esprit que si, dans le passé, on était mal soigné parce que l’on n’était pas assez soigné, désormais on est parfois mal soigné parce que l’on est trop soigné !
Si les résultats de cette campagne (et donc son bien fondé) en termes de santé publique ne pourront être connus que dans une trentaine d’années, ses résultats financiers, en revanche, ne devraient pas être mauvais pour tout le monde et ce n’est sans doute par un hasard si le site Boursorama (d’habitude peu versé dans la critique médicale) en fait un éloge pour le moins appuyé…
Guy Dedieu pour Novopress France
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