Gardasil: un vaccin préventif cause 29 décès
Le 15 mai 2008, nous avions publié une mise en garde sur la campagne de vaccination au Gardasil pour protéger contre le Virus du Papillome humain (VPH). Aujourd’hui, les résultats sont encore plus alarmants que la mise en garde de l’an dernier.
L’argumentaire de l’an dernier soulignait que le vaccin contre le Virus du papillome humain (VPH), efficace qu’à 67%, donne une fausse sensation de protection contre les maladies transmises sexuellement (MTS), dont le Virus du papillome humain (VPH).
Selon CBS News, 29 décès sont attribués au vaccin Gardasil contre le Virus du Papillome humain (VPH). Pendant ce temps, la compagnie pharmaceutique Merck Frosst, fabricant du vaccin Gardasil considère que son vaccin est toujours sécuritaire. Même que la compagnie pharmaceutique Merck Frosst a demandé au FDA d’autoriser un vaccin contre le Virus du Papillome humain pour les garçons!
Le vaccin Gardasil a été créé pour remplacer le vaccin Menactra. Le Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) est une groupe privée de surveillance sur les effets secondaires des vaccinations. Selon un rapport du VAERS de février 2009, en 2 ans, le vaccin Gardasil a tué 29 jeunes personnes tandis que le vaccin Menactra en a tué 6 sur 4 ans. Ce rapport est diffusé par le National Vaccine Information Center.
Même si la compagnie pharmaceutique Merck Frosst nous dit de ne pas nous inquiéter, selon l’agence de presse Business Wire une enquête sur le vaccin Gardasil est demandée. S’il y avait un recours collectif contre la compagnie pharmaceutique Merck Frosst, est-ce que leurs actuaires ont calculé qu’il était plus payant de perdre un recours collectif et de continuer à tuer d’innocentes personnes?
Un site Internet a été mise en ligne en décembre dernier pour présenter les victimes du vaccin Gardasil.
Merci à Lina B Moreco et à La Fêlée pour avoir attiré mon attention sur cette question de santé publique et de protection du consommateur.
http://les7duquebec.wordpress.com/2009/02/25/vaccin-gardasil-contre-le-virus-du-papillome-humain-vph-victime-consequence-enquete/