Attentats de Londres : Inside job ?

Publié le par sceptix

IMPORTANT ! Les attentats de Londres n’étaient qu’une mise en scène du gouvernement..les proches des victimes demandent des comptes

Source:
Journal Britannique Daily Mail”>Journal Britannique Daily Mail

Reproduction autorisée pour les bloggers à condition de citer clairement SpreadTheTruth.fr

Il y a de cela environ quatre ans que les images de cette matinée épouvantable sont restées gravées dans notre mémoire: la femme au visage plein de brûlures blanches en train d’être mise en sécurité, l’homme d’affaire en état de choc dont les cheveux et la chemise sont tâchés de sang; le bus n° 30 dont le toit a été soufflé; l’épave broyée de la rame de métro qui dégage encore de la fumée.

Cette attaque terroriste, la pire jamais commise dans le pays, est survenue à l’heure de pointe le matin du 7 juillet 2005. Elle a brisé à jamais l’euphorie enivrante qui avait gagné la capitale au lendemain de l’attribution de l’organisation des Jeux Olympiques de 2012 à Londres.

C’est ainsi qu’a été reconstituée l’histoire des attentats du 7/7 qu’on a fini par accepter: Quatre musulmans britanniques, Mohammad Sidique Khan, Shehzad Tanweer, Jermaine Lindsay, et Hasib Hussain dont les âges sont respectivement de 30, 22, 19 et 18 ans, se sont fait explosés dans trois rames de métro et dans un bus à impériale en activant des explosifs de fabrication artisanale.

Leur attaque a tué 56 personnes et en a blessées 700 autres.

Portant chacun un sac à dos bourré d’explosifs, ils avaient embarqué dans un train grande ligne de Luton pour la gare de King’s Cross Thameslink à Londres.

Cet après-midi-là, le Premier Ministre, Tony Blair, qui accueillait, à Gleneagles en Ecosse, le sommet du G8 sur la pauvreté du monde, est rentré à Downing Street où il a déclaré que cet attentat était un acte commis au “nom de l’islam”.

Plus tard, au cours d’une réunion du Government national emergency committee (le comité national d’urgence) COBRA, le chef de la police antiterroriste de Londres, Andy Hayman déclaré aux ministres seniors qu’il soupçonnait des auteurs d’attentats suicide à la bombe.

C’est une version des faits qui a été confirmée par un rapport gouvernemental et une enquête parlementaire de haut niveau. Se basant sur 12500 déclarations, une analyse policière de 142 ordinateurs et le dépouillement de 6000 heures des images des caméras de surveillance. La publication du rapport et des résultats de l’enquête a eu lieu en mai 2006, soit 10 mois après la réalisation de ces attaques.

Le rapport met l’accent sur le fait que les auteurs des attaques à la bombe ont agi de leur propre chef. Ils ont ainsi fabriqué des explosifs dans un appartement de Leeds dans le Yorkshire où tous les quatre vivent auprès de leur famille et avec leurs amis.

Pour ce faire, ils ont utilisé un mélange de la farine à chappattis et des décolorants pour cheveux.

Le rapport a conclu que les poseurs de bombe musulmans n’obéissaient pas aux ordres d’un chef terroriste, mais qu’ils étaient inspirée par l’idéologie d’Al Qaeda diffusée dans des sites Internet extrémistes.

Mais les familles des victimes et un nombre toujours croissant des survivants des événements du 7 juillet 2005 prétendent que les rapports officiels comportent des incohérences et des erreurs élémentaires nécessitant des explications.

Pour cela, ils exigent l’ouverture d’une enquête publique afin de répondre aux questions importantes relatives aux informations dont les Services de Renseignements et la police ont eu connaissance avant les attaques à la bombe.

Parallèlement, le refus catégorique du gouvernement de répondre à leurs exigences entraîne de dangereuses conséquences.

Il(le gouvernement) accrédite notamment la thèse de la conspiration au sujet des attentats du 7 juillet. Des livres, des blogs et plusieurs documentaires vidéo soulignent les incongruités des rapports officiels.

La détermination des survivants à obtenir une enquête indépendante est si ferme qu’ils ont engagé une action judiciaire auprès de la Haute Cour à l’encontre du Gouvernement afin de contraindre le ministre de l’Intérieur, Alan Johnson à autoriser une telle enquête.

Diana Gorodi, la militante dont la soeur Michelle Otto, âgée de 46 ans, faisait partie des victimes, explique : “ Il nous est tout simplement difficile de croire que quatre individus ont décidé un matin de fabriquer des bombes sur la base des informations recueillies sur des sites Internet et sont parvenus à plonger Londres dans le chaos et à provoquer une tragédie. Je n’arrive pas à croire que ces quatre individus ont agi de leur propre chef

Âgée de 39 ans, Rachel North, une directrice de stratégie, survivante de l’attaque sur la rame de métro de King’s Cross, renchérit: “ Nous avons besoins d’une enquête publique. Après tout, c’est le public, et non pas les politiciens, qui a subi les attaques. Il faut que la population sache les risques qu’elle court et qu’elle soit informée sur les raisons pour lesquelles certaines personnes vivant parmi eux veulent tuer pour un idéal.”

Il est essentiel de savoir quel est le train emprunté par les quatre musulmans pour partir de Luton à Londres le matin des explosions à la bombe.

Il faut garder à l’esprit que les trois attaques distinctes contre les rames de métro à Edgware Road, Aldgate et à King’s Cross se sont produites exactement à 8 h50 du matin, suivies de l’explosion du bus rouge une heure plus tard près de Travistock Square.

Les rapports officiels affirment que les auteurs des attaques à la bombe ont pris place dans le train de 7h 40, en partance de Luton, qui aurait dû arriver à arriver à King’s Cross au bon moment pour monter dans les rames de métro.

Cependant, le train de 7h40 n’était pas en circulation ce matin-là. Il avait été annulé.

Depuis, le Gouvernement a apporté un rectificatif à cette information, mais seulement lorsque les survivants ont fait remarquer l’erreur. Il affirme que les auteurs des attaques à la bombe ont emprunté en réalité le train de 7h25 à la gare de Luton pour un voyage de 35 minutes à destination de King’s Cross. Il devait arriver à 8h du matin dans la capitale.

Pourtant cette version soulève plus de questions qu’elle n’apporte de réponses. Car ce train a accusé un retard de 23 minutes en raison des problèmes liés à ligne aérienne à l’origine des perturbations subies par la plupart des services entre Luton et King’s Cross ce matin-là. Selon les responsables, il est arrivé à Londres à 8h23.

Selon le July Seventh Truth Campaign , un autre groupe qui réclame une enquête publique, ce fait met également en cause la version officielle concernant les heures de déplacement des auteurs des attaques à la bombe.

Une photo prise par la camera de surveillance montre les quatre auteurs des attaques à la bombe à leur arrivée à la gare de Luton :c’est l’unique photo où ils apparaissent ensemble le 7 juillet. La caméra de surveillance n’a jamais montrés aucune de leurs images, fixes ou mobiles, prises à Londres, ce qui prête à la controverse.

Par ailleurs, la photo prise à Luton est discutable: elle est de mauvaise qualité et il est impossible d’identifier les visages de trois des auteurs d’attaques à la bombe. Les tenants de la théorie de la conspiration estiment qu’il pourrait s’agir d’une image falsifiée

L’heure figurant sur cette photo indique une avance de quatre secondes avant 7h22. Mais si cela avait été le cas, ces hommes auraient eu juste trois minutes pour monter à l’étage à la gare de Luton, acheter leur billet aller-retour de 22 livres et se rendre au quai, rempli de migrants journaliers en raison des perturbations de voyage survenues plus tôt.

Le groupe Truth Campaign fait également preuve de scepticisme en ce qui concerne l’heure d’arrivée supposée des auteurs de l’attentat à King’s Cross.

Ce groupe estime qu’il faut sept minutes pour aller de la gare secondaire Thameslink à la gare principale de King’s Cross, qui constitue l’entrée du réseau de métro.

Selon la police, quatre hommes ont été aperçus dans le hall principal de King’s Cross à 8h26. Cependant aucune image de la caméra de surveillance confirmant ces affirmation n’a jamais été rendue publique.

(LE JOURNAL DAILY MAIL S’INTERROGE)

Mais cela est-il possible? Comment ces hommes ont-ils pu y arriver en trois petites minutes après leur descente du train de Luton à 8h23 ?

Ce sont les incohérences de cette nature qui alimentent les inquiétudes grandissantes. Cette semaine, un documentaire, intitulé Conspiracy Files 7/7 diffusée sur BBC2 a révélé l’existence d’une vidéo de 56 minutes produite par les personnes soutenant la thèse d’une conspiration : le Ripple Effect.

Le documentaire Ripple Effect accuse Tony Blair, le Gouvernement, la police, les services secrets britanniques et israéliens du meurtre des innocents qui sont morts ce jour-là pour raviver la ferveur anti-islamique et obtenir le soutien de la population en faveur de la « guerre contre le terrorisme ».

Le documentaire Ripple Effect prétend que les quatre musulmans britanniques ont été induits en erreur par le Gouvernement qui les a amenés à prendre part à ce qui aurait été un exercice de simulation de lutte antiterroriste.

La vidéo prétend encore que ce qu’on ne leur avait pas dit, c‘est que le Gouvernement allait les faire exploser en même temps que d’autres passagers, pour ensuite les faire passer pour auteurs d’attaques à la bombe.

La vidéo Ripple Effect accuse les agents du Gouvernement d’avoir fait exploser des bombes préalablement placées en-dessous des trois rames de métro et dans le bus.

Le documentaire explique que les quatre musulmans ne se trouvaient en réalité dans aucun des rames de métro, puisqu’ils les avaient complètement manquées en raison des retards du train effectuant la ligne Luton-Londres.

Le documentaire ajoute, de manière surprenante, que du fait que les quatre terroristes présumés n’étaient pas montés à temps dans la rame, trois d’entre eux ont été abattus par la police plus tard à Canary Wharf ce matin-là et que le quatrième, l’auteur de l’attaque du bus, s’est enfui

Si scandaleuses que soient ces accusations, cette vidéo fait l’objet d’une large consultation sur Internet.

Certains chefs musulmans estiment que les événements du 7 juillet ont été inventés de toute pièce. Ainsi que le déclare le docteur Mohammad Naseem, président de la mosquée centrale de Birmingham, dans le documentaire de la BBC2 : “Nous n’acceptons pas la version que le gouvernement donne des événements du 7 juillet 2005. La vidéo Ripple Effect apporte des arguments plus convaincants que les déclarations officiels.”

M. Naseem a produit 2000 exemplaires de Ripple Effect au profit des membres de sa mosquée. L’enquête a révélé qu’avant même que la vidéo controversée ne soit mise en circulation, un musulman Britannique sur quatre pensait que le Gouvernement ou les services secrets étaient responsables des atrocités du 7 juillet. Aujourd’hui, le nombre de personnes gagnées par le scepticisme est en augmentation.

Récemment, au cours des prières de vendredi, le docteur Naseem a demandé aux membres de sa congrégation de lever la main s’ils n’acceptaient pas la version que le gouvernement donne des événements. Presque toute l’assemblée composée de 150 hommes et garçons l’a fait. Il a ensuite exhorté l’assistance à passer derrière la mosquée recevoir gratuitement des exemplaires de Ripple Effect.

Depuis, le président respecté ne cesse de dire que la rapidité avec laquelle la police a découvert l’identité des auteurs des attentats était suspecte. “ Lorsqu’un corps est l’objet d’une explosion, il est détruit. Comment se fait-il que les pièces d’identité trouvées sur le lieu d’explosion de la bombe sont-elles restées intactes ? Y ont-elles été placées?

Voilà une autre indication que donne le Ripple Effect.

Alors qui est l’auteur de cette dangereuse vidéo?

C’est un habitant de Yorkshire, âgé de 60 ans, Anthony Hill qui vit à Kells dans le comté de Meath en Irlande. Il y est actuellement en détention et se bat pour ne pas être extradé en Grande Bretagne. Ici, la police veut lui faire subir un interrogatoire afin qu’il réponde du chef d’accusation d’entrave au bon fonctionnement de la justice car il a fait parvenir une vidéo à un membre de jury participant à une affaire de terrorisme.

C‘est dans sa propre maison que M. Hill a produit la vidéo Ripple Effect dont il est le narrateur.

A bien des égards, il s’agit de l’œuvre d’un amateur : le dialogue y est embrouillé et difficile à comprendre. Mais cette analyse laisse de côté le problème de fond, à savoir pourquoi la vidéo Ripple Effect a-t-elle une si grande influence?

La réponse en est que certaines questions, confuses au regard de la thèse ridicule d’un complot gouvernemental, ne sont pas faciles à ignorer.

(LE JOURNAL DAILY MAIL S’INTERROGE A NOUVEAU)

Pourquoi les quatre auteurs des attaques ont-ils acheté les billets aller-retour sur Londres s’ils étaient chargés d’accomplir une mission suicide dont ils ne devaient pas sans doute revenir?

Pourquoi n’existe-t-il pas d’images obtenues par le biais de la camera de vidéo surveillance qui montre les quatre hommes ensemble à Londres, même si cette métropole dispose de milliers et de milliers de caméra de vidéo surveillance de ce type dans les places publiques ?

Pourquoi les survivants des attaques du métro ont-ils été si nombreux à affirmer que les explosions se sont produites au-dessous des trains, et non pas sur le plancher, comme cela aurait été le cas si le sac à dos avait explosé à l’intérieur ?

Pourquoi aucun passager du train Londres-Luton n’a aucun souvenir clair des quatre auteurs des attaques à la bombe portant d’énormes sacs à dos ce matin fatidique ?

Par la coïncidence la plus extraordinaire, le documentaire Ripple Effect affirme que la probabilité est très forte qu’un exercice de simulation de lutte antiterroriste était en train de se dérouler ce jour-là. Cette information a été révélée très tôt le soir après les attaques sur BBC radio 5 par Peter Power, ancien agent de la Scotland Yard.

D’après ses déclarations: “à neuf heures trente ce matin, nous étions en train de mener un exercice portant sur plus d’un millier de personnes à Londres. Cet exercice était basé sur une explosion simultanée de bombes à la gare où les événements ont eu lieu précisément ce matin. J’en ressens des frissons dans dos. »

Qu’en est-il des vidéos menaçant d’attaques suicides que Khan et Tanweer ont produites avant les attaques à la bombe, et qui ont été diffusées sur Internet après les attaques ? La vidéo Ripple Effect y apporte également une réponse

Voici les explications de M. Hill à ce propos : « L’on demanderait à la première de produire une « vidéo montrant une attaque suicide » avant l’exercice de simulation afin de rendre ce dernier aussi proche de la réalité que possible…ensuite l’on demanderait au second de produire une vidéo semblable pour servir de réserve juste au cas où il pourrait arriver quelque chose à la première ou s’il arrive que l’on rende publique la première vidéo avant la date. »

Très peu de personnes sont aussi préoccupées que Rachel North, la survivante de l’attaque contre le métro de King’s Cross, au sujet de la vidéo et le mécontentement qu’elle suscite : “ Si, dans les mosquées, les gens pensent que le Gouvernement manifeste une telle hostilité à leur encontre qu’il a réellement la volonté de les accuser de crimes qu’ils n’ont pas commis, quel en est l’incidence sur le niveau de confiance ? C’est un problème pour tout le monde dans ce pays.

Elle(Rachel North la survivante des attentats) affirme que la thèse selon laquelle les événements du 7 juillet ont été provoqués pour diaboliser la communauté musulmane et influencer l’opinion publique afin qu’elle apporte son soutien à la “lutte contre le terrorisme”, n’est qu’une manière de jeter de l’huile sur le feu

Comme elle, nombre de personnes responsables, y compris l’ex-adjoint au préfet de police de Scotland Yard Brian Paddick, ancien chef de la police anti-terroriste de Londres Andy Hayman et David Davis, jusqu’à récemment ministre de l’Intérieur fantôme des Tories, en appellent à la création d’une commission d’enquête indépendante relatives à ces attentats.




Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article