Bombardements "humanitaires" en Libye: Les crimes de guerre Charles Bouchard


Au rayon des crimes contre l’humanité, le Québec avait le faux héros Roméo Dallaire, marionnette de Bill Clinton chargée de laisser la voie libre à Paul Kagame et à ses conseillers militaires étasuniens, architectes du bain de sang qui commença le 1er octobre 1990 et qui se poursuit encore, 21 ans plus tard, au Rwanda et en République démocratique du Congo. Mais aujourd’hui, le Québec a son premier vrai grand criminel de guerre, le lieutenant-général Charles Bouchard, bourreau des Libyens.
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En dépit des protestations vigoureuses et après de nombreuses tentatives ratées (par exemple, le 21 mars, le 25 avril et le 30 avril, cette dernière ayant causé la mort du plus jeune fils et de trois petits-enfants de Mouammar Kadhafi), Charles Bouchard a fait assassiner un chef d'État. Il peut, s'il le veut, nier effrontément son crime, mais lesrévélations du Canard enchainé sont accablantes. Chemin faisant, les tueurs aux ordres de Charles Bouchard ont massacré des milliers d'hommes, de femmes et d'enfants. Ils ont provoqué le déplacement de centaines de milliers de personnes, peut-être même des millions, aujourd'hui dispersées dans le désert ou dans les pays voisins.
À titre de dirigeant militaire du Dominion of Canada, monarchie à laquelle les Québécois ont été intégrés de force et dont ils ne partagent pas les valeurs militaristes, Charles Bouchard a fait pleuvoir des bombes pendant six mois sur Tripoli, une ville moderne de plus d'un million d'habitants encore prospère récemment. Il a lâché aux trousses des Libyens de race noire une horde de chiens drogués, racistes et assoiffés de sang. Il a orchestré la destruction de Syrte, bijou méditerranéen incarnant la grande réussite économique et sociale que les Libyens et l'Afrique devaient à Mouammar Kadhafi.