Cancer : Peut-être un petit espoir pour ceux qui désespèrent ?? (MàJ : vidéo)

Publié le par sceptix



L'histoire du cancer de Jim, par Sherry Ryan
Traduction par Jacques, le 26 décembre, pour le collectif "Nos Libertés"
Texte original : "Jim's cancer journey

C’était à la fin de janvier 2005, que Jim a commencé à avoir des problèmes pour respirer. En conséquence, il a arrêté de fumer du tabac le 7 février 2005, mais ses difficultés respiratoires ont continué à empirer les semaines suivantes. Il n’avait pas vu de médecin à ce moment-là, car il croyait que l’arrêt du tabac métrait fin à ses problèmes respiratoires. Il continuait à aller si mal, qu’il ne pouvait marcher de chez lui jusqu’à sa voiture (c’est-à-dire une distance de 6 mètres) sans s’arrêter pour arriver à obtenir de l’air.

La situation empirait de jour en jour et j’ai insisté pour que nous allions aux urgences, ce qu’il a accepté de faire début mars 2005, mais il changea d’avis avant d’arriver aux urgences, déclarant qu’il avait le sentiment de légèrement mieux respirer. Contre mon avis, nous sommes retournés à la maison.

À la mi-mars, il luttait continuellement pour pouvoir respirer, j’ai alors téléphoné à son spécialiste des voies respiratoires, afin d’obtenir un rendez-vous pour Jim. Il a accepté de le recevoir immédiatement lorsque je lui ai expliqué le problème. Mais il avait besoin d’une ordonnance du généraliste de Jim, car cela faisait un an que Jim n’avait pas vu ce spécialiste. J’ai immédiatement appelé son généraliste, lui ai expliqué le problème et demandé qu’elle contacte le spécialiste tout de suite, afin qu’on puisse prendre rendez-vous.

Elle refusa et exigea que nous venions la voir en rendez-vous. Le 18 mars 2005, nous sommes allés la voir et elle a pu constater que Jim avait d’énormes problèmes pour respirer. Elle nous a dit qu’il était déprimé, avait des attaques d’anxiété et a donné à Jim un antidépresseur et un sédatif. Nous avons insisté pour avoir l’ordonnance nous permettant de voir le spécialiste, mais elle a refusé.

J’ai administré les médicaments à Jim, mais cela a continué à devenir de pire en pire. Souffrant moi-même de dépression chronique et d’anxiété depuis 1998, sans avoir de formation médicale j’ai pressenti que son diagnostic n’était pas bon et qu’elle aurait dû étudier plus en détail le cas de Jim. Elle aurait dû l’envoyer faire des analyses de sang ou une radio des poumons, afin d’essayer de découvrir quel était le problème. Mais ce ne fut pas le cas.

Le 3 avril 2005 Jim luttait à chaque respiration, alors j’ai insisté pour que nous allions aux urgences. Jim était trop malade pour pouvoir refuser. Nous sommes allés aux urgences et ils ont vérifié son niveau d’oxygène et fait des analyses de sang. Nous apprîmes qu’il avait fait une crise cardiaque le jour précédent et que sa tension artérielle était très basse. C’est ce qui avait provoqué la crise cardiaque, car il n’avait pas assez d’oxygène qui arrivait dans son cœur. C’est pourquoi il ne pouvait pas respirer normalement et saignait de manière interne. Jim fut admis à l’hôpital général de Dartmouth.

Pendant son séjour de six jours à l’hôpital, ils ont réalisé un scanner du cœur et trouvé deux blocages. Mais ils ne pouvaient les retirer sans risquer de provoquer une hémorragie. Ce soir-là, j’ai demandé au spécialiste de l’hôpital d’où venait le saignement. Et il m’a répondu : « cela vient de son estomac, cela peut-être un ulcère ou un cancer, mais nous n’irons pas jusque-là. » Inutile de dire que j’étais choqué. Mais j’étais moi-même assez mal et je n’ai pas posé d’autres questions. Jim est sorti de l’hôpital quelques jours après avec une dizaine de médicaments à prendre, pour son cœur et sa tension.

Lors de la visite suivante de son nouveau généraliste, celui-ci a proposé d’étudier la source du saignement interne et a organisé un rendez-vous pour une fibroscopie. Le 18 mai 2005, le médecin ayant réalisé la fibroscopie lui a dit ouvertement qu’il avait un cancer de l’estomac, ce qui provoquait les saignements internes. Il contacta immédiatement le généraliste de Jim pour un rendez-vous. Elle nous donna des conseils sur les options à prendre et préconisa une opération chirurgicale.

Le chirurgien de Jim était merveilleux et bien qu’une opération immédiate fût dangereuse à cause de sa récente crise cardiaque, il a estimé qu’il était nécessaire d’opérer afin d’éviter que le cancer se propage. Nous étions d'accord avec son analyse.

Le 15 juin 2005, le chirurgien de Jim l’a opéré et lui a enlevé la moitié de son estomac et quatre ganglions lymphatiques, en espérant avoir réglé le problème. Jim a été mis en soin intensif afin de récupérer de cette opération. Le chirurgien a exposé le cas de Jim à la clinique du cancer, afin de pouvoir démarrer la chimiothérapie et les radiations. Nous avons eu des nouvelles en septembre et rencontré le cancérologue pour la chimiothérapie, qui nous a dit que Jim était en très bonnes mains. Il a programmé cinq sessions de chimiothérapie, avec des intervalles de cinq jours entre chaque séance et trois semaines entre chaque session. Après la première session, Jim est resté à l’hôpital car la chimio l’avait beaucoup affaibli. Après la deuxième session, Jim s’est retrouvé en soin palliatif, car il était au plus bas.

Nous avons ensuite rencontré son cancérologue qui nous a expliqué qu’il ne pouvait aller plus loin avec la chimiothérapie, sinon cela le tuerait (sachant que 20 % des patients ne supportent pas ce genre de chimiothérapie) ou bien cela créerait une énorme crise cardiaque. Nous étions très préoccupés par le cancer de Jim, mais nous savions qu’il ne pourrait supporter plus de chimiothérapie. Jim ne se souciait plus de vivre ou de mourir, il était trop malade pour continuer la chimiothérapie. Heureusement nous avons donc arrêté la chimiothérapie.

Nous sommes allés voir la cancérologue responsable des radiations, une femme très sympathique et elle programma six semaines de radiation d’une durée de cinq jours par semaine. Jim supporta plutôt bien les radiations, excepté des nausées et alla au bout du traitement le 30 novembre 2005. En dehors de la nausée, le résultat fut que son estomac et son dos étaient brûlés et secs.

Nous avons prié pour que cela soit la fin de ce cancer, mais nous étions loin du compte. Trois mois plus tard, un contrôle au scanner indiquait qu’il ne restait plus qu’une petite anomalie en haut de son estomac. Le cancérologue estima que c’était probablement un reste de cicatrice. Le scanner suivant indiqua les mêmes données. Nous étions soulagés et pensions que nos prières avaient été exhaussées.

En octobre 2006, lors d’un scanner de contrôle le cancérologue responsable des radiations nous donna des nouvelles désespérantes : le cancer de Jim s’était développé au système lymphatique et était inopérable par la chimiothérapie ou les radiations. Il y avait un vaste réseau de ganglions cancéreux enlacés dans les vaisseaux sanguins.

Nous étions totalement choqués et désespérés. J’insistais pour savoir si elle était sûre que rien ne pouvait être fait. Mais elle me répondit qu’elle était désolée et qu’elle pouvait prescrire des médicaments pour la douleur et la nausée. Elle nous a proposé de voir le cancérologue de la chimiothérapie afin de voir s’il y avait une solution. Nous le vîmes au début de novembre 2006. Mais, il confirma les propos de la précédente spécialiste. Nous étions désespérés et nous lui avons demandé ce qu’il pensait de la médecine holistique (ndlr : approche globale). Il nous a répondu qu’il ne dirait ni oui ni non, mais qu’il nous laissait prendre ce genre de décision, sachant que certains y ont investi des fortunes, allant jusqu’à perdre leur voiture, leur maison, etc. Je lui ai alors demandé combien de temps Jim pouvait encore vivre et il m’a répondu : « un ou deux mois, sachant que le système immunitaire de Jim est très faible. » Nous nous sommes renseignés au sujet de la médecine holistique, mais en dehors du fait que le coût était élevé, cette médecine ne nous proposait pas de guérir le cancer de Jim ou de gagner du temps.

Les jours passaient et Jim était de plus en plus faible. À la mi-décembre, il était extrêmement malade et avait abandonné la partie. Puis, nous reçûmes des nouvelles de personnes habitants la ville de Amherst, où réside la famille de Jim. Plusieurs personnes leur avaient dis qu’un type fabriquait de l’huile de cannabis, qui soignait les cancers. Bien sûr, nous n’avions que très peu d’espoir et Jim était déjà en train de laisser tomber le combat. Il ne mangeait plus, était totalement déprimé et restait allongé sur son canapé en attendant de mourir. Mais, j’ai insisté pour que nous fassions le voyage jusqu’à Amherst, afin de rencontrer ce type, dont nous n’avions même pas le nom, car j’avais le sentiment qu’il restait un petit espoir de ce côté-là. Jim ne voulait pas y aller, mais j’ai insisté et nous sommes partis le voir.



Nous avons rencontré Rick, qui nous a expliqué en détail les vertus de l’huile de cannabis et les résultats qu’il avait pu observer. Jim et moi avons repris un peu espoir et Jim accepta d’essayer. Ce qui embêtait Rick c’est que le cancer avait eu le temps de progresser pendant ces deux années, mais il pensait qu’il restait des chances que cela fonctionne. Il donna à Jim de l’huile de cannabis et les instructions pour l’ingérer. Nous l’avons énormément remercié et quand nous sommes sortis, Jim a fait un petit saut en l’air. Il tenait l’huile dans sa main et je l’ai vu sourire, pour la première fois depuis très longtemps. Malgré notre désespoir commun, je vis dans les yeux de Jim une lueur d’espoir et je sentis une espérance dans mon cœur. Depuis la découverte de son cancer, nous avions à nouveau un peu d’espoir.

En janvier 2007, Jim a commencé à prendre l’huile de cannabis. Rick nous avait dit qu’il faudrait probablement huit à dix tubes d’huile avant que le scanner montre une amélioration de la situation. Ce qui correspondait à plusieurs mois de traitement avec l’huile de cannabis. Avant de commencer le traitement, Jim vomissait énormément et souffrait le martyr. Comme Jim n’avait jamais été malade auparavant, il n’avait pas l’habitude de prendre de l’aspirine ou ce genre de chose et c’était donc difficile de lui faire prendre les médicaments à la suite de la chimiothérapie et des radiations.

Au début, l’huile de cannabis endormait Jim, ce qui était une bonne chose car il avait besoin de se reposer. Mais nous avons continué à lui donner l’huile tous les jours. Le 4 avril 2007, Jim alla à l’hôpital pour faire un scanner au sujet de son cancer. Puis, nous sommes allés voir le cancérologue de la chimiothérapie, tout en sachant qu’en trois mois les résultats ne pouvaient pas être importants.

À notre grand étonnement le cancérologue nous a dit qu’il avait de bonnes nouvelles : « Le cancer ne s’est pas répandu à d’autres organes, mais en plus le réseau de ganglions cancéreux est en train de mourir, de l’extérieur vers l’intérieur. » Inutile de dire que nous étions totalement excités !

À ce moment-là, nous n’avons pas parlé à l’oncologue de l’huile de cannabis, car nous voulions attendre les résultats du prochain scanner. Avant de quitter son bureau, j’ai demandé s’il avait déjà vu un cas de cancer comme celui de Jim qui se résorbait. Il a réfléchi un moment, puis il a répondu : « Non, mais les résultats sont pourtant là. » Nous savions que c’était l’huile de Rick qui avait agi, puisque Jim ne prenait aucun médicament.

Au cours des mois suivants, Jim a continué à ingérer l’huile de cannabis de Rick, il était encore malade, mais il gardait espoir. Le 17 juillet 2007, Jim a fait un nouveau scanner de contrôle et nous sommes allés chercher les résultats le 26 juillet. Le cancérologue est entré dans son bureau, avec un sourire énorme. Il s’est assis et nous a dit qu’il avait de très bonnes nouvelles. Le cancer ne s’était pas développé, mais en plus il ne restait plus que quelques centimètres du grand réseau de ganglions cancéreux. Nous étions remplis de joie et nous lui avons parlé, à ce moment-là, de l’huile de cannabis de Rick. Jim dit alors au cancérologue : « Je sais que vous n’avez pas le droit d’utiliser l’huile de cannabis, mais si un jour votre amoureuse est en train de mourir à cause d’un cancer, cette information vous sera utile. » Le médecin se mit à sourire chaleureusement et ne fit aucun commentaire.

Alors que nous partions de l’hôpital, Jim était devant au milieu du hall, et je parlais avec son cancérologue qui me déclara : « Dites à votre docteur de continuer son excellent travail. » Je lui ai alors expliqué qu’il n’était pas médecin. Ce à quoi il a répondu : « En tout cas, c’est une personne exceptionnelle. »

Jim prend désormais de plus faibles doses de l’huile, seulement une fois par semaine. Le 10 décembre 2007, Jim a fait un nouveau scanner de contrôle. Le 20 décembre 2007, son cancérologue lui déclara : « Vous n’avez plus aucunes cellules cancéreuses ! »

Pour télécharger l'article : Article au format pdf

Pour aller plus loin, on pourra consulter : le site de Rick Simpson

Je ne sais pas ce que vaut cette info mais,
Après tout, pourquoi pas ?



Voici un reportage diffusé sur Planet no limit : "Jack Herer, l'empereur du chanvre" après l'avoir visionné (sans a-priori) faites vous votre propre opinion sur ce sujet qui, j'en suis certaine, ne manquera pas de susciter des réactions contradictoires


partie 1
partie 2


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F
J'adresse sincèrement ma plus profonde gratitude à Rick Simpson et à son huile de chanvre de cannabis.Ma soeur a été diagnostiquée d'un cancer du cerveau en septembre 2018.Elle est maintenant en bonne santé après avoir appliqué l'huile de Rick Simpson que j'ai achetée à l'adresse suivante: Ricksimpsoncannabishemoil@gmail.com médicament en fonction de la prescription de dosage Rick Simpson attaché à l'huile de cannabis. Après avoir pris de l'huile de chanvre au cannabis, elle est maintenant indemne de cancer. Je vous souhaite à tous de bons soins et le meilleur.<br /> Merci,<br /> Françoise
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C
Ma femme souffre d'un cancer du pancréas, stade 4 confirmé. Le médecin m'a dit qu'elle ne pouvait rien faire puisqu'elle ne répondait pas au traitement. Mon beau-frère est venu à notre secours en commandant cette huile de chanvre à Rick Simpson. La fondation, dit-il, a aidé certains patients à lutter contre différents types de cancer. Nous avons donc décidé de lui donner une chance. Jusque-là, ma femme s’améliorait très bien et elle peut maintenant se promener toute seule dans la maison. J'ai senti qu'il était nécessaire que je laisse d'autres personnes atteintes de cette maladie aiguë qu'une fois que vous avez une bonne huile de chanvre, elle peut vraiment donner une deuxième chance de vivre. si vous avez besoin de cette huile de chanvre, vous pouvez contacter la fondation qui a fourni à mon beau-frère cet email: ricksimpsoncannabis@hotmail.com
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S
Bonjour, je suis Sarah Job. On m'a diagnostiqué un cancer du sein en décembre 2017. Tout espoir était perdu et la douleur ne diminuait pas, même après avoir consulté autant de médecins. Je n’ai vraiment pas pris d’huile Rick Simpson avant que mon meilleur ami ne m’ait parlé du pouvoir de guérison de l’huile de cannabis. J'ai décidé de lui laisser une chance . Après avoir pris l'huile de cannabis RSO pendant quelques semaines, j'ai commencé à remarquer de grands changements. Dans quelques mois à prendre Rick Simpson huile pour guérir, je suis déclaré sans cancer. Je suis entré en contact avec Rick Simpson par courrier électronique à Ricksimpsoncannabishemoil@gmail.com<br /> Cordialement,<br /> Sarah Jobs
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J
Ma femme a souffert d'un cancer de la thyroïde qui a été confirmé à la quatrième étape, le médecin m'a dit qu'il ne pouvait pas faire grand-chose car elle ne répondait pas au traitement, mais un de mes amis est venu à notre rescousse. Simpson, qui a dit aider les patients à lutter contre le cancer de différents types, nous avons décidé de lui donner une chance, jusqu'à présent, ma femme s'améliore parfaitement et maintenant elle peut se promener toute seule dans la maison. J'ai senti qu'il était nécessaire que je laisse les autres qui souffrent de cette maladie aiguë qu'une fois que vous avez une bonne huile de cannabis, il peut vraiment donner une seconde chance de vie saine. par hasard, si vous avez besoin de cette huile de cannabis, vous pouvez contacter Rick Simpson qui a fourni à moi et ma femme cet email: Ricksimpsoncancercure11@outlook.com.<br /> <br /> Meilleures salutations,<br /> John Williams.
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K
Mon mari qui était très infecté par le cancer des poumons, il a même été donné des jours qu'il vivrait est maintenant en aussi bonne santé qu'un nouveau-né avec l'aide de Rick Simpson Hemp Oil.J'achète le médicament de l'huile de chanvre à partir de laquelle a été utilisé guérir mon cancer du poumon mari dans les 90 jours de traitement, a déclaré Rick Simpson. vous pouvez le contacter sur tous les défis médicaux de son email: Ricksimpsoncancercure11@outlook.com pour plus d'aide.Une fois de plus je veux les apprécier et leur huile de chanvre merveilleux qui a sauvé ma famille. Nous sommes maintenant une famille heureuse avec mon mari de retour en vie, fort et en bonne santé. vous pouvez les contacter sur tous les défis médicaux de son email: Ricksimpsoncancercure11@outlook.com pour plus d'aide.Ricksimpsoncancercure11@outlook.com.<br /> <br /> Meilleures salutations,<br /> Kim.
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