Essais cliniques du VACCIN anti A/H1N1 : 12.000 enfants américains concernés
Récemment un débat sur un conservateur du vaccin, le thiomersal, contenant de l'éthyl-mercure, faisaient craindre, à ses détracteurs, des effets indésirables sur les enfants. Et les essais cliniques intègreraient 12.000 enfants américains, selon les "détracteurs".

Les autorités américaines ont assuré que les essais sur le vaccin contre le virus A/H1N1 pourront être réalisés sur des enfants, en toute sécurité. Sanofi Aventis, AstraZeneca, GlaxoSmithKline, MedImmune et Novartis prendraient part à ces tests. 2 séries de tests avec le vaccin de Sanofi seraient prévues sur des enfants âgés de six mois à dix-sept ans selon l’institut national des allergies et maladies infectieuses, une vaccination en deux injections et une vaccination pendant ou après la période de vaccination habituelle contre la grippe classique.
Des craintes sur le conservateur du vaccin : Le Washington Post avait annoncé le 18 août que le vaccin anti A/H1N1, contient un dérivé de l'éthyl-mercure, une toxine qui provoquerait autisme et troubles neurologiques, ce qui inquiète les opposants à la vaccination.
Le thiomersal est utilisé comme agent de conservation de vaccins depuis longtemps. En 1977, une étude russe aurait constaté que des adultes exposés à l’éthylmercure, une forme du mercure présente dans le thimérosal, auraient subi des dommages au cerveau des années plus tard, explique le Washington Post. En 1999, on s’est également inquiété de l’exposition des nourrissons au thimérosal contenu dans les vaccins et d’effets neurologiques possibles. Depuis, de nombreuses études rigoureuses ont démontré que cette crainte n’est pas fondée ce que confirment les Centers of Disease control and prevention (CDC) aux Etats-Unis.
"Certains des vaccins seront stockés dans des flacons contenant du thimérosal, un additif anti-bactérien qui contient du mercure", rapporte ainsi le Washington Post.
L’opinion américaine s’inquiète sur la vaccination des enfants : Environ 12.000 enfants américains seront sujets des essais cliniques du nouveau vaccin. Les détracteurs de la vaccination soutiennent aussi que l’Industrie ne court aucun risque judiciaire dans le cadre du processus rapide adopté pour le développement et la fabrication du vaccin.
Pas de risque « zéro » selon l’OMS :
Des préoccupations sur la sécurité du vaccin ont été exprimées dans la presse, avait récemment rappelé Gregory Hartl, porte parole de l’OMS, avec l’objection principale que le développement du vaccin est si rapide qu'il peut en remettre en cause la sécurité. L’OMS tient à préciser que tous les vaccins « ont un profil d'innocuité ». « Il n'existe pas de vaccin qui présente un risque zéro » avait rappelé Gregory Hartl. « Tout vaccin peut provoquer des effets secondaires comme la fièvre ou parfois des nausées. Donc, il ne fait aucun doute qu’en cas de campagne de vaccination à grande échelle, il y aura des personnes sujettes aux effets indésirables ».
Spencer - forum Mecanopolis
Des craintes sur le conservateur du vaccin : Le Washington Post avait annoncé le 18 août que le vaccin anti A/H1N1, contient un dérivé de l'éthyl-mercure, une toxine qui provoquerait autisme et troubles neurologiques, ce qui inquiète les opposants à la vaccination.
Le thiomersal est utilisé comme agent de conservation de vaccins depuis longtemps. En 1977, une étude russe aurait constaté que des adultes exposés à l’éthylmercure, une forme du mercure présente dans le thimérosal, auraient subi des dommages au cerveau des années plus tard, explique le Washington Post. En 1999, on s’est également inquiété de l’exposition des nourrissons au thimérosal contenu dans les vaccins et d’effets neurologiques possibles. Depuis, de nombreuses études rigoureuses ont démontré que cette crainte n’est pas fondée ce que confirment les Centers of Disease control and prevention (CDC) aux Etats-Unis.
"Certains des vaccins seront stockés dans des flacons contenant du thimérosal, un additif anti-bactérien qui contient du mercure", rapporte ainsi le Washington Post.
L’opinion américaine s’inquiète sur la vaccination des enfants : Environ 12.000 enfants américains seront sujets des essais cliniques du nouveau vaccin. Les détracteurs de la vaccination soutiennent aussi que l’Industrie ne court aucun risque judiciaire dans le cadre du processus rapide adopté pour le développement et la fabrication du vaccin.
Pas de risque « zéro » selon l’OMS :
Des préoccupations sur la sécurité du vaccin ont été exprimées dans la presse, avait récemment rappelé Gregory Hartl, porte parole de l’OMS, avec l’objection principale que le développement du vaccin est si rapide qu'il peut en remettre en cause la sécurité. L’OMS tient à préciser que tous les vaccins « ont un profil d'innocuité ». « Il n'existe pas de vaccin qui présente un risque zéro » avait rappelé Gregory Hartl. « Tout vaccin peut provoquer des effets secondaires comme la fièvre ou parfois des nausées. Donc, il ne fait aucun doute qu’en cas de campagne de vaccination à grande échelle, il y aura des personnes sujettes aux effets indésirables ».
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