Grèce : dérive totalitaire de l'Union Européenne
Le Plan Economique Merkel Sarkozy
Ressemble Etrangement A Celui Des Nazis Dans Les Années 40
Sous couvert d’éviter à d’autres pays européens la crise financière actuellement traversée par la Grèce, Merkel et Sarkozy ont proposé de créer un gouvernement fédéral économique européen. Ce plan ressemble étrangement à celui des Nazis dans les années 40 pour consolider leur pouvoir fasciste.

Selon le quotidien allemand Der Spiegel online « alors que l’état des finances de la Grèce fait chuter l’euro, des appels sont plus fréquemment lancés pour coordonner la politique fiscale au sein de la zone euro. Maintenant, l’Allemagne et la France ont présenté un document décrivant ce que pourrait être ce type de régime ».
L’objectif c’est de s’orienter vers une économie planifiée centralisée, Bruxelles exerçant un contrôle total sur les affaires financières des états membres, ce qui ressemble de plus en plus à du fascisme économique.
Jean Claude Juncker, président du conseil européen, a reçu la nouvelle proposition des mains du ministre des finances allemand, Wolfgang Schäuble, et de la ministre des finances française, Christine Lagarde, a mis l’accent sur la nécessité d’un « gouvernement économique européen » pour résoudre la crise de la dette de la Grèce.
Selon ce document « l’idée de départ d’établir une politique économique européenne commune, telle que présentée par le président de la commission européenne, Jose Manuel Barroso début février, nécessite que les pays soient contraints d’instaurer des réformes structurelles sous peine de sanctions financières »
Ce plan pour un nouveau « gouvernement économique européen » a également reçu le soutien de l’ex ministre des affaires étrangères allemand membre des Verts, Joschka Fischer, un ami proche de Daniel Cohn Bendit d’Europe Ecologie.
Fischer demande instamment que « les gouvernements français et allemand établissent un organisme de supervision financière avec suffisamment de mordant pour contrôler les finances des états membres ».
Cela rappelle ce qui a largement été documenté concernant la création de l’ancêtre de l’UE, le Marché Commun, un rejeton de l’Allemagne Nazie qui voulait préserver le pouvoir fasciste au-delà de la défaite d’Hitler.
Un rapport des services de renseignements militaires des US, EW-Pa 128, également connu sous le nom de «The Red House Report « détaille la manière dont les hauts responsables du régime nazi se sont rencontrés secrètement à l’Hôtel de la Maison Rouge à Strasbourg le 10 Août 1944 et sachant que l’Allemagne était sur le point d’être vaincue militairement, ont conspiré pour créer le Quatrième Reich - un empire pan européen économique sur la base d’un marché commun européen. De riches industriels nazis tels Alfred Krupp de Krupp Industries et Friedrich Flick, de même que des sociétés telles BMW, Siemens et Volswagen, ont activement œuvré à la construction d’un empire économique pan européen.
Selon l’historien Michael Pinto-Duschinsky « pour un grand nombre de dirigeants proches du régime nazi, l’Europe est devenue une couverture pour poursuivre les intérêts nationaux allemands après la défaite d’Hitler… La continuité de l’économie de l’Allemagne et des économies de l’Europe post guerre est frappante. Certaines des personnalités dirigeantes de l’économie nazie sont devenues les principaux constructeurs de l’Union européenne ».
D’autre part, dans son livre intitulé « Europe Full’s Circle » son auteur Rodney Atkinson fournit une liste des politiques proposées par les Nazis et leur similitudes avec celles de l’Union européenne.
Un autre auteur, Adam Lebor, qui lui aussi a amplement documenté cette continuité entre l’Allemagne Nazie et l’Union européenne, écrit à propos de cette proposition Merkel Sarkozy :
« Ces trois pages dactylographiées nous rappellent que l’initiative prise pour créer un état fédéral européen est inexorablement liée aux plans des SS et des industriels allemands pour un IVème Reich - un empire économique plutôt que militaire ».
Ce que Merkel et Sarkozy proposent c’est un « nouveau plan d’unité économique » avec un contrôle financier centralisé à Bruxelles sur les économies des états membres et dirigé de là bas. En 1940, le ministre de la propagande d’Hitler, Joseph Gobbels a ordonné la création d’une «unification économique de l’Europe sur une large échelle »« dans 50 ans les peuples ne penseront plus en terme de pays ».
Ainsi donc, le plus loyal allié nazi d’Hitler appelait à l’époque à « l’unification économique de l’Europe » et maintenant les Merkel Sarkozy Fischer et consorts appellent eux aussi de tous leurs vœux à cette unification économique européenne ce qui implique de facto que les états membres renoncent à diriger leurs propres économies, le coup de grâce après leur renoncement à battre monnaie avec la création de la zone euro, et le dictat imposé par la Banque européenne aux économies nationales.
Le fait que l’UE, sous l’impulsion de Merkel et Sarkozy, cherchent actuellement à confier à ses dirigeants non élus démocratiquement le pouvoir de contrôler directement les économies nationales est un signe d’une dérive totalitaire de l’UE. Si on ajoute à cela le fait que ces mêmes buts ont été par le passé poursuivis par l’un des régimes notoirement reconnu comme criminel et barbare, alors les citoyens des pays des états membres devraient se réveiller et manifester leur opposition à une telle dissolution des états nations dans une dictature européenne qui règlementera de plus en plus leurs vies au quotidien sans qu’ils ne puissent rien faire contre.
La première chose à faire c’est sur le plan national de chasser celui qui sous couvert de vouloir «défendre l’identité nationale » attaque l’état nation en utilisant le pouvoir qui lui a été confié. C’est ce que l’on appelle de la haute trahison. Un président en exercice peut être déchu pour cette raison.
Source : Planète non violence
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