H1N1 : Explosif ! Un scandale dans le scandale !
Un « vaccin » antigrippe A, réservé aux seules autorités, crée un tollé
EN ALLEMAGNE : La population recevrait un vaccin différent de celui prévu pour les dirigeants, le personnel de l’Etat et l’armée.
Une question d’adjuvants. La polémique secoue tout le pays.
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© EPA | Le vaccin produit par la firme GlaxosSmithKline contient des adjuvants, contrairement à celui envisagé pour les autorités et l’armée.
MICHEL VERRIER / BERLIN | 20.10.2009 | 00:01
Face au virus de la grippe A, il y aurait un vaccin pour le peuple et un autre pour ceux qui le gouvernent.
L’information s’est répandue comme une traînée de poudre dimanche et hier en Allemagne.
Le Pandemrix, le vaccin fabriqué à Dresde par la firme GlaxosSmithKline (GSK), est destiné aux citoyens ordinaires.
Il a été commandé à 50 millions d’exemplaires.
Mais, pour les responsables politiques, les employés de l’Etat et les soldats, le Ministère de l’intérieur a commandé 200.000 doses de Celvapan fabriquées par le groupe Baxter.
La différence ? La présence d’adjuvants : le Pandemrix en contient en effet, à l’inverse du Celvapan.
Or les effets de ces substances sont mal maîtrisés.
L’adjuvant est supposé renforcer l’efficacité du vaccin, permettant de réduire ainsi la présence des extraits de virus morts dans le médicament pour faire réagir l’organisme.
Vaccin de la chancelière
Mais les adjuvants peuvent produire des effets secondaires.
Pis même, selon le Dr Wolfgang Becker-Brüser, responsable de la revue médicale de référence Arznei-Telegram :
« Leurs effets n’ont pas été vérifiés pour les enfants de moins de 10 ans et les femmes enceintes. ».
Nombre de médecins étaient déjà très réticents à l’égard d’une campagne de vaccination, « dont l’utilité reste à prouver ».
Face à l’avalanche de critiques, le ministre de l’Intérieur, Wolfgang Schäuble, assurait hier que l’accusation de « médecine à deux vitesses » n’avait aucun sens.
Angela Merkel s’en remettrait, elle, à son médecin, qui devrait lui délivrer un vaccin commun, et non le « vaccin de la chancelière », comme certains mauvais esprits ont déjà baptisé le Celvapan.
En fait, cela ne fait que recouper et confirmer nos informations et craintes.
Pour la France, les premiers vaccinés sont, ce même jour, les gendarmes (obligation), et le personnel médical (très fortes pressions).
Mais, au moins pour les gendarmes, ils auront un traitement de faveur (probable le corps médical aussi) :
Un lot "spécial" (comprenez inoffensif)*, pour faire croire à l’innocuité, et pousser les gendarmes à faire du zèle contre les "récalcitrants"...
...et ne pas risquer de rendre malades ceux qui vont assurer la vaccination de masse et la contrôler militairement !!!
Et dans 2 semaines, voyant que "tout va bien" : vaccination pour TOUS, mais là, avec le vrai vaccin-poison, of course !
En 1995, en pleine campagne de vaccination hystérique "contre" l’hépatite B, les gendarmes avaient interdiction de se faire vacciner !
Un tel retournement de situation nous était apparu étonnant. L'explication est là.
Et nos chers politiciens qui nous invitent si aimablement (ils n'insistent pas... non...), à aller nous faire inoculer, n'auront même pas les "tripes" pour subir le même traitement.
En réalité, pour eux, politiciens, le lot "réservé", sera un placebo "totalement bidon" et donc sans risques.
On comprend mieux le classement "secret défense" de ces transactions avec les laboratoires, et la main mise du ministère de l'intérieur, ainsi que de l'armée, sur la gestion et la garde des stocks de vaccins, de seringues et d'aiguilles...
Toute cette opération n'a rien à voir avec la santé publique, faut-il le rappeler ?
*Mais sera-t-il sans puce RFID ?
1) Le Dr RIMA LAIBOW M.D. et son époux ALBERT STUBBLEBINE, ancien Général-Major, Commandant en chef des Services de Renseignements et de la Sécurité de l'Armée Américaine ont, ensemble fondé la "NATURAL SOLUTIONS FOUNDATION", association sans but lucratif destinée à promouvoir et à protéger la santé, ainsi que la liberté thérapeutique.
Dans cette vidéo, ils donnent leur opinion de chercheurs sur la vaccination contre la "grippe porcine".
Grippe A H1N1 Vers la vaccination forcée* :
*Valable pour les USA, car pour le moment, notre grande mobilisation a fait reculer les autorités... pour mieux sauter ? Et possiblement aussi, d'autres virus avec d'autres vaccinations sont à venir... 2) Avec ou sans squalène ? 3) Le "SPIEGEL" sonne le glas de la campagne massive de vaccinations en Allemagne Le magazine allemand "Spiegel" a publié aujourd'hui un rapport accablant sur les dangers des vaccins contre la "grippe porcine" et spécialement ses adjuvants, tout en prédisant que la campagne de vaccinations de masse de 600 millions d'euros contre la "grippe porcine"allait s'effondrer au fur et à mesure que monte l'opposition des médecins, des experts en pharmacologie et des politiciens. http://www.spiegel.de/spiegel/ http://translate.google.fr/ « Le risque de préjudice l'emporte sur les avantages », dit le professeur Gottingen. Wolfram Hartmann, Président de la Fédération des médecins de l'enfant et l'adolescent, accuse le gouvernement de "désinformation scientifique". Comme chez les femmes enceintes et c'est aussi vrai pour les enfants de moins de trois ans : « Le vaccin n'est pas testé sur eux en tout, si le risque est tout simplement trop grand pour l'utiliser maintenant, sans hésitation. ». Ludwig (président de la Commission des stupéfiants, de la profession médicale allemande, il est une autorité dans l’évaluation des médicaments) : « Nous sommes mécontents de cette campagne de vaccination ». Elle soulève de nombreux problèmes, et son utilité est incertaine : « Les autorités sanitaires ont été prises dans une campagne menée par les compagnies pharmaceutiques qui voulaient une prétendue menace, simplement de faire de l'argent. ». 4) Le journaliste de "La Repubblica" (samedi 17 octobre 2009), demande au Pr. Luc Montagnier s’il à l’intention de se faire vacciner, le Prix Nobel répond : « Je n’ai aucune raison de le faire ». 5) Un médecin suédois perd sa place : « Corruption aux plus hauts niveaux de l’OMS ! ». La célèbre doctoresse suédoise, Annika Dahlgvist vient de perdre son poste la semaine dernière suite à ses déclarations sur la campagne massive de vaccinations en Suède. Elle a déclaré qu’elle ne se ferait pas vacciner et qu’il existait de meilleurs moyens de se protéger du virus de l’influenza. Elle a aussi précisé qu’elle n’était personnellement pas très intéressée par les mammographies et les tests cellulaires. Mais il est clair que ce fut sa position contre la vaccination de masse qui lui a fait perdre son emploi. Dans un article publié par Newsmill, « La vérité c’est que le vaccin contre la grippe contient de dangereuses quantités de mercure », elle écrit : « Comme le vaccin contient des substances potentiellement dangereuses sous forme de mercure ou de squalène, je pense que c’est sur base volontaire qu’il devrait être proposé. Aucune propagande qui évoquerait le principe de solidarité avec la population pour inciter à la vaccination, ne devrait exister. On ne peut raisonnablement interdire d’avoir une opinion sur les vaccinations de masse. Nombreux sont ceux qui ont des avis négatifs par rapport aux vaccinations de masse. ». Dans un article du journal « Expressen », l’un des quatre plus grands journaux suédois, elle déclare : « Il serait bien possible que les dégâts (produits par le vaccin) soient pires que la maladie elle-même… je soupçonne que l’Agence des Produits Médicaux (Läkemedelsverket) soit influencée par les fabricants de vaccins. Il y a ici d’énormes intérêts financiers en jeu. ». Elle poursuit : « Je ne veux pas de ces poisons dans mon corps… Déclarer qu’il existe une pandémie alors qu’aucune pandémie n’existe est complètement absurde. Il se pourrait bien qu’il y ait corruption aux plus hauts niveaux de l’OMS (L’Organisation Mondiale de la Santé). ». Original article Johan Niklasson
6) « Tout ce qui se trouve dans les vaccins est toxique et dangereux et ne devrait jamais être injecté à quelque être vivant que ce soit ». Dr Viera SCHEIBNER , PhD ,lettre du 20/10/2009 à R.H. Le Dr Scheibner a témoigné au procès de G.Lanctôt au Canada en tant qu'expert (vaccinations).
7) 75% de la population ne veut pas du vaccin contre la grippe porcine
8) Lettre d'un père envoyée au doyen de la faculté de médecine d'Angers ou sa fille est étudiante : Monsieur, Madame. Ma fille, est en troisième année de médecine. Merci de m'indiquer de quel droit (loi, décret...), ses professeurs encouragent les élèves à se vacciner contre la grippe H1N1, en les informant que c'est obligatoire ? Car sauf erreur de ma part, cette vaccination n'est obligatoire que pour la gendarmerie. Les professeurs ayant un pouvoir d'influence supérieur à celui des parents, je n'ai pu la convaincre de ne pas se faire vacciner, d'autant qu'elle est majeure. Mais même en étant majeur, elle peut être sous influence... Je vous prie de bien vouloir faire le nécessaire afin de mettre à jour l'information sur ce vaccin, notamment son caractère non obligatoire et inutile pour des personnes en bonne santé. Nous ne faisons pas des enfants pour qu'ils servent d'égout d'évacuation du trop plein de vaccins achetés par l'Etat (après la chair à canon, voici la chair à vaccins !). Afin de ne pas ajouter de pression sur les épaules de ma fille, merci de ne pas citer mon nom lors de vos interventions à ce sujet : je suis "un parent". Xavier 9) Marc Menant, journaliste à Europe 1 (témoignage de Jean-Jacques Crèvecoeur) : Tant que je publiais des livres sur les relations, le couple, l’éducation des enfants, la gestion des émotions, le management, j’étais la coqueluche des journalistes de la presse écrite, radiophonique et télévisuelle. Ils se battaient pour obtenir des entrevues avec moi. Ils appelaient eux-mêmes mon éditeur pour savoir si j’avais sorti un nouveau livre, pour pouvoir m’interviewer. Le jour où j’ai commencé à publier des livres sur la santé (Le langage de la guérison – Prenez soin de vous, n’attendez pas que les autres le fassent – éditions Jouvence), livres qui remettaient en cause les vaccins et la cancérologie classique, plus aucune invitation ne me fut adressée. Sauf de la part de Marc Menant (Europe 1) et de Roselyne Fayard (Radio Suisse Romande). Lorsque Marc Menant m’a invité pour parler de mon livre, avant l’émission en direct, il m’a demandé de ne pas dire un mot sur les vaccins, pas un mot sur le docteur Hamer, pas un mot critiquant la médecine moderne ou la cancérologie. Lorsque, de manière provocatrice, je lui ai répondu : « Nous sommes en direct, que se passera-t-il si je le fais quand même ? » Il m’a répondu : « Demain matin, je perds mon emploi. Tout simplement. ». Par respect pour lui, j’ai accepté de ne pas parler. Car son but était de promouvoir mon livre pour que les auditeurs reçoivent, malgré la censure, toutes les informations en le lisant. Mais c’est ce jour-là que j’ai eu la preuve que la presse indépendante n’existait pas… 10) Ce soir, sur ARTE, un document qui vient d'Allemagne, il faut s'attendre à tout, et si c'était français, nous ne vous en parlerions même pas... http://www.arte.tv/fr/ 20.10.2009, 20h45 "Grippe A, un virus fait débat" Espérons que les allemands seront plus honnêtes que les médias français, ça ne devrait pas être très difficile. Quand on pense qu'il faut voir la première chaîne russe pour voir en première partie de soirée, un document honnête d=sur le "11 septembre"...
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