L'effet de serre est une escroquerie
Le pavillon écologique des pirates financiers dans la lunette d’un météorologue allemand
Un catéchisme clair pour dissiper les erreurs écologistes.
Un camarade de lycée, érudit prolixe et compétent, M. Alfred Fierro, me fit jadis connaître l’opinion insolite du professeur à Princeton et Harvard, ambassadeur des États-Unis en Inde, pionnier, dit-on, de l’économie du développement depuis 1951, le défunt John Galbraith…
Ce conseiller du président assassiné J.F. Kennedy, après avoir été celui de F. D. Roosevelt, disait de l’aventure écologique qu’elle serait un puissant dérivatif permettant de préserver pour toujours le caractère occulte du seul danger véritable menaçant la planète entière, à savoir le système financier démentiel des États-Unis d’Amérique du Nord.
Au début des années septante, cette opinion originale avait frappé mon camarade et voici qu’aujourd’hui, ce qui, il y a quarante ans, pouvait passer pour un paradoxe, s’impose à présent comme une vérité d’évidence…notamment pour quelques savants parmi les plus réputés tel le géophysicien japonais Ichi-Akasofu, une gloire de l’archipel nippon qui fonda et dirigea l’Institut de Géophysique d’Alaska et, à ce titre, est sans doute l’un des meilleurs connaisseurs des milieux arctiques.

La suite chez Ferlinpimpim : Changement Climatique