LE MAUVAIS SIECLE (l'heure est peut-être venue de commencer à VIVRE !)
Un grand merci à Aure pour l'info
Le vingtième siècle commence au dix-neuvième.
Ce n'est pas tout à fait le siècle auquel on nous a fait croire.
Je concentrerai le faisceau de ma lunette sur quelques individus. Ce sont pour la plupart de grands héros, décorés, célébrés, membres de familles dynastiques. Ce sont les bergers bienveillants qui guident avec tendresse l’humanité vers son égorgement industriel. Les canevas, patrons et méthodes devisés au tout début de l’histoire de la colonisation ont été reconduits.
Une part importante des fortunes vertigineuses qui ont bâti la côte Est des É-U ont été constituées par des actes de piraterie. La flibuste amenait à ceux pour qui la fortune avait souri des sommes colossales accumulées rapidement. La plupart des grandes familles de pirates ont réinvesti leurs gains dans les plantations de coton et de tabac du Sud. Dès lors se dessine donc une technique, un modus operandi de l’ascencion matérielle, qui fera école dans les décennies subséquentes. If it ain't broken don't fix it.
Je vous convie, lecteurs, lecteuses, et tout, à une sorte d'expérience. Il faudra en chemin se départir d'un lourd manteau, cousu d'idées reçues, de diktats, de dogmes, de tampons. Certains n'y parviendront pas. Faudra étrangler ses petits, parfois. Faudra rompre avec des images de carton pâte sur lesquelles on a construit de grands pans de nos domaines de certitude. Certains feront un bout de chemin mais seront incapables d'aller jusqu'au bout. Je ne suis pas certain, au moment d'écrire ces lignes, d'avoir la force, la patience et l'endurance de m'y rendre moi-même. À certains moment, je crois bien tomber, exsangue. Ce sont de rares humains qui me permettent de renouveler constamment ce travail d'amour. Et je retourne grâce à eux, pour eux, et avec leur descendance en tête, pétrir, nourrir, arroser.
Enfin, pour l'instant, une lumière m'anime, une sorte d'espoir, de joie très profonde, que j'espère réussir à communiquer éventuellement. Il s'agit de la réalisation, au fur et à mesure de mes expéditions dans les charniers les plus nauséabonds de l'Histoire moderne, et là je vais en étonner... Il s'agit de la puissante certitude de la beauté et de la grandeur toute simple et candide de la race humaine. Chaque fois que je crois explorer une des manifestations de la profonde méchanceté de l'Homme, de sa perfidie, de sa cruauté, de sa soi-disant ignominie ou de cette fameuse et prétendue barbarie, je trouve en lieu et place le produit désolant du travail très pointu d'un tout petit groupe d'individus.
Nous avons grandi dans la poigne implacable d'un système de valeurs et d'éducation dont une des principales fonctions était de perpétuer cette supercherie fondamentale : laissée libre, l'humanité retourne à la sauvagerie.
Nous portons tous le poids d'une sorte de culpabilité magique, celle de la bestialité, de l'abominable nuit des temps, celle de la nature. En associant la Shoah à la barbarie, et en tatouant ce concept de dix-mille façons dans notre langage, dans notre pensée, jusque dans nos désirs inconscients (masochistes, sadiques, tintouin), la VILLE s'est lavée les mains de ses crimes. La Cité, l'Empire, la Civilisation, ont été amenées à leur degré suprême de perfection technique au cours de ce Mauvais Siècle. Et cette évolution a entraîné pour l'être humain une croissante aliénation, un malheur inédit, une souffrance inouie, et le grand, l'immense mensonge avec le joug duquel l'Homme doit aujourd'hui composer est celui-là : Toute personne convaincue de trahison idéologique en admettant son incapacité à vivre dans l'organisme sera taxé de mésadaptation, un terme emprunté à la pseudo-science de ces charlatans meurtriers d'eugénistes. Toute personne réclamant sa place légitime sous le soleil sera rompue. Pleurer est déjà un crime, du moins pleurer le monde, pleurer comme la rivière coule, comme la vie !... On nous convaincra en échange de pleurnicher, de mouchotter, de braillotter des océans de sentimentalisme mièvre, désâmé, dépiauté, séché de sa vie. « Des crimes contre le sentiment », a dit Thiran un jour et j'ai bien failli l'embrasser.
La ville n'est pas vivante, ô mes soeurs et mes frères. La ville est inanimée. Sa sève, sa perfusion, c'est notre labeur, notre servitude. La ville n'a qu'une seule fonction, ultimement, d'asservir la vie. Voilà le combat qui s'est présenté à nous au cours des vingt derniers siècles. La colonisation du dix-neuvième a été perpétrée avec une presque désarmante franchise, sous le signe de limpides rapports de force, calqués sur les luttes territoriales des fauves et des primates. Ça n'est plus possible, aujourd'hui. La nature de la contrainte n'a pas changé, ni son application, seule la morale a changé. Et pour accomoder la morale, puisqu'il est hors de question de stopper la machine infernale, il faut des charades. Il faut, il a fallu et il faudra mentir. C'est de ces charades que je vous entretiendrai. Évidemment, la plus insupportable révélation de ma recherche est peut-être l'exposition hors de tout doute raisonnable du rôle prépondérant de Wall Street dans l'avènement quasi simultané du Troisième Reich et de l'URSS. Je ne suis ni historien, ni archiviste. Je n'ai découvert aucun document secret. Je ne parle pas de conspiration, de complot, ni de cabale. Les informations sur lesquelles je base ma réflexion sont factuelles, solides, et pour l'écrasante majorité incontestées.
Comment est-il possible qu'on ne sache pas ? Savions-nous que la Gaule regorgeait d'or ? Que c'est pour cette raison que Jules César a voulu l'éclairer du flambeau de la civilisation ? Savions-nous qu'Alaric n'a pas saccagé Rome, contrairement aux prétentions des historiens... romains ? Ne savons-nous pas que les barbares n'ont pas écrit l'histoire ? Il n'y a pas de tabarnak de destin manifeste. Il n'y a rien d'inéluctable.
Il n'y a surtout ni péché originel, ni héritage honteux, ni monstre à dominer. Évidemment, la colère est présente ! Toujours maintenue en place ! À la limite ! Nos bergers surfent constamment sur la crète de notre haut-le-coeur. Ils jaugent parfois mal l'affaire et sont même, de temps en temps, temporairement frustrés des nectars qu'il considèrent leur droit de naissance. Seulement, nous, la race humaine, sommes ici sur Terre pour y vivre. Et je crois que l'heure est peut-être venue de commencer.
La charade a assez duré. Il ne reste plus que des métaphores de vie, des rituels rappelant l'amour, des pastiches de rassasiement, des parodies de respiration, un théâtre du plaisir... Il n'y a plus que le spectacle du spectacle ! Rallumons les lumières !... Levons-nous... Oui, nous sommes grands, nous sommes immenses, nous sommes faits pour la jouissance ! Pour le rire ! Pour danser ! Chanter ! Nous sommes les héritiers d'un monde parfait, d'un palais idéal.
Retirons-nous de la filouterie, de l'arnaque, et surtout, de la machine meurtrière, que nous nourrissons tous de notre sang.
Je le dis sans aucune violence, sans la moindre animosité, à l'aube du grand choix, nous voici !
Quand la ville est rendue au point de vouloir planter dans la terre des graines incapables d'engendrer, il est temps de la laisser aller. Temps, grand temps de la démonter, de lui retirer ses cathéters, de couper les canules, d'arracher les sondes... Il est temps de la laisser doucement parachever son agonie. Il est inutile — comme l'ont illustré à merveille Bakounine et ses amants des lumières — de faire sauter quoi que ce soit, de faire du bruit, de casser des objets ou de tenter de désorganiser ce qui de toute façon est un organisme ne tenant plus que par ses tumeurs.
Il est venu le temps de se sauver avec les trésors, amis, citoyens, frères et soeurs. Les trésors sont connus de ceux d'entre nous qui sont prêts à faire le prochain saut, mais ce qui est fantastique est que la Cité n'en a cure. L'Empire méprise les seuls trésors qui valent d'être emportés et c'est pourquoi on nous laissera quitter sans la moindre opposition. Les arts, évidemment, je parle des arts, les jouissances, le vin ! Le pain ! Le fromage ! La ville ne se souvient même plus du goût que ça avait jadis. On nous distribue des produits. Nous jouons le jeu grotesque. La bouteille est vide ? Pleine de boue ? C'est le rituel qui compte. La ville est sourde. Elle martèle inutilement ses tambours militaires, tonitruants, et depuis vingt ans, ses imitations synthétiques de tambours militaires. L'Empire n'a plus que cette voix, celle de l'ordinaire, de l'ordonnance, de l'ordre... L'empire parle à l'impératif ! La ville rêve de créer l'ordre là où elle ne voit que chaos. Nous passerons indétectés sous ses fils barbelés. Elle restera seule, là-bas, tentant encore d'ordonner le chaos. De se faire passer pour l'Ordinatrice.
Sans un choc, nous aurons simplement coupé sa source. Lentement elle retournera aux ronces. Et pierre par pierre, caillou par caillou, fente par fente, les murs tomberont assoupis. Tout ce béton redeviendra du sable et le désert vertical s'étendra, s'évanouira, bien allongé, pour son grand repos. Emportons les guitares. Les livres. la peinture. Emportons nos chevelures. Nos orteils. Nos prunelles. Emportons le savoir. Emportons nos découvertes. Emportons le minimum. Emportons ce que nous pouvons porter. Emportons, surtout, les enfants.
Inutile d'emmener leurs jouets, la Terre les attend.
&.
La suite :
Source : Le Crachoir ICI
Ce n'est pas tout à fait le siècle auquel on nous a fait croire.
Je concentrerai le faisceau de ma lunette sur quelques individus. Ce sont pour la plupart de grands héros, décorés, célébrés, membres de familles dynastiques. Ce sont les bergers bienveillants qui guident avec tendresse l’humanité vers son égorgement industriel. Les canevas, patrons et méthodes devisés au tout début de l’histoire de la colonisation ont été reconduits.
Une part importante des fortunes vertigineuses qui ont bâti la côte Est des É-U ont été constituées par des actes de piraterie. La flibuste amenait à ceux pour qui la fortune avait souri des sommes colossales accumulées rapidement. La plupart des grandes familles de pirates ont réinvesti leurs gains dans les plantations de coton et de tabac du Sud. Dès lors se dessine donc une technique, un modus operandi de l’ascencion matérielle, qui fera école dans les décennies subséquentes. If it ain't broken don't fix it.
Je vous convie, lecteurs, lecteuses, et tout, à une sorte d'expérience. Il faudra en chemin se départir d'un lourd manteau, cousu d'idées reçues, de diktats, de dogmes, de tampons. Certains n'y parviendront pas. Faudra étrangler ses petits, parfois. Faudra rompre avec des images de carton pâte sur lesquelles on a construit de grands pans de nos domaines de certitude. Certains feront un bout de chemin mais seront incapables d'aller jusqu'au bout. Je ne suis pas certain, au moment d'écrire ces lignes, d'avoir la force, la patience et l'endurance de m'y rendre moi-même. À certains moment, je crois bien tomber, exsangue. Ce sont de rares humains qui me permettent de renouveler constamment ce travail d'amour. Et je retourne grâce à eux, pour eux, et avec leur descendance en tête, pétrir, nourrir, arroser.
Enfin, pour l'instant, une lumière m'anime, une sorte d'espoir, de joie très profonde, que j'espère réussir à communiquer éventuellement. Il s'agit de la réalisation, au fur et à mesure de mes expéditions dans les charniers les plus nauséabonds de l'Histoire moderne, et là je vais en étonner... Il s'agit de la puissante certitude de la beauté et de la grandeur toute simple et candide de la race humaine. Chaque fois que je crois explorer une des manifestations de la profonde méchanceté de l'Homme, de sa perfidie, de sa cruauté, de sa soi-disant ignominie ou de cette fameuse et prétendue barbarie, je trouve en lieu et place le produit désolant du travail très pointu d'un tout petit groupe d'individus.
Nous avons grandi dans la poigne implacable d'un système de valeurs et d'éducation dont une des principales fonctions était de perpétuer cette supercherie fondamentale : laissée libre, l'humanité retourne à la sauvagerie.
Nous portons tous le poids d'une sorte de culpabilité magique, celle de la bestialité, de l'abominable nuit des temps, celle de la nature. En associant la Shoah à la barbarie, et en tatouant ce concept de dix-mille façons dans notre langage, dans notre pensée, jusque dans nos désirs inconscients (masochistes, sadiques, tintouin), la VILLE s'est lavée les mains de ses crimes. La Cité, l'Empire, la Civilisation, ont été amenées à leur degré suprême de perfection technique au cours de ce Mauvais Siècle. Et cette évolution a entraîné pour l'être humain une croissante aliénation, un malheur inédit, une souffrance inouie, et le grand, l'immense mensonge avec le joug duquel l'Homme doit aujourd'hui composer est celui-là : Toute personne convaincue de trahison idéologique en admettant son incapacité à vivre dans l'organisme sera taxé de mésadaptation, un terme emprunté à la pseudo-science de ces charlatans meurtriers d'eugénistes. Toute personne réclamant sa place légitime sous le soleil sera rompue. Pleurer est déjà un crime, du moins pleurer le monde, pleurer comme la rivière coule, comme la vie !... On nous convaincra en échange de pleurnicher, de mouchotter, de braillotter des océans de sentimentalisme mièvre, désâmé, dépiauté, séché de sa vie. « Des crimes contre le sentiment », a dit Thiran un jour et j'ai bien failli l'embrasser.
La ville n'est pas vivante, ô mes soeurs et mes frères. La ville est inanimée. Sa sève, sa perfusion, c'est notre labeur, notre servitude. La ville n'a qu'une seule fonction, ultimement, d'asservir la vie. Voilà le combat qui s'est présenté à nous au cours des vingt derniers siècles. La colonisation du dix-neuvième a été perpétrée avec une presque désarmante franchise, sous le signe de limpides rapports de force, calqués sur les luttes territoriales des fauves et des primates. Ça n'est plus possible, aujourd'hui. La nature de la contrainte n'a pas changé, ni son application, seule la morale a changé. Et pour accomoder la morale, puisqu'il est hors de question de stopper la machine infernale, il faut des charades. Il faut, il a fallu et il faudra mentir. C'est de ces charades que je vous entretiendrai. Évidemment, la plus insupportable révélation de ma recherche est peut-être l'exposition hors de tout doute raisonnable du rôle prépondérant de Wall Street dans l'avènement quasi simultané du Troisième Reich et de l'URSS. Je ne suis ni historien, ni archiviste. Je n'ai découvert aucun document secret. Je ne parle pas de conspiration, de complot, ni de cabale. Les informations sur lesquelles je base ma réflexion sont factuelles, solides, et pour l'écrasante majorité incontestées.
Comment est-il possible qu'on ne sache pas ? Savions-nous que la Gaule regorgeait d'or ? Que c'est pour cette raison que Jules César a voulu l'éclairer du flambeau de la civilisation ? Savions-nous qu'Alaric n'a pas saccagé Rome, contrairement aux prétentions des historiens... romains ? Ne savons-nous pas que les barbares n'ont pas écrit l'histoire ? Il n'y a pas de tabarnak de destin manifeste. Il n'y a rien d'inéluctable.
Il n'y a surtout ni péché originel, ni héritage honteux, ni monstre à dominer. Évidemment, la colère est présente ! Toujours maintenue en place ! À la limite ! Nos bergers surfent constamment sur la crète de notre haut-le-coeur. Ils jaugent parfois mal l'affaire et sont même, de temps en temps, temporairement frustrés des nectars qu'il considèrent leur droit de naissance. Seulement, nous, la race humaine, sommes ici sur Terre pour y vivre. Et je crois que l'heure est peut-être venue de commencer.
La charade a assez duré. Il ne reste plus que des métaphores de vie, des rituels rappelant l'amour, des pastiches de rassasiement, des parodies de respiration, un théâtre du plaisir... Il n'y a plus que le spectacle du spectacle ! Rallumons les lumières !... Levons-nous... Oui, nous sommes grands, nous sommes immenses, nous sommes faits pour la jouissance ! Pour le rire ! Pour danser ! Chanter ! Nous sommes les héritiers d'un monde parfait, d'un palais idéal.
Retirons-nous de la filouterie, de l'arnaque, et surtout, de la machine meurtrière, que nous nourrissons tous de notre sang.
Je le dis sans aucune violence, sans la moindre animosité, à l'aube du grand choix, nous voici !
Quand la ville est rendue au point de vouloir planter dans la terre des graines incapables d'engendrer, il est temps de la laisser aller. Temps, grand temps de la démonter, de lui retirer ses cathéters, de couper les canules, d'arracher les sondes... Il est temps de la laisser doucement parachever son agonie. Il est inutile — comme l'ont illustré à merveille Bakounine et ses amants des lumières — de faire sauter quoi que ce soit, de faire du bruit, de casser des objets ou de tenter de désorganiser ce qui de toute façon est un organisme ne tenant plus que par ses tumeurs.
Il est venu le temps de se sauver avec les trésors, amis, citoyens, frères et soeurs. Les trésors sont connus de ceux d'entre nous qui sont prêts à faire le prochain saut, mais ce qui est fantastique est que la Cité n'en a cure. L'Empire méprise les seuls trésors qui valent d'être emportés et c'est pourquoi on nous laissera quitter sans la moindre opposition. Les arts, évidemment, je parle des arts, les jouissances, le vin ! Le pain ! Le fromage ! La ville ne se souvient même plus du goût que ça avait jadis. On nous distribue des produits. Nous jouons le jeu grotesque. La bouteille est vide ? Pleine de boue ? C'est le rituel qui compte. La ville est sourde. Elle martèle inutilement ses tambours militaires, tonitruants, et depuis vingt ans, ses imitations synthétiques de tambours militaires. L'Empire n'a plus que cette voix, celle de l'ordinaire, de l'ordonnance, de l'ordre... L'empire parle à l'impératif ! La ville rêve de créer l'ordre là où elle ne voit que chaos. Nous passerons indétectés sous ses fils barbelés. Elle restera seule, là-bas, tentant encore d'ordonner le chaos. De se faire passer pour l'Ordinatrice.
Sans un choc, nous aurons simplement coupé sa source. Lentement elle retournera aux ronces. Et pierre par pierre, caillou par caillou, fente par fente, les murs tomberont assoupis. Tout ce béton redeviendra du sable et le désert vertical s'étendra, s'évanouira, bien allongé, pour son grand repos. Emportons les guitares. Les livres. la peinture. Emportons nos chevelures. Nos orteils. Nos prunelles. Emportons le savoir. Emportons nos découvertes. Emportons le minimum. Emportons ce que nous pouvons porter. Emportons, surtout, les enfants.
Inutile d'emmener leurs jouets, la Terre les attend.
&.
La suite :
Le Mauvais Siècle
- Introduction
- Chapitre 1 ; William Walker
- Chapitre 2 ; Samuel Walker
- Chapitre 3 ; Colt
- Chapitre 4 ; Rockefeller
- Chapitre 5 ; Morgan
- Chapitre 6 ; Warburg
- Chapitre 7 ; Vanderbilt
- Chapitre 8 ; Henry Ford
- Chapitre 9 ; Edward Bernays
- Chapitre 10 ; Winston Churchill
- Chapitre 11 ; Armand Hammer
- Chapitre 12 ; Staline -I-
- Chapitre 12 ; Staline -II-
- Chapitre 12 ; Staline -III-
- - - - - - - - - - -
- • Annexe 1 ; Les Tampons
- • Annexe 2 : Petit manuel du filoutage
- • Annexe 3 ; Le Fluorure
- • Annexe 4 ; Pour en finir un bonne fois pour tout avec Noël
- • Annexe 5 ; L'Afghanistan pour les nuls
- • Annexe 6 ; Cinq événements à effacer de l'Histoire
- • Annexe 7 ; Le Nicaragua pour les nuls
- • Annexe 8 ; Premier Septembre 1939 - v.2
- • Annexe 11 ; 11
Source : Le Crachoir ICI