Les mafieux de la ripoublique

Publié le par sceptix

Eric Woerth devant la cour de justice de la République?
Si le Ministre du Travail risque d'être renvoyé devant la CJR, il est d'autres personnalités au fait de l'état qui pourraient subir le même sort.
Aussi il n'y a pas deux poids deux mesures, à l'instar d'Eric Woerth, un courrier de Mr jean Galli-Douani adressé au Procureur Général de la République de Paris met en cause directement un membre du cabinet de MAM ainsi qu'un proche du Président de la République.
Ce courrier est accompagné d'une plainte pour faux et usage de faux en écriture publique , détournements de fonds publics et trafic d'influence.
Il s'agit d'actes commis au Ministère de l'Intérieur dans le cadre des marchés de déplacement des fonctionnaires et des expulsions des étrangers en situation irrégulière.
Il est aussi question de la remise de la légion d'honneur à une personnalité étrangère par Mr David Levitte, conseiller du Président, en 2007.

 

 

 

en 1993 BALLADUR est à MATIGNON, pasqua à l'INTERIEUR , SARKOZY au BUDGET
Publiée le 03/06/10
Les caisses noires se mettent en place.

 

 

 

 

 

 

En 1993, la société Sud Accueil, présidée par Galli Douani, remporte le premier appel d’offres lancé par le ministère de l’Intérieur (MIAT) pour l’hébergement des policiers en formation. En avril, la gauche perd les élections législatives. Édouard Balladur devient premier ministre, Charles Pasqua investit le ministère de l’Intérieur et Nicolas Sarkozy celui du Budget. La donne change... Jean Galli-Douani, qui était sur le point d’élargir son système à l’ensemble des fonctionnaires de l’Intérieur doit désormais traiter avec l’UGAP qui lui demande de reverser des commissions occultes...

+ d'infos:

Le Quotidien des Sans-Papiers (www.sanspapiers.info)

Medialternative.org (www.medialternative.org)

 

 

Publiée le 08/01/09

 Capturée le 08/07/08

 

Pour en savoir plus, Lire :

La fabrication du Président Sarkozy

 

 

 

Jevakhoff ou comment les médias et la justice tombent en amnésie !

 

 

Découvrez l’homme mystère, celui que les médias ne citent pas, celui que la justice n’inquiète pas, celui dont les politiques semblent même avoir oublié le patronyme.

• Commissaire de la République à la Sofremi  – Société française d’exportation de matériels, systèmes et services relevant du ministère de l’Intérieur – (qui valut des condamnations à Pierre Falcone, Pierre-Philippe Pasqua et Charles Pasqua).

• Ex-directeur des services financiers du ministère de l’Intérieur.

• Ex-conseiller de Michèle Alliot-Marie à la Défense.

• Ex-directeur-adjoint au cabinet de MAM au ministère de l’Intérieur puis au ministère de la Justice, et de nouveau auprès de la ministre à ce poste aux Affaires étrangères.

Monsieur XXX, alias Alexandre Jevakhoff, dit Le Périscope, Raspoutine, ou encore L’Alchimiste est au centre du débat.

On comprend mieux l’insistance du gouvernement pour réformer la justice et plus particulièrement tout ce qui concerne les enquêtes en rapport avec les malversations et autres histoires d’argent (sale cela va de soi).

Que peut-il se passer du côté de la justice ?

Sur l’affaire des rétro-commissions, la prescription (3 ans) court à partir du moment où on a eu connaissance des faits, d’où cet empressement de Nicolas Sarkozy de vouloir changer les règles et faire démarrer la prescription au moment ou les faits sont commis. Au vu de l’abattage médiatique des dernières années, il en sera simple d’évoquer la prescription.

Donc réponse : Balladur, Chirac, Sarkozy, Léotard, Pasqua et consorts… ne risqueraient RIEN de la part de la justice, tout se jouera en termes d’image et de médiatisation.

Et un ange passa...

 

 

Lire la suite ICI

 

et aussi :

EXPULSIONS: un commerce juteux...pour certains !

Un passage de l'article :

 

A vous d'apprécier cette directive et de constater qu'au final la France ne peut être montrée du doigt, même si nous sommes hostiles à la politique de Nicolas Sarkozy, alors que les lois européennes sont explicites.

 

A qui profite le crime ?

 

Mon ami, Jean Galli-Douani m'a fait part d'un courrier qu'il vien d'adresser à la Commissaire européenne au sujet des Roms (et des expulsions d'étrangers en situation irrégulière), et nous pouvons constater que pour certains, ces expulsions sont une véritable aubaine.

 

 

Madame,

 

 

            Comme la presse s'en est fait largement l'écho dernièrement, les dispositions du gouvernement français et plus précisément du ministère de l'Intérieur concernant les expulsions des membres de la communauté des roms du territoire français ont suscité une très large réprobation.

 

            Je souhaiterais vous informer d'autres aspects de ces dispositions.

 

                       

                                   1 - Depuis 1995, les expulsions font l'objet d'un marché public du ministère de l'Intérieur attribué aujourd'hui encore à la société Carlson Wagon Lit Travel

 

 

                                   2 - Ces marchés incluaient dans le cahier des charges financières le reversement des « bénéfices » de CWLT au ministère.

 

 

                                   3 - Le code des marchés publics, ainsi que le règlement de la comptabilité publique ne prévoient en aucun cas ce genre de dispositions. D'autant qu'elles n'apparaissent pas dans le budget de l'état.

 

 

                                   4 - Le Service Central de Prévention de la Corruption avait déjà, en 2001, soulevé des faits de corruption et de détournement de fonds publics dans le cadre de ces marchés.

 

 

                                   5 - Ce cahier des charges financières avait été élaboré par les services financiers du ministère de l'Intérieur, en collaboration avec le cabinet du ministère du Budget en 1995.

 

 

            J'ai l'honneur donc, d'alerter vos services, en particulier sur les reversements des bénéfices de CWLT au ministère de l'Intérieur.

 

            En effet, la stigmatisation  d'une population immigrée est en elle-même critiquable, le profit généré par cette politique, est non seulement illégal, mais aussi amoral.

 

            Il n'est pas nécessaire de vous expliquer pour quelle raison jusqu'à aujourd'hui , l'autorité judiciaire en France n'a souhaité s'intéresser à ces marchés publics.

 

            C'est pourquoi, je m'adresse à votre autorité neutre et exempte de toute pression politique de la part du gouvernement français.

 

                     Jean GALLI-DOUANI

 

De quoi lancer le débat.

 

Lire l'article ICI

 

Bonjour tout le monde.

Suite à mon article "Entretien avec Jean-Galli-Douani (Clearstream-EADS le syndrome du sarkozisme)", je me suis retrouvé dans l'obligation de supprimer certains passages qui apparemment ont eu le don de froisser certaines "consciences".

Notre Président, Fabien Bardoux, s'est vu signifier par lettre recommandée de modifier certains passages du dit article sans quoi une action pénale serait intentée.

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