Les nouvelles sont bonnes pour la machine allemande ...
Vu chez Mahamudra 
En complément du billet(ICI) de tout à l'heure sur la domination allemande, ou plus précisément, de l'organisation qui se cache derrière.
Le peuple allemand est malmené comme les autres, pire même. La retraite à 67 ans, c'est déjà réalité ici.
Tirée par les pays émergents, la machine à exporter allemande est repartie
Le commerce international serait-il régi par la même règle que le football ? Là aussi, des pays s'affrontent et le vainqueur est souvent allemand.
Les statistiques publiées depuis le début du mois le prouvent : outre-Rhin, l'économie va bien car les exportations vont bien. Au premier semestre, elles ont progressé de 17 %. Sachant que les ventes à l'étranger représentent près de 40 % du produit intérieur brut (PIB) allemand, celui-ci devrait progresser de plus de 3 % en 2010 [...]
Le Monde
La fin de l'article:
Dans une étude parue en août, l'institut allemand IFO classe les pays en quatre catégories : les "héros déchus" (France, Etats-Unis, Royaume-Uni, Italie), chez qui il reste un peu de potentiel pour les produits allemands ; les "nains qui rétrécissent" (Espagne, Portugal, Grèce, Irlande), qui vont devenir quantité négligeable ; les "étoiles ascendantes" (Inde, Brésil, République tchèque, Russie et Pologne), marchés porteurs ; et "les géants qui croissent" (Chine et autres pays d'Asie), coeur de cible à venir. La machine est lancée : les BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine), qui représentaient 4 % des exportations allemandes il y a dix ans, pèsent aujourd'hui autant que la France. Les deux courbes viennent de se croiser.
Si l'on peut souhaiter que les Allemands consomment davantage, il est vain de leur demander d'exporter moins, tant l'appareil productif, administratif et diplomatique est, depuis des décennies, tourné vers cet objectif. En mai, le président de la République, Horst Köhler, a démissionné après avoir déclaré que la présence de militaires allemands à l'étranger servait aussi les intérêts commerciaux du pays. Des propos maladroits mais qui reflétaient sans doute l'état d'esprit de nombre de responsables politiques.
Illustration: Symbolisme satanique au dos des cartes d'identités allemandes

En complément du billet(ICI) de tout à l'heure sur la domination allemande, ou plus précisément, de l'organisation qui se cache derrière.
Le peuple allemand est malmené comme les autres, pire même. La retraite à 67 ans, c'est déjà réalité ici.
Tirée par les pays émergents, la machine à exporter allemande est repartie
Le commerce international serait-il régi par la même règle que le football ? Là aussi, des pays s'affrontent et le vainqueur est souvent allemand.
Les statistiques publiées depuis le début du mois le prouvent : outre-Rhin, l'économie va bien car les exportations vont bien. Au premier semestre, elles ont progressé de 17 %. Sachant que les ventes à l'étranger représentent près de 40 % du produit intérieur brut (PIB) allemand, celui-ci devrait progresser de plus de 3 % en 2010 [...]
Le Monde
La fin de l'article:
Dans une étude parue en août, l'institut allemand IFO classe les pays en quatre catégories : les "héros déchus" (France, Etats-Unis, Royaume-Uni, Italie), chez qui il reste un peu de potentiel pour les produits allemands ; les "nains qui rétrécissent" (Espagne, Portugal, Grèce, Irlande), qui vont devenir quantité négligeable ; les "étoiles ascendantes" (Inde, Brésil, République tchèque, Russie et Pologne), marchés porteurs ; et "les géants qui croissent" (Chine et autres pays d'Asie), coeur de cible à venir. La machine est lancée : les BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine), qui représentaient 4 % des exportations allemandes il y a dix ans, pèsent aujourd'hui autant que la France. Les deux courbes viennent de se croiser.
Si l'on peut souhaiter que les Allemands consomment davantage, il est vain de leur demander d'exporter moins, tant l'appareil productif, administratif et diplomatique est, depuis des décennies, tourné vers cet objectif. En mai, le président de la République, Horst Köhler, a démissionné après avoir déclaré que la présence de militaires allemands à l'étranger servait aussi les intérêts commerciaux du pays. Des propos maladroits mais qui reflétaient sans doute l'état d'esprit de nombre de responsables politiques.
Illustration: Symbolisme satanique au dos des cartes d'identités allemandes