Les révoltes Arabes infiltrées par les agents du Nouvel Ordre mondial : les preuves concernant les "cyber-activistes"
Du 3 au 6 octobre 2011, se tiendra à Tunis la troisième rencontre des blogueurs du monde Arabe (http://www.investir-en-tunisie.net/index.php?option=com_content&view=article&id=11578), dont le but affiché est bien entendu de faire le point sur l’activisme des internautes engagés dans les révolutions et autres rebellions contre les régimes en place dans ces pays. L’on sait que le cyber-activisme a été en pointe lors de ce Printemps Arabe, et il s’agira dans cette perspective, pour les organisateurs, de nouer des contacts, de prévoir les actions futures.
Ce tableau apparemment idyllique cache en réalité des éléments nettement plus troublants. Ce conclave international est censé être organisé par l’association Nawaat, dont le site internet dissident fut en première ligne dans la contestation du régime Ben Ali en Tunisie. En réalité, les parrains organisateurs de cette réunion internationales sont deux ONG, dont les activités nous éclairent sur les objectifs : manipuler les internautes et la jeunesse Arabes pour orienter clairement le mouvement, l’infiltrer, et faire en sorte que leur idéologie s’impose à ces pays.
Nawaat est un collectif de blogueurs Tunisiens engagés politiquement dans la Révolution et l'après Ben Ali.
La première organisation est la Heinrich Boell Fondation (http://www.boell.eu/web/122.html). Il s’agit d’un lobby européiste libéral. Situé au cœur de Bruxelles, il est partie prenante du vaste complexe technocrate de l’UE. Ses objectifs : promouvoir la « démocratie », l’écologie, le libéralisme, le « droit des peuples »… Vous aurez compris le baratin : en clair, faire avancer le Nouvel Ordre Mondial capitalisto-libéral dans le monde Arabe. Quand on sait par ailleurs le manque de démocratie qui caractérise les institutions de l’UE, qui sont au service des marchés et des multinationales, on comprend que la démocratie n’est absolument pas leur souci.
Plus troublantes sont l’activité et l’identité de la seconde organisation. Il s’agit de « Global Voices Online » (http://fr.globalvoicesonline.org/about/). Fondée à la prestigieuse université d’Harvard aux USA (centre des élites intellectuelles américaines et du nouvel ordre globaliste), elle tend à regrouper et coordonner, à travers le monde, le cyber-activisme. Créations et traductions de blogs politiquement engagés en faveur de la démocratie libérale à la sauce US, actions, concertations et lobbying sont les principales activités de cette ONG. Leurs cibles sont quasi-exclusivement des pays du tiers monde, passant volontairement sous silence tous les crimes des puissances impérialistes. Actuellement, ils sont en pointe et soutiennent l’intervention de l’OTAN en Libye, et appuient la propagande anti-Syrienne, tout en étant très silencieux sur les exactions israéliennes.
Rebecca MacKinnon, co-fondatrice de Global Voices Online.
On comprend mieux quand on s’intéresse aux deux co-fondateurs de cette organisation. Rebecca MacKinnon a été journaliste à CNN jusqu’en 2003, et membre de la « New America Fondation ». Il s’agit d’un Think Tank US basé à Washington ; parmi les membres influents on y retrouve des personnes comme Daniel Levy, Andrew Lebovitch et Dana Goldstein. Leurs thèmes de prédilection : le « terrorisme islamiste », « AQMI », et un certain activisme anti-iranien, entre autres. Elle a fondé Global Voices aux côté d’Ethan Zuckerman.
Ces deux personnes sont en outre des membres influents d'un organisation présidée et fondée par le milliardaire usurier, agent du Nouvel Ordre Mondial, l'inénarrable George Soros : l'Open Society Institue :
(http://blog.soros.org/2010/09/ethan-zuckerman-how-do-we-stumble-better/
http://www.soros.org/initiatives/fellowship/fellows/mackinnon_2009).
G. Soros, surnommé l'homme qui fit sauté la Banque d'Angleterre. Lors de la crise économique de 1992, il spécula massivement à la baisse sur la livre sterling, en vendant 10 milliards de livres. La livre s'effondra, et l'Angleterre du sortir en toute urgence du système monétaire européen de l'époque (ancêtre de l'euro), alors que Soros engrengea 1,1 milliards de bénéfices. En 1997, il fut accusé par le premier ministre de Malaisie de spéculer à la baisse sur la monnaie locale, le ringitt. Sa fortune colossale, estimée à 13 milliards de dollars, fut totalement acquise, pillée dirons nous, au moyen de l'usure et de la spéculation. Durant la crise financière, il gagna 3,3 milliards de dollars en 2009, alors que les USA et le monde occidental plongeaient en récession.
Ce rapide tour d’horizon finira de convaincre les plus sceptiques que les révolutions Arabes, à la base légitimes, notamment en ayant expulsé des valets des élites occidentales comme Moubarak et Ben Ali, sont en train d’être lourdement manipulée pour orienter le mouvement dans un sens très précis : l’intégration, à marche forcée, des pays Arabes dans le Nouvel Ordre Mondial capitalisto-libéral. Ceci passe notamment par le financement et le soutien aux cyber-activistes contestataires influençables, pour effectuer un travail de sape et faire en sorte que le mouvement ne mue jamais en réveil islamique. En effet, les mots d’ordre véhiculés par ces ONG, et mis dans la bouche des militants, sont souvent les mêmes : « démocratie », « droits de l’Homme »… L’on devrait tous savoir, maintenant que les désastres Afghans, Irakien et Libyens sont sous nos yeux, que ces expressions ne sont que des caches misères de l’impérialisme implacable de l’axe atlanto-sioniste.
PS : les cyber-activistes qui continuent à collaborer avec ce genre de lobbies atlantistes en dépit de ces informations, peuvent être considérés comme des agents infiltrés.