Monnaie et politique… chute des indices
Monnaie et politique… chute des indices comme ce fut annoncé sur ce blog
Petite reprise de l’euro et dollar contre la FRANC SUISSE après avoir connu un effondrement brutal. Cela va de pair avec le fait que la quasi-totalité des grandes familles ont des comptes bourrés de métal précieux en Suisse. Explication de cette reprise technique : le yen est très affecté par des menaces de crise politique au Japon.
Hier, la devise européenne s’était repliée suite au nouveau coup porté à la Grèce, en pleine crise budgétaire, par l’abaissement de la note de la dette du pays par l’agence financière Moody’s. Celle-ci a abaissé « la note des obligations publiques grecques en monnaie locale et en monnaie étrangère de B1 à Caa1″ et envisage de la dégrader encore. L’euro avait aussitôt piqué du nez. De son côté, le dollar était pénalisé par une série d’indicateurs décevants et une Bourse en baisse. Dans ce contexte, la devise helvétique a continué de jouer son rôle de valeur refuge et battu de nouveaux records dans la soirée à 1,2058 franc pour un euro et 0,8383 franc pour un dollar.
Sur se blog, nous évoquions récemment (analyses de différents titres et bancaires) le risque de dérapage des marchés financiers pour justifier un QE3. Entendons bien que si ce dernier n’a pas lieu, l’été actuel peut en effet être comparé à l’été 1914 comme le font de rares analystes de l’Histoire, plus compétents que la masse « d’idiots utiles » qui pérorent sur les grandes chaînes médiatiques pour annoncer que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes et que les « mouvements démocratiques arabes » sont un gage d’espérance.
Cela fait plusieurs mois qu’une source suisse (l’une de celles qui nous avait annoncés l’effondrement des subprimes trois semaines avant que cela ne soit public), en cheville avec le cartel bancaire et le comité exécutif du groupe Bilderberg, a confié à notre rédaction que les cours allaient plonger. « LES FAMILLES VEULENT A TOUT PRIX REALISER UN DERNIER RAMASSAGE ». A 50 dollars le silver, elle nous avait signifié que cela commencerait sur l’argent métal. D’où l’avertissement notifié sur le numéro de LIESI de fin avril, quelques heures avant le décrochement… et notre conseil d’acquérir ce métal précieux dans la débâcle provisoire actuelle (contacter liesiletter@gmail.com pour obtenir une source fiable). Il n’y a pas de « hasard » dans cette valse des monnaies et des indices.
Depuis quelques jours, nous attendions la « nouvelle » susceptible de flanquer une gifle aux indices…
L’humeur a changé du tout au tout par rapport au début de la semaine. Après l’optimisme née de la perspective d’un prochain accord sur la Grèce, les opérateurs ont considérablement déchanté quand l’agence d’évaluation Moody’s a abaissé la note de la dette publique de la Grèce à Caa1, un niveau reflétant un risque réel de non-remboursement. Cette annonce qui est intervenue sur injonction du cartel bancaire alors que le processus d’un accord semblait bien engagé entre la Grèce et la communauté internationale, a été très mal perçue par les marchés. La décision de Moody’s a non seulement relancé les inquiétudes sur la mise en place d’une prochaine solution pour la Grèce mais a aussi laissé libre cours aux inquiétudes des opérateurs sur la santé de l’économie américaine. Les derniers chiffres macroéconomiques ne sont en effet pas très encourageants. Les marchés ont notamment été déçus par l’annonce d’une baisse plus importante que prévu des embauches dans le secteur privé américain. « Les inquiétudes concernant la croissance américaine se renforcent » notent les analystes du CM-CIC ajoutant être aussi préoccupés par « les impacts des mesures de mise sous contrôle du déficit budgétaire américain ».
Les titres du secteur bancaire s’inscrivaient également parmi les plus forts reculs de la cote: Crédit Agricole (-2,23% à 10,29 euros), BNP Paribas (-1,95% à 52,76 euros), Société Générale (-1,81% à 39,79 euros).
Les informations se multiplient auprès de notre rédaction concernant le Crédit Agricole et BNP. Des contrats d’assurance-vie signalent désormais en tout petit en bas de page que l’organisme n’est pas responsable en cas de perte totale du capital ou de la faillite de la BNP. Pourquoi donc inscrire cela ?