Pour ceux et celles qui ont des enfants ou des petits animaux. DANGER - Faire circuler ce message

Publié le par sceptix

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BIEN LIRE

Pour ceux et celles qui ont des enfants ou des petits animaux.


S'il vous plaît, faites circuler cet avertissement à vos connaissances et contacts même si vous n'avez pas de jeunes ou d'animaux de compagnie car eux peuvent connaître des gens qui en ont.

La ville de Blainville demande de faire circuler ce message.

Un couple de Blainville avait un chien, un berger allemand de cinq ans qui venait de mourir à cause d'une insuffisance du foie.

Le chien était en parfaite santé jusqu'à quelques semaines auparavant, alors ils ont fait une autopsie sur le chien afin de connaître la cause du décès.

Le foie était dans un état pitoyable, comme si le chien avait ingéré une sorte de poison.

Le chien était gardé à l'intérieur et quand il était à l'extérieur, il y avait toujours quelqu'un avec lui.


L'idée qu'il aurait ramassé quelque chose d'inconnu était donc peu probable.

Le couple a alors commencé à passer en revue tous les items de la maison. Quand ils sont arrivés au Swiffer WetJet, ils ont remarqué en très petits caractères un avertissement qui se lisait comme suit:

« Peut être dangereux pour les petits enfants et les animaux ».



Ils ont appelé la compagnie pour demander de quoi était composé l'agent nettoyant et ils ont été ébahis de découvrir que l'antigel est un des ingrédients.

A vrai dire, ils se sont fait répondre que c'est un composé qui est à une molécule près de l'antigel.

Donc, seulement en marchant sur le plancher nettoyé avec la solution, en léchant ses propres pattes et en mangeant dans son bol qui était gardé sur le plancher de la cuisine nettoyé avec la solution, le chien a ingéré assez de solution pour détruire son foie.

Juste après la mort de leur chien, les deux chats de leur femme de ménage sont morts aussi d'insuffisance du foie.

Ils utilisaient le Swiffer WetJet pour un petit nettoyage rapide.

Aucune autopsie n'a été pratiquée sur les chats afin que ces gens ne puissent pas effectuer de poursuites.

Cependant, le propriétaire a demandé de répandre la nouvelle au plus grand nombre de gens possible afin d'éviter d'autres empoisonnements.

N'utilisez plus le Swiffer WetJet si vous avez de jeunes enfants ou des animaux à la maison.


S'il vous plaît, faites circuler ce message


Merci!


Jimmy Vallée
Avocat Greffier-adjoint et chef du contentieux
Ville de Blainville Région Haute Normandie

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H
<br /> <br /> Bravo pour l'info...<br /> <br /> <br /> Il s'agit d'un HOAX qui tourne sur le net depuis au moins 6 ans !!!<br /> <br /> <br /> <br />
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R
<br /> <br /> mais il y des dangers plus réels, et malheureusement plus répandus :<br /> <br /> <br /> http://www.alterinfo.net/Contamination-generalisee-des-oceans-au-bisphenol-A_a44907.html?com#com_1322443<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />
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P
<br /> On va devoir regarder la moindre indication sur tous les produits, quand on arrive à de tels ecxes on peut se demander ce que devient notre cher planète<br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> Zone euro : l’analyse qui donne froid dans le dos<br /> <br /> <br /> Posted by Équipe Signes des Temps on April 12, 2010<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Socio13, 30mars 2010<br /> <br /> <br /> par Institut Turgot<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> L’auteur de cette étude, Bernard Connolly, est un ancien haut fonctionnaire de la Commission européenne, dont il a été brutalement congédié, en 1997, après avoir<br /> publié un ouvrage magnifiquement prémonitoire (The Rotten Heart of Europe)<br /> <br /> <br /> Jusqu’au début de la crise financière mondiale, l’Union monétaire européenne était peut-être l’exemple au monde le plus flagrant d’un système Madoff (Ponzi Scheme) à grande échelle.<br /> <br /> <br /> Plusieurs pays de la zone euro (l’Espagne, la Grèce, le Portugal et l’Irlande), avaient des déficits courants élevés ou croissants, que ne justifiaient ni l’attrait d’une croissance<br /> rapide de la productivité ni celle de taux de rentabilité attendus sur les investissements. En fait, la croissance de la productivité ne cessait de diminuer, alors que les déficits y<br /> augmentaient.<br /> <br /> <br /> L’Espagne, par exemple, avait enregistré une croissance effectivement nulle de la productivité totale des facteurs depuis le début de la décennie : une grande partie de son taux de<br /> croissance relativement rapide ne provenait que d’une baisse du chômage et d’un niveau très élevé d’immigration.<br /> <br /> <br /> L’Italie, même si son compte courant affichait un déficit relativement faible, appartenait conceptuellement au même groupe, car l’évidente inquiétude de sa population quant aux<br /> perspectives d’avenir du pays aurait dû engendrer un excédent net courant, les Italiens épargnant en prévision d’une baisse future de leurs revenus.<br /> <br /> <br /> Tous ces pays étaient extrêmement peu compétitifs sur les marchés internationaux. Dans le cas des quatre premiers, une forte demande intérieure avait pour conséquence que leur manque de<br /> compétitivité se traduisait par des déficits importants de leur balance commerciale. Dans le cas de l’Italie, étant donné la faiblesse de la demande intérieure, son manque de<br /> compétitivité entraînait un ralentissement de la croissance alors même que le reste du monde était en plein boom. Cependant il était clair que, pour les cinq pays, les résultats<br /> économiques obtenus et les prix de marché qui prévalaient en 2007, et avant, excluaient toute possibilité politiquement réaliste de les voir rester dans les rails des normes et<br /> contraintes budgétaires en principe imposées par l’Europe. Or, la dette de ces pays, on la détenait bien volontiers, en fait avec enthousiasme. C’était ça le « système<br /> Madoff ». (Ponzi Scheme) <br /> <br /> <br /> 1– L’UNION MONETAIRE AGGRAVE LES BULLES DE CREDIT<br /> <br /> <br /> Pourquoi ces pays se trouvaient-ils dans cette situation ? La réponse est simple : c’était la faute à l’Union monétaire.<br /> <br /> <br /> Dans les quatre premiers pays, le niveau élevé de la demande intérieure n’était qu’un effet de la bulle mondiale de crédit. Cependant, la bulle y était considérablement amplifiée parce<br /> que le marché pensait qu’en l’absence de monnaies nationales, du fait de l’Union monétaire, il ne pourrait plus y avoir de crise financière.<br /> <br /> <br /> Comme, au sein de l’Union monétaire, la monnaie ne peut pas se déprécier – assurance d’une volatilité absolument nulle des taux de change à l’intérieur de la zone -, la « chasse au<br /> rendement » devenait la priorité de chacun, et les opérations sur les écarts de taux les faisaient progressivement disparaître : il y a moins de deux ans, il n’y avait pratiquement plus<br /> de différence entre les rendements des obligations d’état allemandes et ceux des titres émis par les états dont la balance commerciale était en déficit.<br /> <br /> <br /> Le marché oubliait une chose : que, dans une union monétaire, le risque de défaut remplace le risque de change. Cette conduite imprudente des acteurs du marché, les<br /> tireurs de ficelles de l’Union monétaire l’avaient accueillie avec une satisfaction béate, et ils l’avaient revendiqué comme preuve de la « réussite » de leur Union . Leur hypocrisie<br /> quand, par la suite, ils ont accusé les marchés financiers « anglo-saxons » d’avoir causé la crise financière n’était que trop prévisible, mais n’en reste pas moins déprimante.<br /> <br /> <br /> La réalité, union monétaire ou pas union monétaire, était qu’un pays qui encourt un important déficit courant, – que ce soit aujourd’hui ou, pour demain, comme dans le cas de l’Italie (2)<br /> -, devra, pour respecter ses engagements internationaux en matière de dette, dégager un jour des excédents.<br /> <br /> <br /> Ces excédents, comment les obtenir ? La réponse doit inévitablement passer par une contraction de la demande intérieure par rapport à la production potentielle. Mais comme, à l’exception<br /> de l’Irlande, le taux d’ouverture extérieure de ces pays par rapport à leur taille reste relativement limité, la plus grande partie de cette contraction de la demande intérieure ne peut<br /> porter que sur des biens et services non échangeables, c’est à dire sans contribuer notablement à améliorer la balance commerciale.<br /> <br /> <br /> 2 – COMMENT AMELIORER LES BALANCES COMMERCIALES<br /> <br /> <br /> L’amélioration nécessaire de la balance commerciale exige ainsi une contraction de la demande intérieure qui soit un multiple de l’amélioration des échanges. Ce qui<br /> implique une récession profonde et durable. A moins que les exportations nettes n’augmentent autant que la demande intérieure se contracte,<br /> <br /> <br /> Mais parvenir à une forte amélioration des exportations nettes demanderait une amélioration très substantielle de la compétitivité internationale qui ne peut être obtenue – puisqu’on ne<br /> peut pas dévaluer à l’intérieur de l’Union monétaire – que par une dépréciation très importante de l’euro, ou une désinflation relative dans les pays déficitaires.<br /> <br /> <br /> Sachant que la Banque Centrale Européenne détermine son objectif de hausse de prix pour l’ensemble de la zone euro, il s’ensuit que, même dans le meilleur des cas, il faudrait qu’il y ait<br /> carrément déflation dans les pays déficitaires (et, ce qui n’est pas sans importance, que les prix augmentent davantage que la cible dans le reste de la zone).<br /> <br /> <br /> Cependant, dans une économie de marché, on ne peut imposer une déflation qu’au prix d’une longue période de chômage élevé. Ce qui, combiné avec des taux d’intérêt réels élevés (en raison<br /> d’une part du mouvement de déflation interne, et d’autre part de ce que les taux restent fixés en dehors du pays, et qu’ils sont peu affectés par ce qui s’y passe) implique en définitive<br /> une « dépression« .<br /> <br /> <br /> Lorsque la bulle de crédit éclate, les prix des actifs – notamment les prix des logements- s’écroulent, ce qui réduit la demande intérieure et, avec elle, entraîne l’effondrement du<br /> système Madoff de l’Union monétaire. Arrive alors l’heure de vérité :   – les écarts de taux sur les obligations des pays à balance déficitaire s’accroissent, ce qui exacerbe le<br /> problème ;   – la déconfiture de leurs finances publiques contraint leurs gouvernements à augmenter les impôts et à réduire l<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />
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H
<br /> <br /> http://www.hoaxbuster.com/hoaxliste/hoax.php?idArticle=23374<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> je confirme pour la troisième fois<br /> <br /> <br /> <br />
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