Tristes pantins.
Gris, la couleur du ciel en automne ou en hiver, de l'esprit des personnes empreintes de tristesse, des banlieues cernées d'usines et de la honte ministérielle d'un ignoble bon à rien, presque vert … de gris.
Le seul homme, si on peut utiliser le terme à son sujet, de la part de qui on s'attendrait à une réserve sur une expression raciste, tant par sa position actuelle que par son histoire personnelle, c'est bien le ministre des reconduites en frontière, le socialiste défroqué, le pied noir de la lutte contre l'exclusion de la fondation Vivendi.
Ce sinistre personnage a probablement gardé une certaine haine des arabes bien que les pieds noirs du Maroc aient eu moins de griefs à l'encontre des gens dont ils avaient colonisé la terre.
On sait les actes de bassesse dont est capable le personnage, tant dans le domaine de son environnement que dans celui de son ministère, mais la plus vile d'entre elles vient d'être prononcée de sa bouche :
-"Engager une réflexion sur les mariages gris qui sont une escroquerie sentimentale à but migratoire."
C'est quoi le gris ? Un mélange de noir et de blanc, de gris avec du gris, de gris avec du noir ou de blanc avec du gris ?
Lorsqu'on connaît la connotation péjorative du mot "gris" appliqué à l'homme par les racistes de tout poil, on comprend tout de suite pourquoi ce triste sire a échoué au concours d'entrée à l'ENA ou mieux, pourquoi on n'en a pas voulu.
Venons-en aux mariages mixtes puisqu'à mon sens, c'est de cela dont il veut parler.
...La suite chez Lucien : Adabiatisme politique
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