Twitter : Trierweiler dénonce un piratage et Falorni un faux compte
Publié le 13.06.2012, 20h18 | Mise à jour : 21h29
Valérie Trierweiler et Olivier Falorni ont tous les deux connu des mésaventures sur Twitter ce mercredi, entre compte piraté et identité usurpée. | AFP/NICHOLAS KAMM
Le site de partage de mini-messages Twitter est décidément l'élément perturbateur de la campagne électorale dans la 1ère circonscription de La Rochelle. Après avoir provoqué la stupeur mardi avec son tweet d'encouragement au candidat dissident Olivier Falorni opposé à Ségolène Royal mardi, Valérie Trierweiler a déclaré que son compte avait été «apparemment piraté » lors de l'envoi d'un nouveau message ce mercredi. Quelques heures plus tard, c'est au tour d'Olivier Falorni d'expliquer cette fois qu'un compte twitter à son nom avait été créé de manière frauduleuse.
Dans ce que l'UMP s'amuse à qualifier de Vaudeville, un nouveau tweet de Valérie Trierweiler est apparu ce mercredi après-midi. Publié à 17h49, le message ne comportait aucun texte, mais uniquement un lien internet renvoyant à l'extrait d'un article du Monde cité par Rue89. Cet extrait assure qu'elle aurait demandé en vain au quotidien le retrait de deux photos la montrant pendant la prise de vue de Raymond Depardon photographiant le chef de l'Etat dans le parc de l'Elysée. Le tweet était toujours visible vers 20 heures.
La journaliste a affirmé que son compte avait été «apparemment piraté», précisant qu'elle n'avait «jamais demandé le retrait de photos». Son chef de cabinet, (???) Patrice Biancone, a assuré également que le compte de la première dame avait été «piraté» et qu'il allait en avertir «les services» de l'Elysée.
Deuxième épisode du jour, du côté d'Olivier Falorni cette fois : l'adversaire de Ségolène Royal a porté plainte à la suite de l'usurpation de son identité toujours sur le réseau social Twitter. «Ce compte utilise non seulement mon nom, mais aussi ma photo, ainsi que les liens et la présentation présents sur mon compte officiel. J'ai donc décidé de porter plainte pour usurpation d'identité», dénonce-t-il.
Sous le faux compte créé, des centaines de messages ont depuis été envoyés à son nom, certains orduriers et injurieux.
Dans ce que l'UMP s'amuse à qualifier de Vaudeville, un nouveau tweet de Valérie Trierweiler est apparu ce mercredi après-midi. Publié à 17h49, le message ne comportait aucun texte, mais uniquement un lien internet renvoyant à l'extrait d'un article du Monde cité par Rue89. Cet extrait assure qu'elle aurait demandé en vain au quotidien le retrait de deux photos la montrant pendant la prise de vue de Raymond Depardon photographiant le chef de l'Etat dans le parc de l'Elysée. Le tweet était toujours visible vers 20 heures.
La journaliste a affirmé que son compte avait été «apparemment piraté», précisant qu'elle n'avait «jamais demandé le retrait de photos». Son chef de cabinet, (???) Patrice Biancone, a assuré également que le compte de la première dame avait été «piraté» et qu'il allait en avertir «les services» de l'Elysée.
Deuxième épisode du jour, du côté d'Olivier Falorni cette fois : l'adversaire de Ségolène Royal a porté plainte à la suite de l'usurpation de son identité toujours sur le réseau social Twitter. «Ce compte utilise non seulement mon nom, mais aussi ma photo, ainsi que les liens et la présentation présents sur mon compte officiel. J'ai donc décidé de porter plainte pour usurpation d'identité», dénonce-t-il.
Sous le faux compte créé, des centaines de messages ont depuis été envoyés à son nom, certains orduriers et injurieux.
LeParisien.fr 