Vent de panique sur les bourses, les bancaires dévissent... (OR 1822.90$)

Publié le par Charlotte sceptix

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EN DIRECT - Un vent de panique souffle sur les principales places boursières, dont certaines, comme à Paris perdent autour de 6%. A Wall Street, le Dow Jones perdait plus de 4% vers 14H00 GMT.

17HY10 - Le Dax attaqué - La Bourse de Francfort s'enfonce toujours plus, l'indice Dax dépassant par moments les -6%,. Des ventes massives de contrats à terme sont évoquées sur le marché. "Une banque française a dit que peut-être une erreur de manipulation était en cause, mais sans donner de détails", a indiqué à l'AFP Markus Huber, opérateur chez ETX Capital, en utilisant le terme de jargon boursier "fat finger".

17H08 - Athènes à la peine - L'indice de la Bourse d'Athènes (Athex), qui reflète l'économie la plus fragile de la zone euro, clôture en baisse de 3,38%, à l'issue d'un recul amorcé dès l'ouverture et qui s'est accéléré dans l'après-midi. Les valeurs bancaires sont les plus touchées, avec un recul de 4,69%.

17H05 - Dexia perd plus de 12% - A Bruxelles, la bourse chute de plus de 4%. Parmi les plus fortes baisses, le titre de la banque franco-belge Dexia lâche 12,03% à 1,60 euro. Dans le secteur financier, l'assureur Ageas (ex-Fortis) perd 10,22% à 1,11 euro et le bancassureur KBC 6,47% à 19,28 euros.

17H04 - Pas de récession! - Aucune nouvelle récession n'est en vue dans la zone euro ni à l'échelle mondiale malgré un ralentissement généralisé de la croissance économique, martèle depuis Oslo le président de l'Union européenne, Herman Van Rompuy.

17H02 - Madrid en piqué - La Bourse de Madrid perd 6,41%, dans des échanges ultravolatils.

16H59 - Refuge sur le franc suisse - La devise helvétique continue de se renforcer face aux autres monnaies, endossant son rôle de valeur refuge face à l'effondrement des Bourses mondiales. Le franc suisse s'échange à 1,1263 pour un euro, soit une hausse de 1,19%.

16H57 - Record des taux allemands - Les taux à 10 ans des obligations d'Etat allemandes ont atteint un plus bas historique, s'approchant un peu plus du seuil des 2%, les investisseurs fuyant la chute des marchés boursiers et privilégiant les obligations notées triple A.

16H55 - Mauvais indicateurs US - Les ventes de logements anciens aux Etats-Unis ont rechuté lourdement en juillet, de 3,5% par rapport à juin, alors que les analystes estimaient qu'elle avaient progressé. Autre chiffre mal reçu par les marchés: l'indice de l'activité manufacturière de la région de Philadelphie (Nord-Est des Etats-Unis) s'est effondré de près de 34 points par rapport à juillet pour s'établir à -30,7, son niveau le plus faible depuis le mois de mars 2009.

16H52 - Moscou suit - Les deux Bourses de Moscou chutent de plus de 4% à l'approche de la clôture

16H50 - Le Footsie dévisse - L'indice phare de la Bourse de Londres a brièvement plongé de plus de 5%, "entraîné par les inquiétudes sur un ralentissement de l'économie mondiale, de mauvais indicateurs économiques et une incertitude sur les capacités d'éviter un retour dans la récession" en zone euro et aux Etats-Unis, explique à l'AFP Atif Latif, un des responsables de la société de courtage londonienne Guardian Stockbrokers.

16H46 - Record pour les taux US - Le rendement des titres de dette publique des Etats-Unis à 10 ans passe sous le seuil des 2% pour la première fois, alors que les investisseurs paniqués se ruent vers le marché obligataire, jugé plus sûr en pleine tourmente boursière.

16H44 - Les nordiques s'effondrent - Les Bourses nordiques s'enfoncent elles aussi dans le rouge. Stockholm perd 6,4%, Helsinki 6,7%, Oslo 5,9% et Copenhague 4,9%.

 

16H41 - Croissance américaine? - L'institut américain de conjoncture Conference Board fait état d'un indice composite des indicateurs économiques en hausse pour juillet. Cet indice a progressé de 0,5% par rapport à juin, où il avait progressé de 0,3%, précise l'institut pour qui, "malgré l'instabilité qui gagne, les indicateurs avancés présagent toujours d'une progression lente de l'activité économique jusqu'à la fin de l'année".

16H38 - Les bancaires dévissent - A Paris, les valeurs bancaires sont fortement attaquées, Société Générale en tête, les investisseurs craignant que le géant bancaire français ne souffre de problèmes de liquidités. Société Générale perd 12,09%, Crédit Agricole 9,0% et BNP Paribas 8,24%

16H35 - L'Europe plonge dans le rouge - Sur le Vieux continent, les places financières annoncent des décrochages les unes après les autres: Madrid perd plus de 6%, la Bourse suisse affiche -5,21% et Bruxelles -5%

16H25 - Catastrophique - A Wall Street, c'est l'annonce d'un indicateur américain catastrophique sur l'activité industrielle, dans un marché sapé depuis l'ouverture par les inquiétudes sur la croissance mondiale, qui précipite la chute: le Dow Jones perd 3,81% et le Nasdaq 4,52%.

16H23 - Milan s'effondre - Vers 16H20, la bourse perd plus de 6%. La panique se propage sur les places européennes.

EN DIRECT - Un vent de panique souffle sur les principales places boursières, dont certaines, comme à Paris perdent autour de 6%. A Wall Street, le Dow Jones perdait plus de 4% vers 14H00 GMT.

 

 

 

La Société Générale à nouveau secouée en Bourse

18-08-11 à 16:26 

Le titre de la deuxième banque française perdait près de 12% à la Bourse de Paris en milieu d'après-midi.

 

La Société Générale est à nouveau dans la tourmente et voit une nouvelle fois son titre chuter lourdement en Bourse jeudi après-midi.

Vers 16 heures, le cours perdait près de 12% à 21,75 euros, poursuivant sa dégringolade entamée en début d'après-midi. L'établissement est le plus durement pénalisé, BNP Paribas et Crédit Agricole oscillant autour de -8%, par les inquiétudes de la Réserve fédérale américaine sur les liquidités des banques européennes. L'institut monétaire doute en effet de la capacité des filiales aux Etats-Unis de banques européennes à maintenir un niveau adéquat de liquidité, au cas où leurs maisons mères seraient contraintes à rapatrier brutalement des capitaux, souligne le Wall Street Journal.

Mais le titre pâtit aussi de la persistance d'une rumeur sur sa solvabilité supposée de plus en plus douteuse. Après quelques jours de répit, la banque française n’est pas parvenue à écarter les bruits lancés puis démentis la semaine dernière par la presse britannique.  La Société Générale est devenue la bête noire des investisseurs, comme le montrait Challenges.

La France avait pourtant tenté de protéger ses banques victimes de l’extrême volatilité des marchés. L’Autorité des Marchés Financiers (AMF) avait interdit les ventes à découvert sur ces valeurs bancaires pendant quinze jours en France et dans d'autres pays en Europe. Peine perdue.

Source

 

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M
<br /> <br /> Je n'ai pas accès à l'article de Hugo Chavez !!!<br /> <br /> <br /> J'en ai marre car ça se produit de + en + souvent, ce matin sur FB, impossible d'acceder à la page de F. Asselineau, ....et sur d'autre sites aussi   :(<br /> <br /> <br /> <br />
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