BREVES DE NUIT

Publié le par sceptix


Nouveau cours du baril  (2h 45 heure française)

Cours New York Mercantile Exchange :
 New York Mercantile Exchange Décalé 141.50
Variation : +0.92%
Dernier échange : 30/06/08 02:10:59
Volume : 1 351
Ouverture : 139.44
+ Haut : 141.60
+ Bas : 138.61
Clôt. veille : 140.21


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Cours de la devise Euro/USDollar

Cours Forex 1 :
 Forex 1 Temps réel 1.5794
Variation : +0.02%
Dernier échange : 30/06/08 02:45:12
Volume : 0
Ouverture : 1.5777
+ Haut : 1.5798
+ Bas : 1.5774
Clôt. veille : 1.5791


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L'Espagne efface 44 ans d'attente
par Michael Harrold de Ernst-Happel-Stadion
Après 30 matches de jeu tendu, imprévisible et palpitant, on attendait quasiment l'inattendu en finale de l'UEFA EURO 2008™. Mais l'Espagne s'est imposée sans surprise ni rebondissement de dernière minute. Le pays attendait ce trophée depuis 44 ans. Le but de Fernando Torres à la 33e minute donnait l'avantage aux Espagnols, qui ensuite ne relâchaient plus leur emprise sur le match.

Dernière minute
Les deux pays organisateurs ont quitté la compétition en phase de groupes - une première en Championnat d'Europe de l'UEFA. Mais personne n'a semblé s'en soucier. Les Pays-Bas occupaient le devant de la scène avec leur football étincelant, et brillaient un moment avant de quitter la compétition à leur tour. Une élimination largement due au goût de la Turquie pour les rebondissements de dernière minute. L'équipe de Fatih Terim n'avait pas son pareil pour faire passer l'action d'un côté du terrain à l'autre.

Torres décisif
Un élément revenait régulièrement durant la première semaine de compétition : la qualité du jeu espagnol. L'équipe de Luis Aragonés débutait sa campagne par une belle victoire 4-1 sur la Russie, et ne baissait pas sa garde avant le coup de sifflet final face à l'Allemagne. Les Espagnols impressionnaient par leur liberté, leur confiance, mais surtout leur régularité. Le pilier de l'équipe s'appelait tantôt David Villa, Iker Casillas, tantôt Marcos Senna ou Cesc Fàbregas. Dimanche soir, c'était Fernando Torres.

But historique
L'attaquant était seul en pointe, son partenaire Villa étant blessé. Aragonés lui faisait confiance, malgré un seul but inscrit en cinq matches dans la compétition. Le jeune joueur passait par les airs pour reprendre un centre de Sergio Ramos, mais trouvait malheureusement le poteau. Mais il trouvait ensuite l'ouverture. Sur une passe de Xavi Hernández de la droite à la 33e minute, Torres courait plus vite que Philipp Lahm, puis lobait Jens Lehmann pour expédier la balle au fond des filets.

Retour en arrière
Torres n'avait que trois mois lorsque l'Espagne disputait sa dernière finale d'un grand tournoi. C'était en 1984, lors du Championnat d'Europe de l'UEFA. Le bourreau des Espagnols ce jour-là n'était autre que... Michel Platini, qui leur a remis le trophée ce dimanche à Vienne. Le but de Torres a permis à la fois d'exorciser le passé et de redonner espoir en l'avenir.

roandie-news

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Un mannequin de 20 ans se suicide à New York
NOUVELOBS.COM | 29.06.2008 | 18:23

Le monde de la mode est en émoi après la mort de Ruslana Korshunova, 20 ans, samedi. Le top-model kazakhe a fait une chute fatale depuis la fenêtre de son appartement de Manhattan. Il s'agirait d'un suicide.

Le mannequin Ruslana Korshunova le 07 septembre dernier pour un défilé Cynthia Rowley. (AP)

Le mannequin Ruslana Korshunova le 07 septembre dernier pour un défilé Cynthia Rowley. (AP)

Ruslana Korshunova, un top-model kazakhe qui avait notamment posé en couverture de Vogue et de Elle, a fait une chute mortelle depuis la chambre de son appartement de New-York samedi 28 juin, apparemment un suicide, selon la police.

Âgée de 20 ans, Ruslana Korshunova est décédée samedi après-midi vers 14h30, dans le quartier d'affaire de Manhattan, selon la police.

 

"Gentille fille"

 

Le portier de son immeuble, Mahmud Nakeeb, interrogé par le Daily News, indique qu'à son retour chez elle la veille vers 4h00 du matin, "elle souriait" et ne présentait "aucun signe de dépression" laissant augurer le drame qui s'est produit. "C'était une fille très gentille, toujours souriante", a-t-il ajouté.

Son ex-petit ami, Artem Perchenok, 24 ans, a déclaré au New York Post qu'il l'avait déposée à son appartement après avoir regardé un film.

Une enquête policière est toujours en cours sur les circonstances du drame. (avec AP)


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France: 16 blessés lors d'une démo militaire
29.06.2008 22:51
Une démonstration militaire a mal tourné dimanche en fin d'après-midi à Carcassonne lors d'une journée portes ouvertes à la caserne Laperrine abritant le 3e Régiment parachutiste d'infanterie de marine.
Seize personnes ont été blessées lorsqu'un soldat a tiré à balles réelles au lieu de balles à blanc, ont annoncé des responsables.
Quatre blessés graves
Quatre d'entre elles ont été grièvement touchées. Cet accident, dont la majorité des victimes sont des civils, a eu lieu lors d'une démonstration de libération d'otages de commandos parachutistes du 3e Régiment de parachutistes d'infanterie de marine (RPIMa), a déclaré le colonel Benoît Royal, chef du service d'information de l'armée.

Il a fait état de 16 blessés, dont quatre grièvement atteints et deux dont le pronostic vital est engagé. Le préfet du département de l'Aude, Bernard Lemaire, a précisé à la chaîne de télévision France 3 qu'un enfant figurait parmi les deux blessés dont le pronostic vital est engagé. Quatre enfants au total figurent selon lui parmi les blessés, ainsi qu'un seul militaire.
Incompréhension
"Pour une raison incompréhensible, des munitions à balles réelles ont été utilisées à la place de cartouches à blanc", a indiqué le colonel Royal, soulignant "l'incompréhension et la perplexité" de l'armée de terre devant cet événement. Il a confirmé que les blessés sont en majorité des civils, parmi lesquels des membres de familles de militaires. Deux ou trois enfants seraient au nombre des victimes, a-t-il ajouté.
"Des armes ont été saisies et mises sous scellé, et les auditions de plusieurs personnes ont débuté", selon une source de la gendarmerie nationale. "Toutes les hypothèses sont envisagées", a-t-elle précisé.

agences/
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La majorité en quête d'un consensus sur les institutions
 

PARIS (Reuters) - Le gouvernement français est toujours à la recherche d'un modus vivendi sur la réforme des institutions après le coup de force des sénateurs de l'
UMP qui ont "détricoté" une grande partie du texte adopté par les députés.

A l'instar de la réunion de conciliation présidée par François Fillon mercredi dernier à Matignon, plusieurs rencontres sont prévues en début de semaine en présence des présidents de groupe UMP à l'Assemblée, Jean-François Copé, et au Sénat, Henri de Raincourt, a-t-on appris de source parlementaire.

Pour être adoptée, la réforme des institutions doit obtenir une majorité des 3/5e des suffrages exprimés par les deux assemblées lors de la réunion du Congrès, qui pourrait se tenir le 21 ou le 28 juillet.

"Je pense que ce texte n'a pas d'avenir si la majorité est dispersée", a déclaré dimanche l'ancien Premier ministre et sénateur Jean-Pierre Raffarin.

En cas d'échec, c'est la majorité "tout entière" qui paierait les pots cassés, chef de l'Etat, Premier ministre et élus, a-t-il mis en garde. "Nous serions affaiblis les uns et les autres dans notre oeuvre de réforme".

En début de semaine dernière, les sénateurs ont copieusement amendé le texte des députés. Ils ont notamment supprimé le caractère automatique du référendum pour les futures adhésions à l'Union européenne - une disposition qui visait la Turquie et qui avait été introduite dans le texte par les députés UMP avec l'aval de l'Elysée.

Le Sénat, qui a adopté le texte remanié à une très large majorité, a également refusé de limiter l'utilisation de l'article 49-3, qui permet de faire adopter un texte sans vote, rétabli le droit de grâce collective et refusé d'inscrire les langues régionales dans la Constitution.

"LA RAISON DOIT L'EMPORTER"

Le référendum sur l'entrée de la Turquie, "c'est le dernier sujet qu'il nous reste à traiter", a déclaré dimanche soir Jean-François Copé lors du Grand Rendez-vous Europe/TV5/Le Monde.

Ne pas consulter les Français par référendum "serait une faute politique inacceptable", a-t-il estimé. "Je pense que plus aucun chef d'Etat, dans les années qui viennent, ne pourra prendre la responsabilité politique d'imposer le cas échéant l'entrée de la Turquie sans consulter le peuple par référendum, c'est impossible".

Dans Le Parisien, le porte-parole de l'UMP, Dominique Paillé salue le "rôle légitime de constituant" joué par le Sénat en première lecture mais, dit-il, "l'heure est venue maintenant de trouver un texte de synthèse".

"La raison doit l'emporter (...). Notre volonté politique d'aboutir est intacte", ajoute le député des Deux-Sèvres.

En première lecture, c'est "l'éthique de conviction" qui a prévalu au Sénat, a expliqué Jean-Pierre Raffarin sur Radio J.

En deuxième lecture, les sénateurs mettront en avant "l'éthique de responsabilité", a-t-il promis tout en fixant le cadre d'un éventuel compromis. Le Sénat sera "très ferme" sur le processus d'adhésion à l'UE" mais pourrait "faire preuve d'attention aux préoccupations de l'Assemblée nationale" notamment le 49-3.

En l'état actuel, la majorité des 3/5e au Congrès semble improbable, voire impossible, à atteindre compte tenu des tiraillements dans la majorité et du front uni de l'opposition.

En septembre 1973, Georges Pompidou avait annoncé son intention de réunir le Congrès pour faire adopter le passage du septennat au quinquennat, avant de renoncer un mois plus tard devant les réticences de son camp.

Fin mai, Bernard Accoyer a tendu une branche d'olivier au PS, qui exige que le temps de parole audiovisuel de Nicolas Sarkozy soit décompté sur celui de la majorité.

Le président de l'Assemblée nationale a suggéré de comptabiliser les interventions "politiques, politiciennes" du chef de l'Etat mais d'exclure la "parole régalienne" du président, son expression au nom "de la France, sur la scène internationale".

Cette solution a l'aval de Jean-Pierre Raffarin. "Il y a des règles à établir mais ce sujet ne me paraît pas fermé", a-t-il dit sur Radio J.

Laure Bretton

Publié dans on peut encore sourire

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