Bref, selon les conspirationnistes, le virus de la grippe aviaire serait une "arme bactériologique conçue en vue de l'implantation du nouvel ordre mondial"... et des laboratoires, sous prétexte de trouver un vaccin qui sera éventuellement imposé par les gouvernements, travailleraient à mélanger la souche H5N1 à des cellules humaines dans le but de faire des juteux profits. Cette thèse trouve écho chez le célèbre Dr Léonard Horowitz, selon qui la crise de la grippe aviaire appréhendée actuel-le ne serait qu'une "manipulation destinée à provoquer dans l'opinion le soutien d'une politique de santé publique parfaitement inadaptée à la survenue d'une pandémie massive" et visant, en bout de ligne, à une "réduction de la population mondiale". Et cette opération, faite sous couvert de la peur de la maladie, vise à outrepasser les souverainetés nationales... Or, la théorie du Dr Horowitz se vérifie par le fait que présentement, des laboratoires s'emploient à cultiver le virus de la grippe aviaire dans le but de l'adapter à l'être humain... sous prétexte que cette adaptation est nécessaire pour la mise au point d'un vaccin. Rappelons que la composition des vaccins comprends divers éléments nuisibles à la santé ; le mercure, l'aluminium, le formaldéhyde et le formol, des produits génétiques étrangers à l'homme, des protéines à haut risque issues de certaines espèces de bactéries, de virus ou d'animaux. Et nombre d'écologistes attribuent aux vaccins et aux campagnes de vaccination des maladies aujourd'hui répandues telles que l'autisme, la fatigue chronique, la fibromyalgie, le lupus, la sclérose en plaques, l'arthrite rhumatoïde, l'asthme, le rhume des foins, les infections chroniques de l'oreille, le diabète de type I, etc.
L'ÉLEVAGE INDUSTRIEL
Le confinement des animaux dans les élevages intensifs est identifié comme l'un des principaux facteurs de l'épidémie. Pourtant, depuis des débuts de la grippe aviaire, les gouvernements empêchent les petits producteurs bio de laisser leurs animaux en liberté dans la nature, sous prétexte que ces derniers peuvent être contaminés par les oiseaux migrateurs. Pourtant, il semble évident que la grippe aviaire est le fait des grands élevages industriels, surtout en Asie et en Asie du Sud-Est, où, pour l'instant, on assiste à une prolifération des cas de contamination et surtout à l'apparition d'une variante particulièrement virulente du virus de la grippe aviaire, soit le virus H5N1. Or, il n'existe actuellement aucune preuve de la transmission de ce virus par les oiseaux migrateurs et les groupes protestataires font état de nombreux rapports circonstanciés qui démontrent que le virus bénin de la grippe aviaire coexiste de façon naturelle chez les animaux des basses-cours et les oiseaux sauvages. Alors que ce virus évolue rapidement vers des formes pathogènes dans les élevages surpeuplés, pour atteindre ensuite les espèces sauvages. Les gouvernements et l'OMS inversent donc le problème en attribuant aux oiseaux migrateurs le transport d'un virus qui origine en fait des grands élevages industriels.
D'ici peu, disent-ils, les gouvernements des pays occidentaux vont adopter des politiques de protection publique visant à contrer l'épidémie de la grippe aviaire et... la vaccination sera obligatoire pour tous les citoyens. Et de nombreux pays vont s'aligner sur l'Occident: la Pologne, l'Ukraine, l'Italie, l'Espagne et l'Australie, qui accepteront de faire vacciner leurs citoyens afin de protéger leur territoire contre la grippe aviaire, suivis par le Canada, la France, l'Allemagne et le Japon, etc. Aux USA, le président Bush a déclaré en septembre 2005 qu'on devra peut-être faire appel à l'armée pour gérer le programme d'administration de la vaccination et que les dissidents devront être isolés dans des camps... jusqu'à ce qu'ils acceptent d'être vaccinés.
LES VRAIES CAUSES DE LA GRIPPE
La bactérie est un micro-organisme unicellulaire procaryote circulaire, hélicoïdal ou de forme allongée, et en colonies qui se déplace au moyen de flagelles, qui vivent dans le sol, l'eau, la matière organique ou à l'intérieur de végétaux et d'animaux. En tant qu'animal, la bactérie peut ingérer des nutriments et les transformer afin de générer l'énergie dont elle a besoin pour se multiplier et infecter un organisme, car elle possède le code génétique nécessaire des, acides nucléiques (ADN). En général, la bactérie est entourée d'une paroi cellulaire non vivante, servant à la protéger et à contenir le liquide appelé cytoplasme, dans; lequel se trouve l'esquisse de la reproduction (ADN) et des particules qui sont les dessins d'exécution (ce que l'on appelle l'ARN), servant à la fabrication ou à l'assemblage des protéines essentielles et des enzymes. Or, bien que la majorité des bactéries soient inoffensives voire utiles dans les processus métaboliques, certaines; contiennent des toxines qui endommagent les cellules d'autres organismes, notamment celles de l'homme. Une fois à l'intérieur de la cellule saine, la toxine saute d'une molécule à l'autre, les détruisant les unes après les autres, jusqu'à la mort de la cellule saine.
Le virus lui, est un micro-organisme qui est également l'agent causal de maladies infectieuses. Les virus possèdent généralement une capside entourant un noyau de matériel génétique (ARN / ADN) mais pas de membrane semi-perméable; ils ne sont aptes à. se développer et à se multiplier qu'au sein des cellules vivantes, provoquant alors des maladies. Bref, même si un vaccin ou une dose de pénicilline tue la bactérie, il y a toujours dans le corps des parties d'ADN et d'ARN qui finissent par s'agglutiner. C'est ce qu'est un virus: une particule porteuse d'informations génétiques, entourées d'une capside. Et le virus responsable des maladies qui se regroupent sous le vocable de "grippe" est très près d'autres sortes de virus, tels le virus de la grippe, de la rage ou de l'immunodéficience humaine (VIH). Tous ces virus possèdent une membrane extérieure constituée d'une bicouche phospholipidique, ou enveloppe, qui entoure le noyau de la particule virale, lequel est composé de protéines virales et de matériel génétique.
Si la bactérie est tuée, l'ARN tente de survivre sous forme de virus, tout comme les particules de l'ADN, lesquelles cherchent à survivre en formant une membrane et en partant à la recherche d'une cellule hôte. Cette particule d'ADN, dépourvue de paroi cellulaire, devient une forme de vie incomplète mais dangereusement autoréplicative, un quasi-virus, qui sera appelé plus tard par des chercheurs réputés (Gajdusek et Dr Björn Sigurdsson) lentivirus: c'est le mycoplasme ou.... prion. Lorsque le mycoplasme trouve une cellule qui lui permet de franchir la membrane cellulaire, il se tient généralement tranquille, sans faire de mal à son nouvel hôte... jusqu'à ce que la personne infectée subisse un quelconque traumatisme: un accident, une infection bénigne, un choc émotionnel chez la personne porteuse ou tout stress. Les particules mycoplasmiques d'ADN commencent alors à absorber les stérols de leur hôte, finissant par tuer ce dernier, pour se transformer en "infection mycoplasmique" qui se traduira, par exemple, sous la forme d'une pneumonie, au cours de laquelle les cellules des poumons commenceront à dégénérer et à libérer du liquide qui inondera les alvéoles, c'est-à-dire les cellules qui contiennent l'air. C'est la grippe! Bref, dans le cas de l'infection de la grippe actuellement anticipée par les organismes internationaux, il y a peu de chances qu'elle soit effectivement due à une espèce mutante isolée (H5N1) du virus de la grippe aviaire. En fait, il est très probable qu'il s'agira d'une infection de type mycoplasmique... chez des millions de gens déjà contaminés, tout comme l'actuelle épidémie de sida ou de syndrome de fatigue chronique, si répandu à travers le monde! Et si cette pandémie de "grippe" frappe, et que pour bien faire, on tente de la traiter comme toute infection bactérienne à l'aide d'un vaccin ou d'injections de pénicilline... on ne fera qu'enclencher l'infection mycoplasmique qui elle, tuera des millions de gens. Bref, le remède serait plus grand que le mal.
Pour en savoir plus:
Magazine NEXUS n°44.
www.fao.org/ag/againfo/subjects/en/infpd/home
www.timesonline.co.uk
www.birdlife.org/news/news/2006/01/flu_agriculture
Donald W. Scott et L C. Scott, conseiller en naturopathie: Common Cause Medical Research Foundation. PO Box 133. Stn B, Sudbury. Ontario P3E 4N5, Canada.
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