Les toxines de l'humanité sont les « cadeaux » des psychopathes et de ceux qui leur donnent le pouvoir.

Publié le par sceptix

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Relier les points : Dépopulation massive en route et la gestion du monde par le Secret Team Imprimer Email
Écrit par Éditeurs SOTT   
SATURDAY, 07 NOVEMBER 2009 00:00
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Futur Quantique

 


Les toxines de l'humanité sont les « cadeaux » des psychopathes et de ceux qui leur donnent le pouvoir.

En 1981, Lonnie Wolf a rédigé un rapport intitulé The Haig-Kissinger Depopulation Policy (la politique de dépopulation Haig-Kissinger) dans lequel il déclare que:

Les enquêtes menées par l'EIR (Executive Intelligence Review) ont révélé l'existence d'un réseau de planification indépendant de la Maison Blanche et dont le seul objectif est de réduire la population mondiale de 2 milliards d'individus par le biais de guerres, famines, maladies et tous autres moyens nécessaires. Ce réseau infiltrant différents échelons gouvernementaux définit la politique étrangère étasunienne. Dans toutes les zones de crise - le Salvador, le soi-disant croissant de crise du Golfe persique, l'Amérique Latine, l'Asie du Sud-Est, l'Afrique - l'objectif de la politique étrangère étasunienne est de réduire la population. L'agence à l'origine de cette opération est le groupe ad hoc sur les politiques démographiques au sein du Conseil de sécurité nationale. Le groupe planifiant cette politique se situe dans le Bureau des affaires démographiques au sein du département d'État étasunien, mis en place en 1975 par Henry Kissinger. Ce groupe est à l'origine du document intitulé «Global 2000» porté par l'administration Carter, qui préconise une réduction globale de la population, et c'est le même réseau qui mène une guerre au Salvador comme un projet délibéré de réduction de la population.


« Il y a une seule idée derrière tous nos travaux - nous devons réduire les niveaux démographiques, » a déclaré Thomas Ferguson, responsable de l'Amérique Latine au sein du Bureau des affaires démographiques (Office of Population Affairs - OPA) du département d'État étasunien. «Soit ils [les gouvernements] suivent notre chemin, en appliquant des méthodes propres et élégantes, soit ils se retrouveront au milieu d'un guêpier comme au Salvador, en Iran ou à Beyrouth. La démographie est un problème politique. Lorsqu'une population est hors de contrôle, un régime autoritaire, voire fasciste devient nécessaire pour la réduire. Selon Ferguson, «les professionnels ne réduisent pas les populations pour des raisons humanitaires. Ce serait généreux. Nous prenons en compte nos contraintes en termes de ressources et d'environnement. Nous prenons en considération nos besoins stratégiques, et nous décidons que tel ou tel pays doit réduire sa population - ou alors nous aurons des problèmes».

Il est compréhensible que vu le peu de preuves tangibles disponibles dans le monde environnant, les lecteurs de ce rapport datant de 1981 le catalogue comme une fumeuse théorie du complot; Étant donné les informations disponibles en 1981, nous aurions réagi de même. En date d'août 2009, il est devenu impossible de nier ce qui se produit à moins d'être totalement bercé d'illusions. Les politiques de dépopulation sont actives et en cours d'exécution, c'est l'apogée d'un plan bien réel préparé depuis des lustres par l'élite psychopathique mondiale.

 

© Joel Caheiro

Cela fait des années que les éditeurs et les lecteurs de SOTT en ont perçu les signes, et les événements de ce mois d'août, avec la guerre contre le peuple s'ouvrant sur tous les fronts, nous rapprochent un peu plus de cette terrifiante réalité. Tout ce qui peut nous anéantir physiquement, intellectuellement, psychologiquement et spirituellement est mis en œuvre. Par le biais de la force brute des combats militaires, des programmes eugéniques maquillés en traitements médicaux, des aliments issus de la bio ingénierie, du pillage et de la destruction généralisés des ressources, de la diffusion de toxines et de la guerre psychologique apparaît le danger imminent et bien réel d'une oppression brutale et universelle.

Et pourtant l'espoir est là, découlant de la prise de conscience. Sur ce continuons...

 

Techniques de dépopulation de masse I : les marchands de famine

Parmi le milliard de personnes souffrant de faim dans le monde, deux tiers vivent en Asie, où le manque d'eau a provoqué des pénuries alimentaires sans précédent mettant en péril l'autosuffisance alimentaire de ce continent. Dans les autres régions du monde, un climat déréglé - sécheresse chronique en Australie, Argentine et Kenya, fortes précipitations dans le Nord-Est des États-Unis, été glacial au Canada - créé le scénario parfait en termes d'augmentation du prix de la nourriture et de la précarité, un désastre en cours à l'échelle d'une véritable pandémie.

En 2003 le Pentagone publiait un rapport intitulé Un scénario de changement climatique brutal et ses implications pour la sécurité nationale des États-Unis, présentant la manière dont les événements s'enchaîneraient au cours du XXIe siècle:

Un changement climatique brutal va pousser la capacité porteuse[1] au delà de sa limite précaire actuelle. Et il y a une tendance naturelle ou un besoin pour la capacité porteuse de se rééquilibrer. Puisqu'un changement climatique brutal réduit la capacité porteuse de notre planète, des guerres d'agression sont susceptibles d'être déclarées afin de contrôler des ressources en nourriture, en eau ou en énergie. Les pertes entraînées par ces conflits ainsi que les famines et les maladies réduiront la population mondiale dont les effectifs convergeront progressivement avec la capacité porteuse de la planète.

Le Pentagone se situe au cœur du complexe militaro-industriel étasunien et, en tant que tel, il constitue l'un des principaux consommateurs des ressources mondiales. Ce détail fait du Pentagone une source peu impartiale pour ce qui est de définir les «capacités porteuses» de notre planète. En outre, ce rapport a été écrit juste après que les États-Unis eurent lancé leur deuxième invasion du XXIe siècle (invasion de l'Irak). Par conséquent, il n'est pas étonnant que l'assimilation des «réductions de population» à un acte de rééquilibrage dans un monde perpétuellement en guerre pour des ressources comme le pétrole, la nourriture ou l'eau soit devenu un credo politique pour ceux qui veulent rester au pouvoir. La perle de sagesse suivante est attribuée à Henry Kissinger: « celui qui contrôle la nourriture, contrôle le peuple, celui qui contrôle l'énergie peut contrôler des continents entiers, celui qui contrôle l'argent contrôle le monde.» Levons tout doute quant à la signification du terme « capacité porteuse », voici comment le Dr. Hans Joachim Schellnhuber, qui a été conseiller du chancelier allemand Angela Merkel pour la politique climatique et est professeur associé à l'université d'Oxford, explique qu'une dépopulation de masse serait le bon côté du « réchauffement climatique » puisque les gens souffriraient de famine en raison de ses conséquences dévastatrices sur les ressources alimentaires.

 

© Inconnu

Le triomphe pour des psychopathes

« D'un point de vue très cynique, c'est un triomphe car nous avons enfin fixé quelque chose - nommément une estimation de la capacité porteuse de la planète, c'est-à-dire moins d'un milliards d'habitants [...] Quel triomphe. »

Bien sûr, le véritable raisonnement est que, depuis le début, ce « triomphe cynique » a été l'un des objectifs cachés derrière le réchauffement climatique d'origine humaine. Un représentant du conglomérat coréen Daewoo a explicitement démontré comment un élément vital peut être transformé en une arme permettant de contrôler le peuple lorsqu'il a justifié la tentative de son entreprise d'acheter de vastes terres arables à Madagascar:

« Nous voulons planter du maïs sur ces terres afin d'assurer notre sécurité alimentaire. Dans ce monde, la nourriture peut être une arme, » a déclaré Hong Jong-wan qui est l'un des managers de Daewoo. « Nous pouvons soit exporter les récoltes, soit les ramener en Corée en cas de crise alimentaire. »

De la même manière, on peut empêcher les gens (les Coréens ou une autre population) d'accéder aux récoltes par le biais des magasins d'alimentation qui deviennent une arme essentielle dans la guerre contre le peuple menée par les psychopathes. Le projet d'exporter de la nourriture afin que, des milliers de kilomètres plus loin, un autre pays puisse l'utiliser comme armes de destruction économique a contribué sans aucun doute à la colère des Malgaches à l'encontre de leur gouvernement corrompu qui a été renversé en début d'année par un coup d'État soutenu par l'armée. Même si ce projet a échoué, des transactions similaires ont été conclues aux quatre coins de la planète où de grandes entreprises achètent les dernières terres arables disponibles. Dissimulé sous un jargon politiquement correct invoquant l'aide aux pays en voie de développement via l'investissement dans les infrastructures agricoles, il s'agit en réalité d'une prise de contrôle des terres cultivables servant des intérêts égoïstes qui répandent la peur d'une pénurie et y répondent en mettant la main sur la production de nourriture. Scott Thill décrit l'absurdité de toute cette situation:

L'argent de la bulle a quitté l'immobilier pour rejoindre le marché des matières premières, en particulier la production mondiale de nourriture. Étant donné l'impact de ces fonds sur le marché de l'immobilier, l'avenir s'annonce morose pour les communautés locales dont les terres sont rachetées par les gouvernements, les fonds souverains ou spéculatifs, et les autres investisseurs à la recherche de valeurs réelles dans un environnement économique surcoté.

L'intérêt mutuel est à l'opposé de ce que les pays investisseurs désirent, ils recherchent des transactions servant uniquement leurs intérêts. Perdus dans un brouillard d'hyperconsommation et de corruption économique et politique, les nations déjà nanties et les investisseurs, parcourent le monde à la recherche d'hôtes naïfs dont ils peuvent profiter. Et qu'il s'agisse de riz, de sucre de canne, d'huile de palme ou d'autres carburants pour leur corps bouffi ou pour leur voiture, ils n'investissent pas, littéralement, dans la santé et le bien-être de leurs hôtes. Ce sont des survivalistes au sens le plus strict, et les survivants ne partagent pas quand ils peuvent s'enrichir.

« Les investisseurs considèrent cela comme des ressources foncières ou aquifères rares dans un monde qui connaît de plus en plus de pénuries, » affirme Woodall, «c'est une des raisons pous laquelle ils les recherchent si activement. Ils transposent la mentalité des plantations dans le XXIe siècle et expulsent les autochtones de leurs terres. C'est surréaliste.

Les terres arables sont pillées et retirées de la production et des réserves alimentaires locales par le biais de transactions passées avec la plus grande confidentialité dans des pays où les citoyens n'ont pas accès aux informations relatives à la vente de leurs propres terres. Ces terres sont concentrées dans les mains d'acteurs de la finance internationale, de conglomérats multinationaux et d'agences gouvernementales. Ces vautours financiers aggravent la pénurie alimentaire en spéculant sur les mauvaises perspectives par le biais de ventes à découvert sur des matières premières vitales. Juste au cours des six derniers mois, une surface « équivalente à la moitié des terres arables européennes» a changé de main en Afrique et en Asie du Sud-Est. L'année dernière nous avons assisté à l'apparition d'émeutes de la faim. En même temps la crise financière a plongé des centaines de millions d'autres individus dans un désespoir total. Pour les élites, ces gens sont des «bouches inutiles», toutefois, en vérité, ce sont principalement des fermiers ou des ouvriers agricoles qui ont faim. C'est la vérité: l'essentiel des aliments que nous consommons (dans les «paysdéveloppés») est produit par ceux qui sont le plus menacés par l'avidité incessante des élites au pouvoir, leurs perceptions limitées et leurs vœux pieux les empêchent de réaliser qu'ils seront également emportés par la tempête sociale qui en découlera sans aucun doute.

Et ne pensez pas que les conséquences de cette dynamique seront confinées au tiers monde. Le recensement de 2008 a révélé une forte augmentation de la pauvreté aux États-Unis. Sachez que les véritables conséquences du changement climatique, la baisse des températures, se sont manifestées en Amérique du Nord par un raccourcissement de la période de croissance des végétaux. Une alerte a d'ores et déjà été émise concernant une pénurie de sucre - ce qui n'est pas une mauvaise chose en soi, vu son effet désastreux sur la santé - mais ce qui nous intéresse surtout sont les informations pointant vers une baisse de la production alimentaire. Quand on sait qu'un étasunien sur neuf utilise des bons alimentaires, que le véritable coût des aliments vendus bon marché aux États-Unis démontre un mode de vie qui ne peut être pérenne au niveau fiscal et environnemental et que les pénuries alimentaires s'annoncent à l'horizon en raison du raccourcissement de la période de croissance des végétaux, il devient clair qu'il suffira juste d'un petit...coup de pouce.

 

© Inconnu

Un soleil sans éruption

Le soleil observe tout cela d'en haut avec une expression impassible, cela fait 53 jours qu'aucune tache solaire n'a été observée, un record inégalé depuis 96 ans. Le nombre grandissant de preuves montre que la baisse des températures va se poursuivre. Les conséquences catastrophiques des pénuries alimentaires et énergétiques seront juste amplifiées par la possibilité bien réelle d'un minimum d'activité solaire de type Dalton entraînant des saisons froides plus rudes et plus longues. On ne doit jamais oublier Monsanto lorsqu'il s'agit de surmonter tous les obstacles, ils vont sans aucun doute sortir une semence OGM résistant au froid qui sauvera l'humanité.

Une « mesure majeure » pourrait même être adoptée afin de rééquilibrer la balance: la compagnie d'assurance des dépôts fédéraux étasunienne (Federal Deposit Insurance Corporation) n'a plus de fonds en raison de la pléthore de faillites bancaires :

Désormais si seulement une petite fraction des clients ayant épargné auprès de banques étasuniennes apprennent que la FDIC a eu recours à un financement du Trésor étasunien, et si ces épargnants pensent que leurs économies sont en danger et veulent en récupérer une partie alors la mère de toutes les banques pourraient connaître sa pire fuite de liquidités. Alors pourrait survenir le moment de rendre des comptes annoncé par beaucoup. Une fermeture temporaire des banques devrait être déclaré et à partir de là qui sait ce qui se produira - des soldats dans les rues, l'émission d'une nouvelle devise, la loi martiale? Ne croyez pas que les membres du gouvernement fédéral n'ont pas prévu une telle éventualité.

Un événement qui a été méticuleusement planifié par le gouvernement étasunien est le passage à un régime exclusivement constitué d'aliments génétiquement modifiés. En grande partie grâce au lobbying de géants de l'industrie agroalimentaire comme Monsanto, et sans doute aidés par leur homme qu'ils ont placés à la tête de la FDA, des lois adoptées il y a des lustres pour réguler la qualité alimentaire ont été utilisées (réminiscences de la loi Glass-Steagall) afin de réprimer l'agriculture biologique locale à petite échelle, promouvant en lieu et place les semences génétiquement modifiées comme la solution aux perspectives de chute de production alimentaire. Stephen Lendman nous avertit en ces termes :

La concentration du pouvoir dans les mains de quelques géants de l'agroalimentaire nous met tous en danger. Ils veulent dominer le monde en brevetant toute les espèces vivantes afin de forcer tout le monde à consommer des aliments génétiquement modifiés - même s'ils sont dangereux pour la santé.


Pour ne pas être en reste, le gouvernement britannique se prépare dans la même logique à tirer profit de la mort de ses citoyens en les manipulant ainsi :

La crise alimentaire pourrait obliger les Britanniques à des rationnements comme en temps de guerre et à des régimes à base d'aliments OGM.

Les aliments génétiquement modifiés vont entraîner faim et famines. La pure pathologie derrière ce moyen pour réduite la population est évidente dans tout ce que fait Monsanto. Des dizaines de milliers de fermiers indiens endettés se suicident à cause de l'invention mortelle dénommée Terminator. Que répond Monsanto? Une augmentation de 42% des graines « intelligentes » pour la prochaine saison, mettant ainsi la prévision de marge bénéficiaire de Monsanto au niveau des futures sur les semences annoncées sur le marché des matières premières. Le capitalisme du désastre à son paroxysme. Moins d'individus, plus de profits et une « capacité porteuse » rétablie à un niveau satisfaisant selon nos termes. Une solution gagnant - gagnant pour tous (les psychopathes)!

 

Techniques de dépopulation de masse II :la grippe porcine

Mais évidemment, vous ne pouvez mener une véritable « guerre contre le peuple » sans une stratégie sournoise - comme une attaque simultanée sur plusieurs fronts, camouflée par des écrans de fumée, brouillard des guerres clandestines.

Parmi les tactiques alarmistes (qui pourraient être également des tentatives visant à nous préparer à ce qui nous attend?), le gouvernement britannique est en train de construire de vastes cimetières pour faire face à un second développement de la grippe porcine pendant l'automne. Ce scénario semble terriblement similaire à ce qui s'est produit pendant le Moyen-Âge, où quantité d'individus mouraient de la peste bubonique et de la «peste noire» (dont la cause officielle fut probablement une couverture - mais cela est une autre histoire). Ceci devrait nous interpeller, mais les gens entendront-ils le message?

Aux États-Unis la population est préparée de manière récurrente à des catastrophes, avec les écoles de la capitale qui se préparent à une vaccination contre la grippe porcine et la Garde nationale qui mène un exercice dans un collège du Maine afin d'habituer la population à des émeutes d'individus paniqués ayant besoin d'un traitement - complet avec gaz lacrymogènes.

Toutes ces mesures sont envisagées alors que l'OMS a annoncé que la pandémie de grippe porcine semble en régression dans la majeure partie de l'hémisphère Sud - où, comme vous le savez, c'est actuellement l'hiver - et qu'une « écrasante majorité de patients » ne souffre, dans le pire des cas, que de symptômes modérés. On pourrait presque croire que nos gouvernements bienveillants veulent avoir sous la main une pandémie entraînant une forte mortalité - et/ou qu'ils savent que ces décès vont avoir lieu et que la grippe porcine est juste une couverture pour nous convaincre qu'il s'agit d'un événement « malheureux mais naturel ».

Et pourtant si son rôle est de semer le doute plutôt que d'informer, nous pouvons observer que l'OMS souffre d'une étrange forme de trouble de la personnalité multiple. Le communiqué ci-dessus semble nous rassurer quant au fait que la situation n'est pas si grave; mais elle souligne ensuite que dans l'hémisphère Sud les médecins font état d'une forme grave de la grippe porcine qui affecte directement les poumons chez des patients jeunes et par ailleurs bien portants, et pas moins de 15% des patients infectés nécessitent des soins hospitaliers intensifs. Au moins certains experts adoptent un ton plus modéré:

« Avec ce type de communiqué, l'OMS exacerbe certainement les peurs », a déclaré William Muraskin, spécialiste en santé internationale et professeur d'études urbaines au Queens College de New-York. « La description faite par l'OMS est similaire aux infections pulmonaires qui firent tant de jeunes victimes au cours de la pandémie de 1918. »

Le Dr Julie Gerberding, ex-directeur du Centre étasunien pour le contrôle et la prévention des maladies (U.S. Centers for Disease Control and Prevention), a noté que « de graves pneumonies ont eu également lieu en 1918, mais nous ne pouvons pas confirmer que la physiopathologie est exactement la même. »

Et le Dr Anthony Fauci, de l'Institut national de la santé (National Institutes of Health), l'une des figures prééminente dans le domaine de la grippe porcine, a déclaré dans l'émission ABC News de Brian Hartman: « la gravité de cette pandémie devrait être bien en-deça de celle observée en 1918 - sachant, bien sûr que les choses peuvent changer. »

« Mais si ce que nous observons actuellement permet de prédire ce que nous verrons pendant l'automne et l'hiver à venir, la gravité de cette pandémie apparaît comme faible à modérée et non pas sévère. »

En outre, Margaret Chan, directrice de l'organisation, a participé le même jour à un entretien avec le journal Le Monde et a déclaré: « ce virus se déplace à une vitesse incroyable, quasiment jamais observée auparavant, » c'est-à-dire quatre fois plus vite que la normale. Elle a ajouté: « Tous les gouvernements doivent s'attendre au pire. » En d'autres termes, ayez peur et faites-vous vacciner. Quelqu'un va bénéficier de telles déclarations.

Le gouvernement étasunien est en train de prendre des mesures pour raccourcir un éventuel délai concernant la livraison du vaccin contre la grippe porcine en recherchant des usines en mesure de remplir les flacons plus rapidement, bien qu'un vaccin conditionné dans la précipitation soit encore pire qu'un vaccin déjà dangereux lorsqu'il est «conditionné avec soin». Rappelez-vous, on peut faire des affaires dans tous les domaines. Qui profite du vaccin contre la grippe porcine ?

Baxter International, Sanofi-Aventis SA, Novartis et GlaxoSmithKline font partie des compagnies pharmaceutiques impliquées dans la fabrication du vaccin contre la grippe porcine. Jefferson remarque que Glaxo va facturer approximativement 6 dollars par dose alors que ses coûts de production sont approximativement de 1 dollar. C'est une belle marge de profit pour ce géant du domaine pharmaceutique, un représentant de Glaxo a déclaré que l'entreprise « ne reconnaissait pas de tels chiffres. »

 

© Garde nationale du Texas

Ne serait-il pas ironique que le vaccin censé nous protéger finisse par nous tuer? Peut-être que c'est l'objectif? Peut-être que ceux qui sont en position d'avoir plus d'informations savent que la « solution » est pire que le problème, alors que seulement un tiers des infirmières britanniques sont apparemment consentantes à se faire vacciner, tandis que les médecins britanniques s'inquiètent d'un lien possible avec le syndrome de Guillain-Barré, qui attaque la surface des nerfs, provoquant paralysie et troubles respiratoires.

Il y a quelques mois, un scientifique, seul au milieu de ses confrères, a tenté de souligner les preuves démontrant que la « grippe porcine » avait toutes les caractéristiques d'une souche conçue en laboratoire. L'OMS l'a rapidement réduit au silence et l'a remercié.

 

Guerre contre le peuple et usage des tasers

Des mesures attendent également ceux qui survivent à cette menace. Voici quelques informations qui arrivent au bon moment pour nous rappeler que la guerre contre le peuple - qui nous fut vendue à l'époque comme une « guerre contre le terrorisme » nécessaire à notre propre protection - est toujours d'actualité.

À la manière du juge Dredd, le gouvernement australien prévoit permettre aux forces de police d'entrer de force dans la propriété d'un suspect sans autorisation préalable d'un juge et de durcir les conditions de mise en liberté sous caution pour les suspects, tout cela, bien entendu, au nom de la sainte croisade contre le terrorisme. On note encore des indices supplémentaires dans d'autres pays montrant que le système judiciaire est malade. Prenez par exemple le juge étasunien Scalia qui affirme que:

Cette cour n'a jamais statué que la constitution interdit d'exécuter un condamné qui a bénéficié d'un procès juste et équitable mais qui est parvenu ultérieurement à convaincre une cour de cassation qu'il est « en fait » innocent. Bien au contraire, nous avons maintes fois laissé cette question en suspens, tout en exprimant de forts doutes sur le fait que toute réclamation fondée sur une prétendue « innocence réelle » est constitutionnellement recevable.

Vous savez qu'un système judiciaire et légal souffre de ponérisation lorsque des débats légalistes sont utilisés afin d'établir une doctrine qui va directement à l'encontre de l'esprit de la loi. On n'a pas à chercher beaucoup avant de découvrir comment cela génère des abus de pouvoir flagrants. Un rapport datant de 2004 rédigé par l'inspecteur général de la CIA révèle que les interrogateurs de la CIA organisaient des simulacres d'exécution d'individus suspectés de terrorisme. Continueront-ils à les qualifier de «techniques viriles d'interrogatoire» lorsque menacer un prisonnier de mort viole les lois étasuniennes contre la torture ? Peut-être que le besoin grandissant de la CIA de contourner la loi explique pourquoi elle délègue certaines de ses activités les plus répréhensibles à des organisations du type Blackwater.

Les systèmes politiques qui prêchent les droits de l'Homme mais pratiquent la torture doivent avoir recours au mensonge pour s'en sortir. En 2007, au cours d'un épisode embarrassant, la police allemande a arrêté trois jeunes musulmans dans un petit village, elle a également saisi 730 kg de peroxyde d'hydrogène, une quantité apparemment suffisante pour fabriquer 550 kg d'explosifs. On a raconté au public que ces trois «terroristes» plus un quatrième voulaient faire sauter des installations de l'armée étasunienne et d'autres bâtiments localisés en Allemagne au nom de l' « Union du djihad islamiste », une prétendue organisation terroriste basée en Ouzbékistan. Mais devinez la suite ?

Les soi-disant dangereux membres de ce groupe se sont révélés n'être rien d'autre que des simples d'esprit. Ils n'avainet absolument aucun lien avec des groupes terroristes islamistes.

« Aucun méchant chef islamiste...au Pakistan ou ailleurs n'a influencé ce groupe, » a déclaré Hans Leyendecker, l'un des journalistes d'investigation les plus célèbres en Allemagne. « Ses membres sont des idiots, bornés qui détestent les États-Unis. »

De plus le cinquième membre de ce groupe, qui est toujours recherché, a été décrit comme un ressortissant turc connu sous le nom de Mevlut K. Il apparaît désormais qu'il s'agit d'un informateur à la solde des services d'espionnage turcs (le MIT, acronyme de son nom en Turc). Il jouait un rôle central dans cette opération, d'après les aveux des autres membres du groupe de Sauerland.

Pourtant nous ne sommes pas surpris. Cela s'est déjà produit par le passé. Vous souvenez-vous de la tentative d'attentat terroriste de Miami en 2006 ? Elle avait été entièrement organisée par un agent du FBI infiltré qui l'avait imposée à un groupe de petits criminels, le tout fut largement décrit comme une « dangereuse cellule terroriste » démantelée avec succès. Si vous n'avez jamais lu cette histoire, vous serez surpris par le grotesque de la situation.

Mais aussi ridicule que ce soit pour ceux qui ont des yeux pour voir, la provocation par le biais de la tromperie est la marque de fabrique de nos élites. Peut-être qu'en surfant sur le net vous êtes tombé sur le blog de Hal Turner, théoricien du complot raciste et animateur radio. Il a finalement été arrêté, et nous avons appris de ses avocats que ce curieux chauvin blanc a suivi une formation d'agent provocateur auprès du FBI. À ce sujet, on se demande si Paul Broun, député républicain de Géorgie, joue un jeu similaire, consciemment ou pas, lorsqu'il suggère que les élites socialistes d'Obama « pourraient utiliser une pandémie ou une catastrophe naturelle pour déclarer la loi martiale » afin de « prendre le pouvoir » - ce qui ne veut pas dire que catastrophe naturelle et loi martiale ne sont pas au programme, pensez donc, mais certainement pas de la manière dont Broun aimerait que nous le pensions.

Avec une telle débauche d'écrans de fumée, pouvez-vous nous reprocher d'être si cyniques quant aux véritables intentions de nos dirigeants ? Pouvez-vous reprocher à Claire Swinney, journaliste néo-zélandaise de croire, à juste titre, que le 11 septembre était une opération pilotée de l'intérieur ? Les gens raisonnables ne peuvent le lui reprocher, mais dans son pays elle a été qualifiée de « délirante » et internée dans un hôpital psychiatrique pour cette seule raison. Kafka n'aurait pu inventer une telle histoire.

Penchons-nous maintenant sur un aspect particulièrement insidieux de la guerre contre le peuple, aussi choquant qu'une décharge de quelques centaines de milliers de volts.

En 1776, Thomas Jefferson écrivait ces mots célèbres en préambule à la déclaration d'indépendance:

Nous tenons ces vérités pour des évidences: tous les hommes naissent égaux et sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, parmi lesquels la Vie, la Liberté, et la recherche du Bonheur.

Lynn Hunt, professeur d'histoire européenne moderne à UCLA, a déclaré dans son intervention du 7 mars 2008 intitulée « Inventer les droits de l'Homme» que « l'assertion de Jefferson concernant les droits de l'homme est fondée sur une évidence ». Elle met ensuite « le doigt sur un paradoxe. Si l'égalité est une évidence, pourquoi exprimer une telle assertion, et pourquoi le faire en certains lieux et à certains moments ? Comment les droits de l'homme peuvent-ils être universels s'ils ne sont pas universellement reconnus ? »

Nous vivons une époque où l'évidence des droits de l'homme n'est plus évidente, du moins aux yeux des « élites au pouvoir ». L'usage accru des tasers par les forces judiciaires en est une illustration.

Alors que pour la plupart d'entre nous, il est évident que l'utilisation d'un taser dans une cour de justice contre un homme émotionnellement instable et souffrant de maladie mentale qui a élevé la voix en défendant ses droits civils constitue un châtiment cruel et inhabituel, pour les policiers du palais de justice qui ont utilisé le taser il s'agit toutefois d'un acte relativement normal.


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