Les racines de la dictature européenne

Publié le par sceptix

L’EUROPE
N’EST QUE LE CLONE DE L’URSS

« Les mêmes forces qui ont construit ce monstre bureaucratique qu’a été l’Union soviétique pendant soixante-dix ans — depuis sa naissance dans les affres de la Première Guerre mondiale, du coup d’Etat bolchevique d’octobre 1917 et de la Guerre civile qui s’en suivit, jusqu’à la dissolution de la prétendue ‘‘seconde superpuissance mondiale’’ à bout de souffle et de ressources dans la farce du ‘‘putsch des conservateurs d’août 1991 — sont toujours à l’œuvre en Europe. Et ils conduisent à sa renaissance sous la forme de l’Union européenne.
Vladimir Boukovsky

Depuis des lustres, les eurocrates ont expliqué à leurs peuples que l’Union européenne était une construction nécessaire pour contre-balancer le pouvoir étatsunien. Dans ce numéro, LIESI va mettre les pendules à l’heure et réduire en miettes le discours des ténors des différents partis politiques « pro-européens », lesquels véhiculent un mensonge devenu pestilentiel.
Finalement, les gens dangereux ne sont pas seulement les faussaires de l’Histoire, mais aussi la masse de ces incrédules qui refusent de voir la vérité, de s’instruire, préférant la politique de l’autruche et laisser faire le mal. « De là, l’abaissement des caractères, le triomphe des méchants, le règne du mal auquel la faiblesse lâche les rênes : faiblesse déplorable en tout temps, mais surtout en ces jours mauvais où le génie du mal fait une guerre si acharnée à tout ce qui est bien » . Cette faiblesse de nos contemporains à vivre dans un monde virtuel totalement déchristianisé ne leur évitera pas les jours sombres. L’on peut malheureusement craindre que nombre d’entre eux préfèreront le suicide quand la réalité qu’ils ont toujours niée, s’imposera à eux, prochainement, avec violence.

Révélation du Daily Mail :
les nazis avaient planifié
l’actuelle Union européenne

Cela fait bien longtemps que les preuves du financement du régime nazi par les familles de l’actuel cartel bancaire ont été apportées par les historiens. Partant de cette considération, les dernières révélations du journal britannique Daily Mail deviennent intéressantes. Non seulement elles établissent un fil conducteur entre le projet de l’élite du Parti nazi et celui des architectes de l’actuelle Union européenne, mais encore, elles prouvent que l’idéologie qui sous-tend le projet européen est une idéologie totalitaire. Ce point est important dans la mesure où la crise générée en 1929-1932 – et qui a amené un pouvoir dictatorial en Allemagne –, le fut par les mêmes puissances oligarchiques qui, aujourd’hui, sont à l’œuvre dans la débâcle de 2007-2012.

Dans l’article publié par le journal britannique Daily Mail , Adam Lebor révèle comment il a découvert un rapport des services de renseignement américains (EW-Pa 128), connu sous le nom de Red House Report, détaillant le contenu d’une réunion secrète de l’establishment nazi, le 10 août 1944 à l’Hôtel Maison Rouge, à Strasbourg. Sachant que la défaite de l’Allemagne était assurée, l’establishment nazi s’est entendu avec le cartel bancaire pour constituer un Quatrième Reich sous la forme d’un empire économique pan-européen, fondé sur un marché commun européen !
Pour ce faire, l’establishment nazi, de concert avec le Pouvoir occulte, a créé plusieurs sociétés écran à l’étranger dans le but de pénétrer les économies étrangères et de jeter les fondements d’une nouvelle émergence du Parti nazi. Immédiatement après la défaite, et sans être inquiétés, banquiers, industriels et hauts fonctionnaires du Parti nazi, sont devenus des démocrates convaincus, une version identique à celle des communistes comme V. Poutine et de nombreux KGBistes après l’effondrement de l’URSS. A la fin de la Seconde Guerre mondiale, la nouvelle cause de ces gens-là, partagée avec les financiers du Parti nazi, devenait « l’intégration politique et économique européenne » ! De riches industriels tels qu’Alfried Krupp (Krupp Industries) et Friedrich Flick, ainsi que des sociétés comme BMW, Siemens et Volkswagen, se sont mis à la tâche pour créer un nouvel empire économique pan-européen. C’est ainsi que de grandes figures de l’économie nazie sont devenues les principaux bâtisseurs de l’Union européenne.
Hermann Abs, titan financier qui appartenait au conseil d’administration de la Deutsche Bank lors de la montée des nazis, et qui siégeait au conseil de surveillance d’IG Farben, était membre de la Ligue européenne pour la coopération économique. Il était entouré de tout le gratin européen qui œuvra en faveur d’un « marché commun », précurseur de l’Union européenne.
Il n’est pas inutile de rappeler que, dès ses origines, le Groupe Bilderberg voulait, comme par hasard, imposer ce programme pour l’Europe . Pour rappel, le Groupe Bilderberg fut essentiellement créé par David Rockefeller et le Prince Bernhard des Pays-Bas, en 1954. Ce dernier était l’actionnaire principal de la très riche et très puissante Société Générale de Banque de Belgique, et ex-SS nazi… Le Prince Bernhard des Pays-Bas dut démissionner en 1976 à cause d’un scandale mais sa fille, la Reine Beatrix, est présente chaque année à la réunion du Groupe Bilderberg. Autre membre influent du directoire du Groupe Bilderberg, Etienne Davignon, un ami très proche du Prince Bernhard des Pays-Bas et qui a été vice-président de la Communauté européenne.
Ce serait cependant une erreur de fixer le plan de la construction européenne à la fin du Troisième Reich. En réalité, l’idée d’une Union européenne remonte à 1940. Dès cette année, « les économistes et les universitaires nazis décrivent un plan pour une seule communauté économique européenne » .
Toujours en 1940, Joeseph Goebbels, ministre de la propagande, avait ordonné la création d’une « grande unification économique européenne », estimant que « dans cinquante ans, les gens ne penseront plus en terme de pays ou de nations ». Cinquante-trois ans plus tard, l’Union européenne était faite. Cela dit, il serait stupide de conclure que les européistes sont des nazillons. Par contre, il est incontestable que les leaders du mouvement européen, au-dessus de la piétaille politicienne qui fait comme si elle ne comprenait rien à ce plan, sont de mèche avec le cartel bancaire et veulent recourir à l’idéologie totalitaire pour imposer leur Nouvel Ordre Mondial.
Le projet de cette élite malfaisante est de faire triompher des entités supranationales à partir d’une crise sans précédent ET de restreindre le droit à la liberté d’expression . De ce point de vue, l’orchestration de la « pandémie » actuelle pourrait justifier bien des « mesures de crise ». Tout n’est-il pas déjà prévu ?

Poursuite du plan
des financiers du Parti nazi

Aux Etats-Unis, le secret vient d’être levé sur un certain nombre de documents propres aux menées de leurs services de renseignement. Parmi eux, des documents confirment ce que LIESI et d’autres ont toujours dit : dans les années cinquante et soixante, l’administration américaine a engagé une campagne en vue de promouvoir une Union européenne par le financement du mouvement fédéraliste européen. Par exemple, un mémorandum du 26 juillet 1950  signé du général William J. Donovan, chef de l’OSS (Office of Strategic Services, précurseur de la CIA)  donne des instructions précises pour la conduite d’une campagne en faveur d’un véritable Parlement européen. Le principal outil de Washington pour contrôler le calendrier européen était l’American Committe for a United Europe (ACUE, Comité européen pour une Europe unie), créé en 1948 et présidé par Donovan, officiellement avocat dans le privé à l’époque. Son vice-président était Allen Dulles , directeur de la CIA dans les années 50. Parmi ses membres, la direction comptait Walter Bedell Smith, le premier directeur de la CIA, et toute une série d’anciens personnages de l’OSS et d’officiels, liés à la CIA.
Les documents montrent que l’ACUE a financé le Mouvement européen, la plus importante organisation fédéraliste des années d’après-guerre. En 1958, par exemple, il a assuré 53,5 % du financement du mouvement. La campagne européenne de la jeunesse, une branche du Mouvement européen, était entièrement financée et contrôlée par Washington. Son directeur belge, le Baron Boel, recevait des versements mensuels sur un compte spécial. Les leaders du Mouvement européen  Retinger, le visionnaire Robert Schuman et l’ancien Premier ministre belge Paul-Henri Spaak  étaient tous traités comme des employés par leurs patrons américains. Le rôle des Etats-Unis était tenu secret. Le financement de l’ACUE provenait des fondations Ford et Rockefeller, ainsi que de groupes d’affaires étroitement liés au gouvernement américain. A la fin des années 50, le patron de la fondation Ford, l’ancien officier de l’OSS Paul Hoffman, a cumulé cette activité avec la direction de l’ACUE. Le département d’Etat a également joué un rôle. Un mémo de la division européenne en date du 11 juin 1965 recommande à Robert Marjolin, vice-président de la Communauté économique européenne (CEE), de poursuivre secrètement l’union monétaire. Il recommande aussi d’empêcher tout débat sur la question jusqu’au moment où « l’adoption de ces propositions deviendrait pratiquement inévitable » .
L’implication d’agents du groupe Rockefeller, qui étaient aussi des agents soviétiques, n’est pas une surprise après connaissance des informations publiées dans la brochure Une main cachée tue pour le Nouvel Ordre Mondial. En prenant la juste mesure de tout cela, les avertissements formulés par le dissident soviétique Vladimir Boukovsky deviennent très éclairants. Les financiers de la Révolution bolchevique , ces mêmes banques de Wall Street et de la City que l’on retrouve dans le financement du Parti nazi, sont encore à l’œuvre dans le financement de l’Union européenne.

Qui s’étonnera alors de l’évolution du projet relatif à la création d’un grand marché transatlantique, dont le programme sera source de chômage et de catastrophes sociales pour l’Etat-nation ? Personne ne sera surpris d’apprendre que la Commission européenne a, en 1998, mis en avant ce programme : création d’une zone de libre-échange pour les services ; élimination des barrières techniques et réglementaires au commerce ; libéralisation des marchés publics, de la propriété intellectuelle et des investissements. Finalement, c’est l’absence d’unanimité parmi les Etats membres qui empêcha la réalisation de ce programme. Pour contrer le refus des Etats-nations, l’establishment américain et ses pions européens ont décidé d’impliquer davantage le Parlement européen, lequel a, en 2001, 2002, 2004 et 2006, déposé plusieurs résolutions en faveur de ce marché transatlantique dérégulé… pour 2010. Finalement, le 26 mars 2009, au moment où l’UMP lançait sa campagne sur « l’Europe qui protège » et où le Parti socialiste réclamait une « Europe moins sauvage », cette résolution fut acceptée sans publicité tapageuse… par les représentants de l’UMP et du PS
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R
connaissez-vous cette vidéo ?http://www.dailymotion.com/video/x10hfx_le-mythe-de-la-bonne-guerre_politics
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