Côte d'Ivoire : Qui est Alassane Ouattara

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Alassane Ouattara
Alassane Ouattara.jpg
Alassane Ouattara, en 2002.

Mandat
4e président de la République de Côte d'Ivoire
Actuellement en fonction
Depuis le 4 décembre 2010
Élection 28 novembre 2010
Premier ministre Guillaume Soro
Prédécesseur Laurent Gbagbo
3e Premier ministre ivoirien
7 novembre 19909 décembre 1993
Président Félix Houphouët-Boigny
Prédécesseur Félix Houphouët-Boigny
(indirectement)
Successeur Daniel Kablan Duncan
Biographie
Nom de naissance Alassane Dramane Ouattara
Date de naissance 1er janvier 1942 (1942-01-01) (68 ans)
Lieu de naissance Drapeau : France Dimbokro (Afrique-Occidentale française)
Nationalité Ivoirienne
Parti politique PDCI, RDR
Diplômé(e) de Université de Pennsylvanie
Profession Économiste
Religion Islam

Coat of Arms of Côte d'Ivoire.svg
Présidents de la République de Côte d'Ivoire
Premiers ministres de Côte d'Ivoire

Alassane Dramane Ouattara, surnommé « ADO », né le 1er janvier 1942 à Dimbokro, près de la capitale Yamoussoukro (centre du pays), est un homme politique ivoirien, Premier ministre de 1990 à 1993.

Candidat à l'élection présidentielle de 2010, il l'emporte avec 54,1 % des voix selon la Commission électorale indépendante et est reconnu comme président par une grande partie[1] de la communauté internationale et le Premier ministre Guillaume Soro[2]. Il prête serment « en qualité de président de la République de Côte d'Ivoire » le 4 décembre 2010, le même jour que le président sortant Laurent Gbagbo, déclaré vainqueur par le Conseil constitutionnel[2].

Sommaire

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Origines[modifier]

Son père Dramane, commerçant et transporteur prospère, est un descendant de Sékou Oumar Ouattara (1665-1745)[3], fondateur de l’empire Kong, au début du XVIIIe siècle, à cheval sur le Mali, le Ghana, le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire[4].

Carrière d'économiste[modifier]

Après un doctorat en économie aux États-Unis, au Drexel Institute of Technology et à l'université de Pennsylvanie, il devient économiste au FMI puis occupe différents postes à la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) dont celui de gouverneur. En 1990, il est appelé pour résoudre la crise économique qui frappe la Côte d'Ivoire en tant que président du comité interministériel de la coordination du programme de stabilisation et de relance économique, puis en tant que Premier ministre l'année suivante.

Débuts en politique[modifier]

En tant que Premier ministre, il mène une politique de rigueur budgétaire qui est durement ressentie par la population ; mais il finit par assainir les finances publiques[réf. nécessaire]et redonner confiance aux bailleurs de fonds. Il crée également la carte de séjour pour les travailleurs étrangers. Pendant cette période, l'opposant Laurent Gbagbo, arrêté à la suite d’une manifestation pacifique, est condamné le 6 mars à deux ans de prison. Le Député Gbagbo et les autres condamnés, dont son épouse Simone Gbagbo et son fils ainé Michel Gbagbo, seront amnistiés fin juillet 1992, par le président Félix Houphouët-Boigny. Remplacé de son poste de Premier ministre par Daniel Kablan Duncan en 1993, Alassane Ouattara devient l'année suivante directeur général adjoint du Fonds monétaire international (FMI).

ADO de par son parcours professionnel au sein de grandes institutions financières, jouit d'une bonne réputation[réf. nécessaire]auprès des organisations financières internationales. Il est très populaire dans le Nord du pays.[réf. nécessaire] et possède une assise politique réelle à l'issue des élections municipales en 2001.

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Sékou Oauttara souverain Fondateur de l'Etat de Kong

Actualité

Sékou Ouattara est le principal artisan de la fondation d'un des plus grands Etats du nord-est de la Côte d'Ivoire au XVIIIe siècle, l'Etat de Kong. Celui-ci va être le point de départ d'un empire dit des Ouattara.

Et lorsque Sékou Ouattara meurt en 1745, à l'âge de quatre-vingts ans , il laisse à ses successeurs un vaste territoire s'étendant de Bondoukou à Sikasso.

De l'enfance à l'âge mûr

Né en 1665 à Ténégéra, Sékou bénéficie d'une grande attention de la part de son père Tièba et de sa mère, une princesse animiste du nom de Tagari, appelé Matagari. Des l'âge de sept ans et pendant une dizaine d'années, Sékou fréquente la plupart des écoles coraniques de Ténégéra. Il reçoit une formation complémentaire chez les marabouts Dibi, Lagbakourou et Kpérésuma. Doué d'un esprit curieux et d'une intelligence vive, les questions qu'il pose sur les hadith et sur la vie du prophète embarrassent souvent ses maîtres.

Dès l'enfance, Sékou est initié aux travaux champêtres et au tissage dans lequel sa renommée franchit les frontières de Ténégéra.

Il apprend très tôt le maniement des armes et s'impose comme un valeureux guerrier au sein de l'armée. C'est un bon stratège qui oblige ses adversaires à combattre dans les conditions désavantageuses. Intrépide, intègre dans le partage du butin de guerre, Sékou devient rapidement l'idole des jeunes guerriers qui combattent dans les troupes de Ténégéra.

Elément à forte tête, il est relevé du commandement des troupes par Mansa Maghan, peu avant 1700. Dès lors il va se consacrer entièrement aux activités commerciales. Il a trente ans.

Un commerçant avisé

Sékou pratique avec amour ce nouveau métier difficile, manifeste une grande disposition pour les affaires et en cinq ans ( 1700-1705), il acquiert une solide réputation qui va au-delà des frontières de kong.

Le commerce qu'il entreprend porte sur les esclaves que lui procure sa petite armée, les cotonnades tissées par ses esclaves, les barres de sel, les noix de cola et l'or. Pour garantir la sécurité aux caravanes , Sékou dispose d'une armée régulière qu'il rétribue.

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HISTOIRE DE LA CÔTE D'IVOIRE

Les recherches archéologiques sont difficiles dans un pays en grande partie couvert par la forêt : l'histoire ancienne du pays est donc encore en voie d'élaboration. Elle s'écrit différemment dans la savane du Nord, que peuplèrent les populations de langue mandé (Malinké et Dioula) migrant du nord vers le sud, et dans la zone forestière et lagunaire correspondant aux parties centrale et méridionale du territoire ivoirien, où s'établirent les populations du groupe akan (Baoulé) en provenance de l'est.

La période précoloniale

- Xème siècle : Le commerce transsaharien atteint le nord de la Côte-d'Ivoire et entraîne
- vers le XIIIème siècle :
Premières migrations de populations mandingues s'établissant à la lisière de la forêt, dans une région productrice d'or et de noix de cola.
- XVème siècle : Les explorateurs portugais parviennent jusqu'à la côte à partir de laquelle ils organisent la traite négrière et le commerce de l'ivoire. De cette période datent les différentes appellations données au pays par les Européens, lesquelles varient en fonction de l'accueil que les populations leur réservent et des produits qu'ils troquent avec celles-ci : Côte des males gens, Côte des graines et de la malaguette (nom donné au poivre de Guinée), Côte des dents, Côte du morphil (ivoire), Côte d'ivoire. Les peuples habitant les lagunes deviennent les auxiliaires des commerçants européens ; ils lancent des expéditions dans l'arrière-pays d'où ils rapportent esclaves, ivoire et huile de palme.
- Début du XVIIIème siècle : Grande migration des peuples akans, venus de l'actuel Ghana. Les Baoulé, groupe proche de celui des Achanti, s'établissent, sous la conduite de la reine Abla Pokou, dans le centre du pays. Ils sont porteurs d'une conception du pouvoir très éloignée de celle qui prévaut chez les peuples de la forêt: l'autorité y est détenue par les anciens et le pouvoir y est davantage éclaté tandis que les royaumes akan sont extrêmement centralisés, le roi détenant une autorité sacrée, donc absolue.
- XVIIIème siècle : la cité-État de Kong, fondant sa prospérité sur la traite négrière, domine la région. Le développement du commerce transsaharien, contrôlé par les Malinké islamisés, va de pair avec la diffusion de l'islam dans la région. Celle-ci se fit d'abord plus par imprégnation que par l'utilisation de moyens coercitifs, et les populations établies de longue date, comme les Lobi et les Sénoufo, présents depuis le XIème siècle, maintiennent leur identité animiste. Cependant, au XVIIIème siècle, le clan musulman des Ouatara renverse le pouvoir traditionnel animiste et étend sa domination sur les régions englobant l'actuelle Bobo-Dioulasso (Burkina Faso): leur expansion territoriale est avant tout motivée par la volonté d'assurer la sécurité des communications et des échanges.

La colonisation française

- Début du XVIIIème siècle : Les Français s'établissent sur la côte.
- Seconde moitié du XIXème siècle : Ils se trouvent en compétition pour la domination de la région avec les Britanniques qui ont jeté leur dévolu sur la Côte-de-l'Or (actuel Ghana).
- 1882 : Les colonisateurs introduisent en Côte-d'Ivoire la culture du café ; le développement des plantations favorise la constitution d'une classe de petits planteurs.
- 1885 : Congrès de Berlin définissant les zones d'influence respectives de ces deux puissances coloniales. Dans son entreprise de conquête de l'intérieur des terres, la France se heurte dans le Nord au conquérant malinké, Samory Touré, dont les forces sont armées de fusils négociés auprès des Britanniques.
- 1897 : Samory fait raser Kong, dont les habitants ont pactisé avec la France ; il doit toutefois se rendre et est déporté. Mais le conflit a dévasté durablement la région.
- 1904 : La France assied sa domination sur l'ensemble de la Côte d'Ivoire et le territoire ivoirien devient colonie de l'empire colonial français.
- 1915 : Fin des révoltes des Baoulé et des Bété que les autorités coloniales doivent réprimer.
- 1932 : Félix Houphouët-Boigny prend la tête de la contestation contre l'accaparement des terres par les grands propriétaires coloniaux et contre la politique économique qui pénalise les petits planteurs autochtones. La Côte-d'Ivoire est sous la coupe des milieux d'affaires qui incitent le gouvernement français à intégrer à la colonie, entre 1932 et 1947, les régions très peuplées du centre et du sud de la Haute-Volta (actuel Burkina Faso), dont les habitants sont recrutés pour le travail dans les plantations et constituent le gros des contingents de "Tirailleurs Sénégalais!" envoyés sur le front européen durant la Seconde Guerre mondiale. Le recours au travail forcé, pour la construction de la voie ferrée entre Abidjan et Ouagadougou, destinée à parfaire l'intégration économique de ces territoires, renforce l'opposition anticolonialiste.
- 1944 : Houphouët-Boigny crée un syndicat agricole africain, à l'origine du Parti démocratique de Côte-d'Ivoire (PDCI), section ivoirienne du Rassemblement démocratique africain (RDA) fondé en 1946 à Bamako (Mali). Les différentes sections du RDA créées dans les colonies de l'Afrique-Occidentale française (A-OF), mènent la lutte pour l'indépendance.
- 1946 : Député de la Côte-d'Ivoire à l'Assemblée française, Houphouët-Boigny est à l'origine de la loi abolissant le travail forcé dans les territoires d'outre-mer, statut auquel accède la Côte-d'Ivoire la même année.
- 1949 : Le PDCI-RDA, alors apparenté au Parti communiste français, s'oppose violemment à l'Administration française, soutenant les grèves suscitées par la chute des cours du cacao.
- 1951 : Houphouët-Boigny adopte une stratégie de coopération avec le gouvernement français, et le PDCI-RDA rallie l'Union démocratique et socialiste de la résistance (UDSR), qui compte dans ses rangs François Mitterrand, ministre de la France d'outre-mer. Ministre à deux reprises dans le gouvernement français, Houphouët-Boigny participe à l'élaboration des réformes qui vont déboucher sur la décolonisation.

La Côte-d'Ivoire indépendante

- 4 décembre 1958 : La Côte-d'Ivoire devient une république au sein de la Communauté française, Houphouët-Boigny assurant les fonctions de Premier ministre.
- 7 août 1960 : Accession de la Côte d'Ivoire à l'indépendance, Houphouët-Boigny en devient le président. L'ancienne Afrique-Occidentale française (A-OF) voit naître un second pôle économique et politique, concurrent du Sén
 égal, où se trouvent les administrations coloniales. La rivalité entre Léopold Sedar Senghor, un intellectuel, et Houphouët-Boigny, un syndicaliste pragmatique, est ancienne. Le président ivoirien fait échouer le projet de fédération du Mali, qui doit reconstituer l'A.O.F. et qui permettrait au Sénégal de maintenir sa prépondérance sur l'Afrique de l'Ouest francophone. La Côte-d'Ivoire en est le pays le plus riche et son dirigeant a l'ambition de fonder sa puissance politique sur le développement économique national. Avec l'ouverture du canal de Vridi, Abidjan, la capitale ivoirienne, devient un port de mer puis un centre financier.
La stabilité politique du pays, en grande partie permise par le régime de parti unique qu'a établi Houphouët-Boigny, favorise la forte croissance économique des années 1960 et 1970 (le "miracle ivoirien"). La politique paternaliste et capitaliste d'Houphouët-Boigny suscite cependant une opposition croissante (manifestations étudiantes, conspirations dans l'armée).
Fin des années 1980 : Le président entreprend des travaux grandioses, notamment à Yamoussoukro où est transférée la capitale et édifiée une cathédrale sur le modèle de Saint-Pierre de Rome. Le déploiement d'un tel faste alors même que l'économie nationale s'effondre, alimente le mécontentement de la population.
- 1990 : Houphouët-Boigny accepte, sous la pression des manifestations, d'instaurer le multipartisme. Dès cette époque, le problème de sa succession se pose, mais le président ne laisse pas aux dauphins constitutionnels (les présidents successifs de l'Assemblée nationale) la possibilité de s'imposer.
- Octobre 1990 : Houphouët-Boigny est élu pour un septième mandat de cinq ans, à l'issue des premières élections pluralistes du pays. L'ouverture politique n'est cependant que formelle.
- 1992 : Les principaux dirigeants de l'opposition, dont Laurent Gbagbo, fondateur du Front populaire ivoirien, sont emprisonnés.
A la faveur d'un climat politique et social tendu, les oppositions entre communautés et régions se manifestent.
- Octobre 1995 : Le scrutin présidentiel est ainsi marqué par des violences intercommunautaires, opposant, notamment dans l'ouest du pays, les Bété aux Baoulé, dont fait partie le nouveau président Henri Konan Bédié, tandis que les musulmans du Nord restent marqués par la marginalisation dans laquelle les institutions tentent de maintenir Alassane Ouattara, ancien Premier ministre, en raison de ses origines burkinabées ("ivoirité").
- 1998 : Le président Bédié fait adopter une révision constitutionnelle instituant le septennat renouvelable jusqu'à l'âge de soixante-quinze ans, au lieu d'un quinquennat renouvelable une seule fois. La possibilité pour le chef de l'État de reporter l'élection présidentielle prévue pour l'an 2000 soulève les protestations d'une opposition divisée. L'économie, dont le taux de croissance est passé de 1,8 % en 1994 à 6,8 % en 1996, a été stimulée par la dévaluation du franc CFA.
- 24 décembre 1999 : A Abidjan, une mutinerie de soldats réclamant une amélioration de leurs conditions de vie se transforme en coup d'État. Après l'échec de négociations entre le représentant des soldats, le général Robert Gueï - ancien chef d'état-major - et le chef de l'État, Henri Konan Bédié, ce dernier est destitué. Ce premier coup d'État de l'histoire du pays depuis son indépendance en 1960 a été bien accueilli par la population lassée de la corruption croissante du régime.
Le général Gueï a dissous toutes les institutions de la République et a constitué, sous sa direction, un Comité national de salut public. Les dirigeants du Rassemblement des républicains (RDR), parti de l'opposant en exil Alassane Ouattara, emprisonnés depuis fin octobre, ont été libérés. Le général Gueï a promis un retour rapide à la démocratie et a demandé à tous les partis politiques ivoiriens de participer à un gouvernement de transition.
Le président Bédié s'est réfugié à l'ambassade de France puis au Togo.
- 29 décembre 1999 : Retour d'Alassane Ouattara en Côte d'Ivoire après avoir bénéficié d'une ordonnance de non-lieu dans l'affaire de faux et usage de faux pour laquelle il était poursuivi.

- Le taux de croissance en 2000 est négatif : -2,3%.

L’adoption d’une nouvelle constitution et l’organisation de l’élection présidentielle qui, en 2000, porte au pouvoir Laurent Gbagbo, actuel président de la République, n’apaisent pas les tensions sociales et politiques, qui conduisent au déclenchement d’une crise politico-militaire le 19 septembre 2002. Après plusieurs accords de paix, le pays s’engage le 4 mars 2007, dans un nouveau processus de sortie de crise fondé sur un accord politique conclu à Ouagadougou (Burkina Faso).
- Depuis 2004, la Côte d’Ivoire enregistre des taux de croissance réelle positifs (+1,6% en 2004, +1,8% en 2005 et 1,2% en 2006) qui restent toutefois en dessous du taux de croissance de la population, estimé à 3,3%. Le taux d’inflation oscille entre 1,4% à 4,4%. Le service de la dette réglée qui représente 10,68% des exportations en 2000, est réduit à 5% des exportations en 2003, 3,3% en 2004 et 1,45% en 2005, traduisant ainsi les difficultés de l’État à tenir ses engagements extérieurs.

Ces difficultés persistent malgré la hausse du niveau des exportations, passées à 37,9% en 2000 et à 47,8% du PIB en 2005.
Le FMI prévoit un taux optimiste de croissance du PIB de 3,8% en 2008.
L'agriculture vivrière, l’élevage, l’extraction minière, l’exploitation pétrolière et la compétitivité des exportations connaissent certes une embellie, mais les performances du secteur productif sont contrariées par l’accroissement de la dette intérieure.

 

Source

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R
<br /> <br /> les dessous de l'affaie gbabo - Ouattara, là on comprend le pourquoi de l'attitude de la "communauté internationale" (= Les USA, la franceafrique, les investisseurs) est ce qu'elle est.<br /> <br /> <br /> http://www.alterinfo.net/Kaleidoscope-d-un-coup-d-Etat-planifie-Sarkozy-en-Afrique-Un-voyage-des-plus-suspects_a53047.html?com#com_1753118<br /> <br /> <br /> On nous entube à mort à chaque bulletin d'information ! comme autrefois les citoyens soviétiques ! pareil !<br /> <br /> <br /> <br />
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